FRAMPTON, Kenneth, 1979 : The status of Man and the status of his objects: a reading of “The human condition”, in Hannah Arendt : The Recovery of the Public World, éd. MELVYN A. HILL, NEW YORK, ST. MARTIN PRESS.
POLITIS Guillaume FRAMPTON, Kenneth, 1979 : The status of Man and the status of his objects: a reading of “The human condition”, in Hannah Arendt : The Recovery of the Public World, éd. MELVYN A. HILL, NEW YORK, ST. MARTIN PRESS. ESPACE/PLACE TYPOLOGIE/TOPOGRAPHIE XÉNOGRAPHIE/ARCHITECTONIQUE ARTIFICIEL/NATUREL Référence à HANNAH ARENDT ” THE HUMAN CONDITION ” Dualité fondamentale de la condition humain entre TRAVAIL et LABEUR: LABEUR: ne s’arrête jamais/ aspect biologique, cycle de reproduction et de consommation. Source de propreté et santé privé et impermanent TRAVAIL: variété dense de chose qui ensemble font l’artifice humain: la maison de l’homme mortel, stable et solide, public et durable. Dans la modernité le travail se sacrifie à la demande du labeur pour l’abondance. La vie mondiale est réorganisée par la technoscience et la logique consumériste du système, lesquelles produisent des symptômes pathologiques dans la culture architecturale. Opposition: “NEO SITUATIONIST/NEO HISTORIC ” FRAMPTON propose une vision sensible à la tectonique, l’écologie et aux dimensions tactiles qui peuvent générer une sensibilité et une réponse physique plus appropriée que ce que l’on trouve aujourd’hui dans les centres du pouvoir hégémonique. Postscript: La réserve avec laquelle ARENDT publiquement exerça dans le respect de cette de la critique marxiste devrait être […] Il est clair que ARENDT et l’ÉCOLE DE FRANCFORT était équitablement obsédés par l’interaction de structure et de superstructure dans la société industrielle avancée, même si de tels termes étaient entièrement étrangers à leurs pensées. Les qualifications acceptées, une peut arguer que la succession de l’ÉCOLE DE FRANCFORT, spécifiquement la progression qui lie l’ancienne pensée de HERBERT MARCUSE avec les écrits de JÜRGEN HABERMAS. Si une des dérives dans “HUMAN CONDITION“, l’implication qui est trés séculaire laborieuse et l’ordre industrialisé doivent inévitablement prévaloir dans chaque état capitaliste, ou société socialiste. ARENDT: Cependant il est vrai que du point de vue de la nature c’est plutôt le travail que le labeur qui est destructeur. Efficacités et répression convergent vers l’élévation de la productivité du labeur. C’est l’idéal sacro saint du capitalisme et Stalinisme Stakhanoviste. LECTURE DE HUMAN CONDITION. ARENDT HANNAH Dans sa définition du public et du privée attribuée à la “vita activa“, elle argumente que le labeur par une procédure répétitive mais en constante transformation acquis aux cycle de la survie biologique est inhérent, privée, impermanent. Le travail quand à lui est la pré condition pour la rectification du monde comme l’espace de l’apparence humaine est pas définition statique publique permanent. Ambiguïté dans le terme d’architecture du “OXFORD DICTIONNARY“: 1ere L’art ou la science de construire des édifices pour l’usage humain 2eme l’action et le processus de construire HANNAH ARENDT désigne trois fondements de la vie active : Le travail est l’activité qui correspond au processus biologique du corps humain ; dont la croissance spontanée, le métabolisme et éventuellement la corruption, sont liées aux productions élémentaires dont le travail nourrit ce processus vital. La condition humaine du travail est la vie elle-même. L’œuvre est l’activité qui correspond à la non-naturalité de l’existence humaine, qui n’est pas incrustée dans l’espace et dont la mortalité n’est pas compensée par l’éternel retour cyclique de l’espèce. L’oeuvre fournit un monde ” artificiel ” d’objets, nettement différents de tout milieu naturel. C’est à l’intérieur de ses frontières que se loge chacune des vies individuelles, alors que ce monde lui-même est destiné à leur survivre et à les transcender toutes. La condition humaine de l’oeuvre est l’appartenance-au-monde. L’action, la seule activité qui mette directement en rapport les hommes, sans l’intermédiaire des objets ni de la matière, correspond à la condition humaine de la pluralité, au fait que ce sont des hommes et non pas l’homme, qui vivent sur terre et habitent le monde. Si tous les aspects de la condition humaine ont de quelque façon rapport à la politique, cette pluralité est spécifiquement la condition – non seulement la conditio sine qua non, mais encore la conditio per quam – de toute vie politique (…). La pluralité est la condition de l’action humaine, parce que nous sommes tous pareils, c’est-à-dire humains, sans que jamais personne soit identique à aucun autre homme ayant vécu, vivant ou encore à naître. |