VILLEPONTOUX, Stéphane, xxxx : Utopies urbaines, « ville rêvée », « ville programmée », « ville possible », principes de gouvernance, politique de la ville, urbanité nomade et imaginaire habitant.

MAZILLE Matthieu

VILLEPONTOUX, Stéphane, xxxx : Utopies urbaines, « ville rêvée », « ville programmée », « ville possible », principes de gouvernance, politique de la ville, urbanité nomade et imaginaire habitant.

http://www.habiter-autrement.org/03_utopies/contributions_03/Utopies-urbaines-ville-revee-ville-programmee-ville-possible.pdf

L’article “Utopies urbaines, « ville rêvée », « ville programmée », « ville possible », principes de gouvernance, politique de la ville, urbanité nomade et imaginaire habitant.” se pose des questions sur l’avenir de la ville demain.

Comment va t elle évolué ?

Est ce qu’elle va suivre les idées qu’a mis en place tout l’imaginaire actuel véhiculé par les films de sciences fiction ?

Ou possède t’elle une destiné différente ?

Aujourd’hui, malgré la forte influence des utopies populaires, la ville ne s’oriente pas forcement vers des formes physique comme on les conçoit à premier abord. Les villes idéales décrites dans des utopies comme “L’atlantide” ou “le 5ème élément” sont petit a petit remplacée par des visions plus “vivable” de la ville. Des visions où n’entre pas tout de suite en compte la forme structurelle des édifices de la ville. J’entends la les visions de villes verticale, les circulations a multiple couches avec des voitures volantes….etc. Aujourd’hui on essaye de plus en plus de choses dans les villes et elle devient le terrain de jeu des architectes et urbaniste et mal d’expérimentation grandeur nature. Mais toutes ces expérimentations font que la ville ne se pense plus comme une utopie, comme quelques chose ‘irréalisable. Elle se pense en temps réel. L’homme agit dans la ville lorsque celle-ci en a besoin, lorsque ces habitants en ont besoin. La ville ne se fait plus par des modèles préétablis mais en fonction des personnes qui y vivent. On peut donc parler d’utopie sociale dans laquelle est donné une grande place à la fonction de l’espace et donc à l’architecture. Aujourd’hui il ne faut plus rêver, il faut agir en fonction d’un idéal social connu, une ville pour tous, une ville d’intérêt général.

La question de savoir quelle sera la forme que va prendre les villes dans le futur est quand même posée dans cet article, une piste se dessine lorsque le développement durable est évoqué. Est ce une utopie actuelle vers laquelle l’urbain tend où est ce véritablement un modèle permettant à la ville d’évoluer en même temps que son temps de manière à être efficace en toute situation nouvelle ? A travers le développement durable et l’évolution rapide et exponentielle des mœurs de la société la ville est amenée à avoir une capacité d’adaptation à toute épreuve, et ce n’est pas anodin si le thème de la modularité et de l’adaptation est aussi présent dans la société de consommation actuelle.

VILLEPONTOUX, Stéphane, 200x : Utopies urbaines, « ville rêvée », « ville programmée », « ville possible », principes de gouvernance, politique de la ville, urbanité nomade et imaginaire habitant.

JONAS, Olivier, 2002 : Utopies urbaines : de la cité idéale à la ville numérique, Éditions Centre de Documentation de l’Urbanisme, PARIS la Défense, 2002.

FREMONT, Armant, 1984 : Géographie sociale, Éditions Masson, PARIS.

EVENO, Emmanuel, 1998(dir.) : Utopies urbaines, Éditions. P.U.M., Collection Villes et territoires.

FERRIS, Hugh, 1929 : The Metropolis of Tomorrow.

RABELAIS, François, 1534 : L’abbaye de Thélème,in chapitre LVII Gargantua (La vie très horrifique du grand Gargantua, père de Pantagruel, fils de Grandgousier).