BELLE, David, 2004 : Le Parkour, ARTE.

PEYTAVIT Flavien

 

BELLE, David, 2004 : Le Parkour, ARTE.

 

Le PARKOUR est un art, un sport, un mouvement de jeunes.

 

La ville entière devient un terrain de jeu. Toitures, balcons et escaliers public forment le circuit d’une spectaculaire course d’obstacle. L’architecture moderne devient un mur d’escalade et n’est plus utilisé de manière rationnelle.

 

C’est une nouvelle relation entre l’homme et les bâtiments qui l’entourent, une nouvelle façon de voir et de vivre la ville.

 

Les passants vivent passivement et lentement la ville, le PARKOUR propose de sauter, courir, et de ressentir autrement l’architecture.

 

Le PARKOUR change la fonction des édifices et est devenue un jeu avec le paysage.

 

Au départ, les investigateurs de ce nouveau jeu se sentaient oppressé et orienté dans leurs mouvements par des lignes droites ou d’autres tracées fait à l’équerre. Leurs façon de se déplacer est une façon de se sentir libre dans une ville trop rectiligne et directrice.

 

La ville devient un paysage, les bâtiments des collines, un décor différent.

 

Ils se jouent des bâtiments de la banlieue dans un esprit créatif et sportif.

 

Pour nous, futures architectes, la perception et la connaissance de ces pratiques nous ouvre l’esprit et peut nous influencer sur de possibles utilisations futures de nos projets et nous forcent à nous poser de nouvelles questions : à quoi nous servent nos bâtiments ?

 

Que sont-ils ?

 

Comment pouvons nous construire nos villes?

 

BELLE, David, 2004 : Le Parkour, ARTE.