BLOOMER, Jennifer, 1992 : Abodes of theory and flesh : tabbles of bower, in Assemblage 17.
LAZRAK Selma
BLOOMER, Jennifer, 1992 : Abodes of theory and flesh : tabbles of bower, in Assemblage 17.
Le FÉMINISME dans l’Architecture naît de la pauvreté dans le monde en femmes architectes.
Leur travail avait aussi connu une marginalisation de la part des hommes, on est constamment dans une dualité homme-femme.
L’imaginaire féminin est dicté par le détails, l’ornement, l’esthétique. JENNIFER BLOOMER reprend donc ALBERTI et son sixième livre dans DE RE AEDIFICATORIA et cite : “ L’harmonie de toutes les parties d’un corps et telle que rien ne devrait y être ajoutée ou enlevé ou altéré“.
Il y a une différence entre l’ornement et la beauté. L’un est complément de l’autre, la beauté se suffit à elle-même alors que l’ornement se caractérise par son côté parasite.
L’humanité cherche la beauté sans artifices, dans la forme et pas dans l’ornement. A l’opposé, certaines civilisations comme les Indiens diraient : “Cette femme est belle car elle porte des anneaux en or sur ses oreilles et son nez”.
L’ornement est ainsi dans une position d’entre deux puisqu’il est d’une part superflu et d’autre part
BLOOMER, Jennifer, 1992 : Abodes of theory and flesh : tabbles of bower, in Assemblage 17.
BLOOMER, Jennifer, 1993 : Architecture and the Text : The (S)crypts of Joyce and Piranesi, NEW HAVEN, Yale University Press.
|