TSCHUMI, Bernard, 1975 : The architectural Paradox, in Studio International, augmenté dans TSCHUMI, Bernard, 1994 : Architecture and disjunction, CAMBRIDGE, MIT PRESS.
MARTIN Charles TSCHUMI, Bernard, 1975 : The architectural Paradox, in Studio International, augmenté dans TSCHUMI, Bernard, 1994 : Architecture and disjunction, CAMBRIDGE, MIT PRESS. Il est aussi vrai que ces idéaux ont étaient plus éphémères que pour les autre siècles, et même la plupart n’ont étés que pure utopie comme le souligne BERNARD TSCHUMI : ” La division entre la réalité sociale et les rêves utopiques ont été total, tout comme l’écart économique et les illusions des résolutions techniques “. Il est indéniable que l’on se trouve dans une période de grands changements et il est important de remettre en question, de mettre en valeur, l’élément principal de l’architecture, le fondement même qui est l’espace. ” L’architecture est à la fois perceptuelle et conceptuelle, dans sa nature, c’est la son paradoxe “. BERNARD TSCHUMI va expliciter c’est deux notions, de perception et de conception de l’espace à travers deux images, la PYRAMIDE (nature de l’espace) et le LABYRINTHE (l’expérience de l’espace). S’il est incontestable que les architectes du 20ème se sont intéressés au fond, aux espaces qui les entourent, aux bâtiments du passé, il est en différent pour la pratique de l’espace, tout aussi important que la nature de l’espace. TSCHUMI pour y remédier propose des exercices à son équipe, dans son agence, comme le saut à la perche dans une cathédrale. Tout ces exercices, que l’ont peu qualifier hors du commun vont donner un nouveau caractère à l’espace. Tout ce questionnement vise un peu à abandonner les styles ou plutôt à les rassembler en un point qui est de replacer le travail de l’espace au cœur de la pratique architecturale. |