Une réflexion sur la relation art / architecture et musée, que veut dire cela aujourd’hui ?

BOURRIAT Thomas

Une réflexion sur la relation art / architecture et musée, que veut dire cela aujourd’hui ?

Au travers d’une première partie basée sur des textes, ainsi que des ouvrages liés au monde de l’art je vais énoncer des problématiques basées sur différentes notion, réflexion, idées,avec des prise de position, que je mettrais par la suite dans une deuxième partie en corrélation avec mon projet. Ceci me permettra d’avoir une posture critique, quand a la question de l’art et de ces relation de nos jour, mes les pages de ce récit ne vaudrons que pour le moment, car nous sommes dans une révolution sur le thème muséal.

Juste quelque chose a savoir, ci ce n’est que depuis vingt ans, les musées se multiplient dans le monde, s’ efforçant de séduire tous les publics par tous les moyens. On est loin des palais au charme désuet et aux cimaises poussiéreuses, où seul l’amateur éclairé trouvait si bien son compte. S’ajoutant à l’attrait des collections permanentes, la dynamique impulsée par les expositions temporaires tend à fidéliser les visiteurs. Partout, le taux de fréquentation s’impose comme un enjeu par delà les missions initiales du musée : collection, conservation, étude, exposition, éducation, délectation. Inspiré des établissements américains, le musée intègre désormais l’économie de marché et devient l’un des équipements publics les plus fréquentés.

Les musées sont donc en proie à un curieux paradoxe, écartelés entre leurs perspectives à long terme et le besoin d’être en phase avec leur époque pour capter, voire captiver des publics variées qu’un discours de spécialiste ne saurait satisfaire. Et si valoriser des collections reste au cœur du métier des conservateurs, les questions liées à la nature de la mémoire à transmettre et aux outils de sa médiation alimentent le débat, alors que faire ?

Les musées veulent s’ouvrir au monde, ils s’inscrivent donc dans une stratégie internationale ou plus locale qui n’est pas sans incidence sur la définition du programme culturel et architectural. Tenté d’échapper à ses murs pour conquérir la ville et tirer parti de sa vitalité, le musée est un vecteur de dynamisme pour une ville ou une région. Ceci explique l’attrait croissant qu’exerce son architecture, qu’elle soit sobre et sereine ou a contrario volubile à l’envie, quitte à se fatiguer ou à fatiguer plus vite si le contenant l’ emporte sur le contenu.

Le musée a de multiple facettes, ses mission d’étude et le statut de l’oeuvre d’art, car au moment où la pérennité de cette dernière est remise en question, les frontières entre musée et centre d’art sont plus ténues, comme le montrent l’interdisciplinarité du CENTRE POMPIDOU, ou du KUNSTHAUS de bergenz.

LA VILLE SUPPORT DE L’ART

Amateur, touristes, consommateur, enfant ou adulte, de toutes les nationalités, seul, en groupe ou en famille, valide ou handicapé – autant de visiteurs à conquérir ou à fidéliser pour un musée, car l’essor n’exclut pas une certaine désaffection. Jean DUBUISSON, lui-même le disait, l’art est ouvert à tous.

Mais les musées ne sont pas interchangeables, jadis encyclopédiques, ils mettaient le monde à la portée de visiteurs qui ne voyageaient pas et n’avaient pas la télévision. Avec le développement du tourisme et des moyens de communication, leur raison d’être dépend de leur aptitude à se distinguer des autres. Présenter un ensemble cohérent au plan national et international et attirer des publics « zappeurs » sont facteur de pérennité. A l’écoute de son histoire et de l’originalité de ses collections, un musée s’inscrit visiblement dans un territoire dont il devient la vitrine. Pour Fabienne BRUGÉRE, le musée et un lieu de divertissement, mais à quelle prix ? C’est pour cela, aujourd’hui, qu’il intègre des éléments programmatique tels que librairie, cafétéria/ restaurant, afin d’y attirait le plus grand nombre. En réalité, le musée est un lieu de sauvegarde/ conservation, d’étude et de mise en valeur du patrimoine.

Damien WATTEYNE, le dit bien que nos jours avec ces nouvelles programmatiques, il est une vitrine comme les grands magasins car on ne sait toujours pas faire autrement. Dans ces interconnexion que l’on essaye de mettre en place, on distingue quatre type de musées qui se serve de cela pour ce redynamiser ;

Le musée objet (phénomène de nostalgie, identification à des population antérieur, et des scénographie type car plus il y en a est mieux c’est !).

Les musées territoriaux, interdisciplinaires.

Les sociétés muséalisées, comme VENISE, mais la culture de la population reste-elle authentique ? Traditionnelles ?

Et, les musées de message, ici l’art est utilisé au travers d’un parcours, avec séquences muséographiques qui vont recomposer un message prédéterminé par le conservateur.

En tous cas on peut dire que le musée trouve ça place dans un réseaux, qui met lui-même en relation les différents réseaux, notre environnement ne se composerait il pas de quasi-objet qui ont une relation juste par ce « réseau ». Antoine PICON, trouve cette relation non sans indifférence, car à quelle échelle, s’établit le rôle du musée dans la fractale des flux de la ville ? Autant de question que doit se poser l’architecte au moment de la conception.

Henri Pierre JEUDY se rapproche d’Antoine PICON, quand il dit que pour lui la ville, peut-être, comme une exposition organisée autour d’événement car les monuments viennent cadrer les citadins, captiver leur regard. Il peut jouer se rôle, l’oeuvre de l’architecte vient donner un sens à la ville, à l’espace urbain qui l’entoure ; à BILBAO, GEHRY la fait avec le GUGGENHEIM. Mais malgré tous il existe une séparation entre le musée (l’espace d’exposition) et la ville : celle-ci est distante, elle est en dehors et devient irréelle. Les ouvertures que l’on peut faire sur la ville ne sont pas l’occasion, du moins depuis l’intérieur, de créer une liaison entre ville et œuvres ; on ne fait que montrer la distance qui les sépare.

Dans ce rapport à la ville, Jean-Louis DÉOTTE, est très précis car le musée est un espace difficilement définissable et à cette absence de spatialité, ajoutons l’absence de temporalité liée à la suspension. C’est alors qu’il peut être qualifié de « non-lieu », tel que le sont les aéroports, les ponts, les passages… De la même façon qu’un pont relie deux points définis, le musée fait la transition entre la destination initiale de l’oeuvre et sa destination de monstration publique.

QU’EXPOSE-T-ON ET COMMENT L’EXPOSE-T-ON ?

Depuis longtemps, le terme de « musée » recouvre une étonnante diversité de missions et de sites. L’ouverture à des publics variés renforce leur visée pédagogique et fait évoluer la présentation des collections. Et si les chronologies traditionnelles font place à plus de transversalité, musées des beaux-arts et musée d’histoire ont peu en commun en termes de technique d’exposition, bien qu’ils partagent parfois un même palais. Il en va de même pour les musées ethnographiques, de site et de société. Les méthodes d’exposition varient selon les collections et si la muséographie intègre les innovations technologiques, on s’interroge parfois sur le statut des outils audiovisuels. Informatifs comme un cartel, ils peuvent aussi s’imposer jusqu’à prendre le pas sur les œuvres ou palier leur absence. Tout repose donc sur l’adéquation entre le message et les moyens de sa transmission. Dans un musée des beaux-arts, la mise en place de l’oeuvre et la subtilité de l’accrochage susciteront une émotion et une imprégnation indispensable à sa compréhension.

En tout cas les musées d’art contemporain travaillent sur un art « en train de se faire » et sont investis par des artistes au même titre que des sites industrielles ou des entrepôts. Si pour la directrice des musées de France, il ne peut y avoir de musée sans collection permanente, un musée qui traite sérieusement ses collections peut s’apparenter à un centre culturel. « Je n’aime pas les opposition entre musée et centre d’art, dit-elle. Un musée d’art contemporain joue un rôle essentiel dans la mise en valeur du travail des artistes. Il peut donc prendre parti tout en valorisant la richesse de ses collections. »

Quand a la destination ou suspension des œuvres, des personnes comme DÉOTTE pense qu’autrefois, l’oeuvre de l’artiste était faite pour un contexte bien précis, de nature, en changeant elle perd de son sens. Une œuvre garde-t-elle toute son identité suivant son lieu d’exposition ? En faite, le musée existe pour accueillir des œuvres ou est-ce que parce qu’il y a œuvre qu’il y a musée ? Mais peut-être que la vocation du musée est de ne recevoir que des œuvres in situ afin qu’elle est un sens, comme QUATREMERE DE QUINCY le penser. Des philosophes pense aussi que la suspensivité de l’oeuvre et donc du musée permet d’être « au plus prés de la création » selon PROUST ; puisque qu’une œuvre n’enchaîne sur rien d’autres qu’elle-même. Et Paul VALÉRY, va dans le même sens, car l’art est perdu sans son contexte, qui lui donne sa fonction, son sens. Le musée, comme lieu de suspension du jugement, qui fait le vide autour de l’œuvre ! En tout cas il nous dit que l’on a trois problématiques pour le musée :

La confrontation des œuvres dans un chaos général, est le musée devient la « maison de l’incohérence » où sont réunies les œuvres (il utilise la comparaison de l’oreille qui ne supporterait pas d’entendre plusieurs orchestre à la fois, et donc pourquoi le regard devrait subir autant de sollicitations).

Le sentiment d’étouffement pour le visiteur pris entre tous ces chefs d’oeuvres. Le musée finit par être un lieu de conservation, un lieu sacré, au lieu d’être un lieu d’exposition, mais tous cela est en pleine mutation aujourd’hui.

En tous cas pour P. VALÉRY, les sculptures ou les peintures ont été créés par des artistes qui leur ont donné vie et comme nous l’avons déjà vu dans un des textes de J-L. DÉOTTE « destination ou suspension », dans les musées, tout le contexte, le sens est rompu. Les œuvres d’art sont alors en suspension. Elles sont abandonnées et c’est au tour de l’architecture de redonner une place, un espace, une lumière à ces œuvres pour qu’elles soient appréciées à leur juste valeur.

Mais quand à d’autres, tel que Roland MATTHU, pour qui la fonction essentielle d’un musée est de présenter des œuvres dans un lieu particulier, diverge des propos de P. VALÉRY. A la différence d’un produit, une œuvre est unique, singulière, et elle a besoin d’un lieu permettant sa mise en valeur. C’est un haut lieu de la culture qui permet la rencontre avec l’oeuvre et ainsi sa bonne compréhension et son appréhension qui peuvent être fondé et critiqué. Alors que dire, si ce n’est s’interroger ; quel type d’espace pour les œuvres ? Où est-ce que finalement il faut mettre en valeur les œuvres par l’architecture, la lumière, ou est-ce que les œuvres se suffisent à elles même ?

Car créer un lieu adapté aux oeuvres, c’est comprendre l’art.

Et dans le « musée imaginaire », MALRAUX, nous explique que le but de l’art (et surtout l’art contemporain) est de mettre à disposition les créations, l’art est ouvert a tous. C’est un art productif et créatif. Mais ce lieu de création et de savoir, qui fait cohabiter différente époques et cultures en les détachant de leur passé et de leur histoire, est en réalité un lieu qui fige à jamais l’oeuvre une fois qu’elle est exposée.

La suspension des œuvres est aujourd’hui remise en question, et avec l’arrivée et l’émergence de l’art contemporain, on assiste a une totale remise en question de l’œuvre d’art et de sa mise en relation avec le public.

L’ART ET L’ARCHITECTURE.

La muséographie concerne la conservation, la préservation et la présentation des œuvres. La scénographie les met en scène et en résonance dans l’espace de façon attractive tout en explicitant le propos scientifique. Sources lumineuses, socles, cimaises et vitrines, couleurs et matières jouent alors un rôle prépondérant, graphisme et signalétique intervenant comme relais. Si dans les salles d’exposition temporaires, l’architecte s’efface pour fournir un outil technique neutre adaptable à toutes les scénographies, dans les salles d’expositions permanentes, au contraire, les espaces, l’éclairage, les couleurs et les matériaux conditionnent la présentation des œuvres : muséographie et scénographie s’imbriquent alors étroitement. Pour Christophe CLÉMENT, chef du département de l’architecture, de la muséographie et des équipements à la DMF, réaliser un musée et concevoir une présentation temporaire ne relèvent pas de la même approche : « une exposition éphémère autorise des conditions de présentation un peu excessives en termes de théâtralisation, que les impératifs de l’exposition permanente excluent. »

Le débat reste ouvert, car en guidant les pas et le regard du visiteur et en focalisant son attention avec plus d’autorité qu’une déambulation ponctuée de temps fort, de plages de repos et de mise en perspective, les expositions temporaires ont influencé les présentations permanentes.

Jusqu’à qu’elle point doit on considérer le musée comme un lieu de détente et de divertissement, alors qu’il doit inciter les visiteurs à se tourner vers des objets qui nécessitent une réflexion et une disponibilité d’esprit ? Dés lors, jusqu’où miser sur l’émotion, au risque de transformer le musée, installation pérenne, en simple artefact culturel ?

Le musée œuvre d’art ou au services de l’art ? Nombres de question que l’on se pose aujourd’hui car il peut être un équipement culturel polyvalent ou simplement adapté à son contenu, se que pose Jean BARTHELÉMY. Par exemple, le CASTELVECCHIO de Scarpa, est un musée fait et penser avec les œuvres qu’il y aller avoir, le traitement, la qualité des espaces et de la lumière est relation direct avec les œuvres.

DÉOTTE, lui, se demande si le musée n’est pas le dépôt de l’art (problématique du rapport contenant/ contenu) et quelle peut être la relation entre un musée et une œuvre d’art ?

Il le dit lui-même, « le musée est-il une institution du monde de l’art ? ». Ce qui l’amène à un constat, le musée relève avant tout de l’architecture, c’est un édifice, un contenant. Cela soulève donc la problématique vue au-dessus, comment un contenant au départ a pu avoir un effet sur l’art au point de renverser le rapport art/musée.

Pour expliquer cela, DÉOTTE compare les musées aux passages parisiens de 19ème siècle (Les Passages de W. BENJAMIN). Musées (et passages) sont des objets du passé avec une problématique commune le marchandising. La transformation des musées en « grands magasins » (à cause de leur prolifération et de leur succès), induit une transformation la marchandise. Certains artistes tels que BUREN ou ALECHINSKY sont conscients de la fatale évolution des musées (cf. Exposition de BUREN à POMPIDOU – Le musée qui n’existait pas où l’oeuvre peut devenir musée, lieu d’exposition, ou encore tous les artistes qui n’ont plus besoin de suspendre dans un musée pour exposer).

Quand à Laurence LOUPPE, le but de ces manifestations est de faire vivre l’exposition et d’inviter les participants à partager une expérience, à les initier à l’art… Nous ne sommes plus dans la contemplation, l’espace n’est pas seulement là pour les yeux. L’exposition devient lieu de vie, un espace de démonstration, praticable, où l’on peut circuler et faire usage du lieu. Le spectateur devient actif, il participe à l’exposition. Parfois même, c’est lui qui crée l’événement. Les artistes cherchent à « remettre du jeu là où les institutions sont figées ».

Tout ceci nous amène à repenser le lieu d’exposition comme un espace qui peut être très varié. Ici, rien n’est fixé. Les artistes composent avec le lieu et suivant leurs ressentis. L’exposition devient même éphémère. Le lieu d’exposition sert juste de support le temps de l’événement.

Et un certain, Marc BARANI, qui explique que dans les années 80, les liens entre art et architecture se sont multiplié au point que l’architecture devient conceptuelle, car l’art servirait d’écho à l’architecture. Autant de point de vue qu’il existe de musée ; parfois l’architecte et l’artiste travail en collaboration, il introduise, de ce faite, la notion de pluridisciplinarité. L’art et l’architecture sont deux disciplines complémentaires. L’art est un moyen d’expérimentation, de réflexion pour l’architecture et l’architecture est un lieu d’expression de l’art.

Un cas particulier avec l’art « vidéo » qui est un dispositif permettant de nombreux échanges entre ces deux domaines. Cet art, n’ayant pas le poids de l’histoire, il est utilisé par les artistes ou les architectes, comme bon leur semble, pour leurs différentes expériences qui mettent le spectateur face à une spatialité.

Mais François ALBERA répond à Marc BARANI, car suffit-il donc de créer un « décor » répondant à une interprétation particulière, pour placer le spectateur/visiteur dans cet état de contemplation, nécessaire à toute exposition ? Les murs du musée ne sont-ils pas les « toiles de fond » sur lesquelles viennent « s’exposer » les œuvres d’art ? Si un musée se doit d’effectuer ce travail, positionner le visiteur hors contexte, hors du temps, dans le sens où il est « exposition des œuvres », c’est alors l’architecture, la composition des espaces et des parcours, les traitements sonores et lumineux,…qui doivent permettre d’en faire un lieu privilégié, un lieu de pause.

En tout cas, pour Paul ARDENNE, L’artiste, impliqué, veut faire acte de présence, interagir avec le réel, faire participer le spectateur. Cependant « sortir l’œuvre de la caverne platonicienne de l’art, c’est en modifier la nature ». Réquisition sauvage de la réalité, l’art se fait Acte.

L’exposition peut sortir de son contexte classique. L’art devient nomade.

Alors se pose la question du statut du musée dans le rapport qu’il établit entre l’art et l’espace.

Qu’en est-il de son rôle d’intermédiaire entre le spectateur et l’Art ?

Est-il réduit à n’être qu’un centre d’archivage des œuvres ?

« Ce que le musée permet à l ‘art, la rue le lui refuse. La concurrence visuelle est vive », dit Daniel BUREN, le Musée ne reste t’il tout de même pas l’endroit fait pour l’art, conçu pour sa monstration ?

Mais quand P. VALÉRY parle des expositions on remarque surtout les critiques vis-à-vis de l’encombrement des salles, le mélange des époques… mais il parle aussi de l’exténuation du visiteur, de la trop grande présence des œuvres, de l’incapacité à penser dans un parcours imposé et trop riche. « Où trouver la sagesse de s’arrêter devant une œuvre, quelle habitude cela suppose –t-il ?»

Les fragments de toutes ces époques ne traduisent-elles pas une volonté de tout exposer, de savoir absolu ? La suspension de toutes les époques antérieures et des connaissances empiriques sur le monde et le corps les rendent plus vraies.

Les enjeux du parcours concerne la singularité (individu en tant que tel) et la communauté (groupe d’individus…).

En tout cas, le musée, aussi générateur qu’il soit, n’a peut-être plus lieux et place de recevoir de l’art contemporain. Cette mutation des arts nécessite aujourd’hui une transformation morphogénique du contenant, car le contenu mue encore.

Musée / Centre d’art contemporain, que dire, sinon qu’on cherche mais il y a en ceux moment des réflexions sur la suite à donner au musée / centre contemporain, car on est au beau milieu d’une révolution des styles et des techniques ?

Pour finir, nous sommes confronté de plein fouet dans se système, mais que faire, suivre un courant comme on le fait aujourd’hui, ou repenser l’art-chitecture de demain comme le font certain ? On est suivant ou suivi, a nous de choisir ?