Définitions 01 – Archives 2005-2011

Il s’agit d’un recueil de définitions élaborées par les étudiants successifs d’une dizaine d’ateliers de projet de 2005 à 2011 dans plusieurs écoles.
Les définitions sont informelles, non triées, quelquefois sont des citations, des néologismes estudiantins, ou tout simplement décalées.
Ces définitions constituent donc un cliché plus ou moins flou des termes que les étudiants avaient choisi pour qualifier leur projet architectural et urbain.

Abandonné : que l’on a délaissé, que ses habitants ont abandonné : Maison abandonnée, village abandonné, dépeuplé inhabité qui n’est pas utilisé.
Abondance : 1. Grande quantité : avoir quelque chose en abondance. 2. Ressources importantes : vivre dans l’abondance.
ABRITER : Mettre à couvert des agressions extérieures.
Abstarit Concret : «abstrait : La vutiroe rguoe ruloe torp vtie mias les gdmednares l’aêrtre – concret : La voiture rouge roule trop vite mais les gendarmes l’arrête».
Abstrait/Concret : ne se référant pas a des éléments matériels, réels / qui est matériel et se rapporte à la réalité.
Abstrait/Concret : Opposition entre réel et virtuel, matériel et éthéré.
Abstrait/Concret : paradoxe, contradiction entre 2 états, 2 formes rencontre entre une forme molle «informelle», facettée, aléatoire et une forme géométrisée, hiérarchisée, ou tramée;
Abstrait/Concret : Pixel/Espace .
Abstrait/Concret : traduction d’idée, qui à un haut degrés de généralité; qui se rapporte à une réalité considérée dans sa totalité.
Accentuation : phénomène de mise en évidence.
Accès charretier : accès de s charrettes pour les champs. Charretier : personne conduisant une charrette.
ACCESSIBILITÉ : «L’accessibilité désigne le caractère possible de la liberté de déplacement dans l’espace, d’utilisation d’outils, et de compréhension».
Accessibilité : désigne le caractère possible de la liberté de déplacement dans l’espace, d’utilisation d’outils et de compréhension, ne pas confondre avec ergonomie et utilisabilité, un des principaux aspects de l’accessibilité est spécifique aux handicapés
Accessibilité : Notion de respect, qui implique de se préoccuper de tous, en leur permettant un usage confortable de notre projet.
accessibilité : principe d’ouverture de l’espace à tous : accès physique possible ;
Accident : Événement où interagissent des éléments détournés de leur utilisation normale pour produire un effet forcement inattendu.
Accident géologique : issu du mouvement des plaques tectoniques soit en convergence, divergence ou en transcurrence.
Accouplement : Action physique de procréer. A la fois charnel et spirituel, discret ou bruyant, fluctuant ou non, l’accouplement est très répandus chez les jeunes gens.
ACCUEILLIR : Le fait de recevoir, s’occuper de quelqu’un.
Acheminer : Se diriger vers.
Action : effet produit par quelqu’un ou quelque chose.
Action : fait ou faculté d’agir, de manifester sa volonté en accomplissant quelque chose.
action : Qui a un impact dans son espace
Action : une architecture comme production et moyen d’expression, dans un lieu donné. Action amenant à un résultat qui ne dépend d’aucune logique. Actions ou réactions sont dites comportementales.
Activer : révéler les qualités d’un site.
Activer : Révéler les qualités du site, son dynamisme, sa souplesse…
ACTIVITÉ : Exercice d’une action dirigé vers une finalité.
Activité : notion de mouvement, d’interaction entre les choses
Activité : une activité par niveau, un étage une fonction, une affectation. Répartition des activités par caracter du public a l’intime.
Activité : Une architecture dynamique est dynamisante. Générant autre chose que l’esthétique, non comme une action fonctionnelle sinon matérialisée par des usages simultanés.
Activité : vivacité et énergie dans l’action ou occupation d’une personne ou puissance d’agir, l’activité de l’esprit
Activité : vivacité et énergie dans l’action, ou occupation d’une personne ou puissance d’agir, l’activité de l’esprit
acupuncture urbaine : Opération de densification d’un espace urbain à travers une intervention localisée.
Adéquation : accord, correspondance parfaite entre un objet et ce à quoi il est destiné fait de faire correspondre un objet à un autre.
Adéquation : Conformité à l’objet, au but qu’on se propose : L’adéquation de l’expression à la pensée.
Adhérence : Cohésion, liaison satisfaisante de deux entités afin qu’elles ne se détachent pas l’une de l’autre. état d’un élément qui est raccroché à un autre, en donnant l’impression qu’ils sont fusionnés, collés.
Adhérence : éléments ou surfaces jointes sans éléments visibles de raccordement, éléments ou surfaces autostables par leur seul interaction.
Aérer : c’est le fait d’alleger de rendre moins dense un volume, un dispositif, une entité…
AFFECT : aspect inanalysable et élémentaire de l’affectivité différent de l’émotion qui en est la traduction neurovégétative et des sentiments plus élaborés socialement.
Affluence : rassemblement d’un grand nombre d’individu dans un même lieu
AGGLOMÉRATION (UNITÉ URBAINE) : c’est l’espace de l’urbanisation dense (Lussault 2007). La notion d’unité urbaine repose sur la continuité de l’habitat. Est considérée comme telle un ensemble d’une ou plusieurs communes présentant une continuité du tissu bâti (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. La condition est que chaque commune de l’unité urbaine possède plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie (Insee).
Agglomération suburbaine : limitrophe d’une ville, banlieue.
AGORA : dans l’antiquité, en Grèce, place publique. Espace piétonnier.
Agoraphobie : Distance excessive entre les éléments humains.
Agrégation : assemblage à un tout adhérent de particules solides. 2 admissions à une famille noble à une compagnie. Rattachement de professeurs à la faculté de droit.
Agression : attaque subite et brutale.
Agression : nuisance due à l’environnement du lieu, peut être de différents caractères (sonore, visuel, psychologique, etc….. )
Agression : On se sent agresser lorsque notre corps rentre en conflit avec quelque chose ou quelqu’un mais cependant si l’on se sent agressé à la vue d’un bâtiment, c’est qu’il ne nous ai pas indifférent et n’ai-ce pas le but de l’acte architecturale ?, faire naître un sentiment, une émotion?
Agression : Un objet ou un individu vient perturber l’état d’un autre élément/individu, contre leur volonté ou leur fonction, avec l’objectif de nuire.
Agriculture : ensemble des travaux dont le sol fait l’objet en vue d’une production végétale. Par extension : ensemble des activités développées par l’homme pour obtenir les produits végétaux et animaux qui lui sont utiles en particulier ceux destinés à son alimentation.
AGRICULTURE URBAINE : activité agricole associée à l’activité urbaine pour construire un milieu nouveau appelé campagne urbaine
Agriculture urbaine : l’agriculture urbaine est une forme émergente de pratiques agricoles en ville, milieu urbain, généralement en parcelles partagées, ou en jardins…
Agriculture vivrière : agriculture relative aux produits alimentaires.
Aide : fait d’apporter du soutien morale ou physique a une autre personne.
Aire : L’aire est un espace de la même métrique topographique que le lieu mais d’une plus grande échelle où la distance a donc une grande influence : à la différence du lieu, l’aire est divisible. Comme le lieu, l’aire se distingue par des limites mais celles-ci requièrent pour être perçues la «médiation d’instruments représentationnels (les cartes, les schémas, les images mentales)». C’est un espace de métrique topographique puisque l’aire (comme le lieu) «renvoie à la continuité et à la contiguïté» et «associe sans rupture des espaces continus, soit des lieux, soit d’autres aires» (Lussault 2007).
AIRE URBAINE : selon l’Insee, une aire urbaine est un ensemble de communes, d’un seul tenant et sans enclave, constitué par un pôle urbain, et par des communes rurales ou unités urbaines (couronne périurbaine) dont au moins 40 % de la population résidente ayant un emploi travaille dans le pôle ou dans des communes attirées par celui-ci.
Alcôve : (espagnol alcoba, de l’arabe al-qubba, petite chambre) Renfoncement dans le mur d’une chambre, où l’on place un ou plusieurs lits.
Aliéner : Détourner, éloigner de soi par le travail et la surdose d’informations.
Allégorie : Métaphore, expression particulière d une idée.
Allégorie : Représentation, expression d’une idée par une figure dotée d’attributs symboliques ou par le développement d’une métaphore. «L’allégorie exprime la nostalgie de la disparition lorsqu’une civilisation disparaît.» Juan Dèlcan.
Allen Woody : «L’éternité c’est long. Surtout vers la fin…»
ALLOPHILIE/ALLOPHOBIE : Capacité à accepter ou non l’altérité. Dans les villes ces capacités peuvent aider ou au contraire empêcher des aménagements urbains.
Alternance : «une fois oui et une fois non !».
Alternatif : Qui présente ou propose une alternative, un choix entre deux solutions.
Alternative : obligation de choisir entre deux possibilités. Possibilité de faire alterner deux états.
alternativement : «Ayant pénétré sur le territoire qui a Eutropie pour capitale, le voyageur voit non pas une ville mais plusieurs, d’égale importance et toutes semblables, dispersées sur un vaste plateau ondulé. Eutropie c’est non pas une mais l’ensemble de ces villes ; une seule est habitée, les autres sont vides ; et cela, à tour de rôle. Maintenant, je vais vous dire comment. Le jour ou les habitants d’Eutropie se sentent accablés de fatigue, et que plus personne ne supporte son métier, ses parents, sa maison et sa vie, les dettes, les gens à saluer ou qui vous saluent, alors toute la population décide de déménager dans la vile voisine qui est là à attendre, toute vide et comme neuve, ou chacun prendra un autre métier, une autre femme, verra en ouvrant sa fenêtre un autre paysage, passera ses soirée à d’autre passe-temps, amitiés, médisances. Ainsi la vie se renouvelle de déménagements en déménagements dans des villes qui se présentent chacune, par l’exposition, ou la pente du terrain, ou les cours d’eau, un peu différent. (…)» Italo Calvino, Les villes invisibles, points, page 66
ALTRUISME : amour désintéressé d’autrui.
Amalgame : l’alliage entre éléments a priori non-compatibles.
AMAP : Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne. Destinée à favoriser l’agriculture paysanne et biologique qui a du mal à subsister face à l’agro-industrie.
AMAP : une association pour le maintien d’une agriculture paysanne est un partenariat de proximité entre un groupe de consommateurs et une ferme locale basé sur un système de distribution hebdomadaires.
Ambiance : atmosphère d’un lieu, d’une réunion, d’une fête. Entrain, gaieté d’un groupe de personnes.
Ambiance : atmosphère générale d’un lieu, définie par une température, une lumière, une couleur, une senteur…
Ambiance : atmosphère générale d’un lieu, peut changer avec le temps, les saisons, les textures, les couleurs
Ambiance : Atmosphère matérielle ou morale qui environne quelqu’un, des personnes.
Ambiance : Atmosphère matérielle ou morale qui environne une personne, ambiance d’un groupe, ambiance environnementale (lumière)
Ambiance : Atmosphère perceptible par les sensations, les 5 sens. Une ambiance est subjective à l’individu.
Ambiance : Atmosphère que diffuse un lieu à ces occupants
Ambiance : ce qui environne, milieu physique ou moral, vivre dans une ambiance agréable, familier, gaieté, entrain
Ambiance : définit les qualités perceptibles et sensibles d’un lieu. La lumière, le décor, les matériaux ou encore la musique contribuent à concevoir une ambiance.
Ambiance : Environne et conditionne la vie quotidienne d’une personne. Aide à s’insérer dans un milieu, la jungle ambiante. Ce qui entoure, constitue le milieu ; peut aider à s’insérer dans un milieu. Les jeux de lumière engendrée par les percements de façades, permettent une ambiance particulière au sein du bâtiment.
Ambiance : espace lieu qui provoque une sensation de bien être ou de mal être
Ambiance : Lieu de découverte et de désordre. Se réfère à la qualité d’un lieu.
Ambiance : Qualité du milieu (matériel, intellectuel, moral…) qui environne et conditionne la vie quotidienne d’une personne, d’un objet. Elle peut être détournée, soulignée ou estompée par certains effets de style ou artifices (sons, lumières, traitement des surfaces, des volumes…
Ambiance : ressenti de l’espace, des couleurs, de la trame
AMBIGUITE : c’est le fait de ne pas cerner la volonté première d’une personne ou d’un projet ;conflit entre 2 raisonnements, entre 2 pensées, on ne sait plus quoi pensé. en général il y une volonté affirmé, officiel en conflit avec une volonté caché, voir inconsciente, officieuse .
Ambition : désir souvent excessif des honneurs, de la gloire, de la fortune, etc… désir recherché.
AMBIVALANCE : «Le terme ambivalence a été introduit en 1910 par Eugen Bleuler pour caractériser un aspect de l’état psychique des schizophrènes»
AMELIORATION : action visant a modifier un processus qui ne fonctionne pas à la base qui ne rempli pas sa fonction première.
Aménagement du territoire : action et pratique de disposer avec ordre, à travers l’espace d’un pays et dans une vision prospective, les hommes et leurs activités, les équipements et les moyens de communication.
Aménité : est «amène», ce qui est aimable, agréable, qui procure ou suscite du plaisir. Concernant l’environnement : Le mot et le concept désignent depuis longtemps l’agrément induit par la fréquentation d’un lieu ou par la simple vision d’un beau paysage. Le mot évoque aussi et de plus en plus l’agrément, le plaisir gratuit directement ou indirectement offert par la vision, la contemplation de la nature en tant qu’habitats naturels et ensemble d’espèces animales et végétales en relations ou par l’immersion dans la nature sauvage. .
Aménité : Qualité de ce qui est amène, c’est-à-dire doux, affable. On peut parler de l’aménité d’un lieu.
AMPHIBIE : du grec amphibios, «qui vit dans deux éléments»
Anachronique : Entaché d’anachronisme : Un détail anachronique dans un roman historique. En retard sur son époque, suranné : Des théories anachroniques.
Analogie : Qui fait appel a la ressemblance. Une analogie correspond au caractère semblable de plusieurs éléments, à tout ce qui permet leur rapprochement. Méditation sur des thèmes antérieurs, tel un monologue intérieur. Dans un processus de création, la confrontation et le rapprochement de plusieurs idées peut en générer une nouvelle. Aldo Rossi
Analyse : compréhension de, étude de
Ancrer : Fixer un bateau quelque part à l’aide d’une ancre. Fixer profondément un sentiment, une habitude chez quelqu’un ; inculquer : On lui a ancré ce préjugé. Établir solidement une institution, un parti, etc. , quelque part : La propagande a ancré le parti dans cette région. Réaliser un ancrage.
Animation : implique une forme dynamique, fluide déterminée par une action, un mouvement, pour une information logique et organisée, en évolution.
Animer : 1. Donner de la vie du mouvement : animer une marionnette. 2. Rendre plus vif, plus vivant : animer la conversation. 3. Pousser à agir : c’est la passion qui l’anime. 4. Diriger, présenter un débat, une émission, un jeu : animer une réunion.
Antagonisme : lutte de deux forces, deux puissances opposées. L’antagonisme est un phénomène où deux entités s’opposent. Destruction, lésion ou inhibition de croissance réciproques de différents organismes occupant la même niche écologique.
Anthropocentrique : l’homme est au centre
Anthropologie : ensemble des sciences consacrées à l’étude de l’homme sous tous ses aspects, physique et culturels.
Anthropomorphisme : donne forme humaine a des objets.
Anticipation : action d’anticiper une chose, de la faire avec avance.
Anticipation : Idéal. Conception d’un projet qui paraît irréalisable.
Antigravité : le concept d’absence de gravité dans une zone ou pour un objet. Se libérer de la force bizarrement beaucoup plus faible qu’elle devrait l’être. Notre idée des boxes flottants qui visuellement échappent a la gravité.
ANTIGRAVITE : volonté de se détacher du sol, de luter contre la plus grande des forces la gravité ;voler, planer plutôt que d’être poser, de tomber, de sauter ;tirer quelque chose vers le haut plutôt que vers le bas. Tenter de faire «planer»les plateaux intérieurs.
Antisismique : destiné à résister aux secousses des tremblements de terre. Fondations antisismiques.
APAHASIE : perte plus ou moins complexe des souvenirs verbaux
APHONISME : «Sentence exprimée dans un énoncé concis».
Aphorisme : ne sentence énoncée en peu de mots. Une phrase qui résume un principe ou cherche à caractériser un mot, une situation sous un aspect singulier.
Aphorisme : sentence exprimée dans un énoncé concis.
Apostasie : Latin ecclésiastique d’origine grecque apostasia. Abandon de la foi et de la vie chrétienne; abjurer, renier (sa foi) par extension renonciation aux voeux. «Balles de la trahison et de l’apostasie» Article du web sur la mort de Ben Laden
appartenir : 1. Être la propriété de ; ce livre lui appartient 2. Faire partie de ; appartenir à un groupe Il appartient à, quelqu’un de : il est de son devoir de : il vous appartient de lui répondre
Appartenir : indirect (bas latin appartinere, être attenant, de pertinere, se rapporter à) Être la propriété de quelqu’un, son bien, soit de fait, soit de droit : Cette maison appartient à un industriel. Être à la disposition de quelqu’un, dépendre de lui, se prêter à une quelconque activité de sa part : L’avenir appartient aux audacieux. Se donner à quelqu’un d’autre par amour. Être le propre de quelqu’un, lui revenir, relever de lui : Il lui appartient de décider, de juger. Faire partie d’un groupe, d’un ensemble, d’une classe, en être un élément : Appartenir à une famille d’ouvriers.
Appartenir : prendre pour soi, pour sien, être dans son quartier, son logement, marquer son lien, son territoire, son appartenance.
Appropriation : Action de s’approprier et de personnaliser un lieu, un espace.
Appropriation : action sur un lien se caractérisant par le moyen de laisser une trace dans le but de marquer son territoire.
Appropriation : fait de s’approprier, de prendre possession de … S’approprier son environnement, c’est prendre possession des lieux.
appropriation : investir, marquer un lieu que l’on considère sien
Appropriation : lorsqu’une personne s’accapare d’un objet qui ne lui est pas forcement destiné. Signe d’affection.
Appropriation : n. f. Action d’approprier quelques chose à quelque chose d’autre d’être approprié à.
Appropriation : on n’est jamais surpris de voir qu’on s’est trompé. On quitte sans peine une pensée qu’on avait sans appropriation. Appartenir, prendre pour soi, pour sien, être dans son quartier, son logement, marquer son lien, son territoire, son appartenance.
Approprier (s’) : façon de s’accaparer un objet, un lieu, …, par n’importe quel moyen.
approprier (s’) : Prendre possession d’un lieu, et y établir des repères.
Approprier : (latin médiéval appropriare) Adapter quelque chose à un emploi, à une destination : Approprier un traitement à l’état général du malade.
approprier(s’) : rendre sien un espace; par un apport personnel le plus souvent .
Aquatique : qui est formé d’eau, qui vit dans l’eau.
ARABLE : cultivable, pouvant être labouré.
Arbitraire : qui résulte d’un libre choix et ne répond à aucune nécessité logique. Autorité qui s’exerce sans aucune autre règle que le bon plaisir.
Arborescence : forme rappelant la ramification d’un arbre.
Arbre : en effet, l’arbre est structuré; celle-ci parait être aléatoire pourtant l’ingénieure structure à été méticuleux! Même si aucune branche ni aucune ramification ne se ressemble, le tout est stable et il parait y avoir une symétrie vertical quand au charges exercées sur le tronc
Arbre : végétal présentant une structure propre .
Arbre : végétal vivace, ligneux, rameux ne portant de branches durables qu’a une certaine distance du sol.
Archéologie : Découverte de ce qui fut jadis une réalité, rétablissement du sol réel.
Archéologie : redécouverte d’un élément qui un jour fut à découvert et qui ne l’est plus. Par exemple le sol réel, qu’on propose de redécouvrir .
Archéologie : science visant a mettre à jour le passé.
Archipel territorial : La ville moderne telle qu’elle devrait être d’après Rem Koolhaas. Composé d’îles architecturales regroupant différentes infrastructures et séparées par des forêts et des lacs. Vision alternative de la ville moderne, influencé par la science fiction et peut être un peu utopique, mais intéressante car partant d’une vision complètement différente de l’organisation territorial qui est la notre actuellement. (Broadacre City)
Architectural language : en opposition avec le langage objectif, il représente l’ensemble des éléments de dialogue du projet (plan, coupe, détail, …) (langage arboré au sein d’un corps de métier, ou de personne en relation avec ce métier, visant à utilisé les mêmes mots, les mêmes thermes, permettant une meilleurs compréhension général. )
Architectural sensibility : sensibilité architecturale : changement dans la vision de l’architecture se posant plus la question de la ville existante que comme un ensemble de bâti. L’architecte se questionne sur les besoins, nécessite des habitants, plutôt que de tourner autour du nombril esthétique architecturale. notion personnelle : gout, émotion envie, ressenti face a un objet architecturale en fonction de sa personnalité, vécu, gout.
Architecture : Art de concevoir, de combiner et de disposer…
ARCHITECTURE : discipline qui met les espaces en sympathie
Architecture : production idéologique, production typologique considérée comme manifestation collective d’une société. Production d’un architecte, visant a un développement positif de la société dans laquelle il évolue, l’architecte est au service de la société et il dépend d’elle. L’architecture née d’un besoin, d’une volonté architecture est et matérialisé a partir d’une idée forte.
Architecture de communication : manière de mettre évidence des symboles plutôt que le bâtiment concerné.
Architecture de lumière : fait de mettre en scène un lieu, un espace, un édifice en jouant sur un effet de lumière.
architecture du logement : «la dislocation continuelle des logements, en d’autres mots, de disloquer ce qui localise.»
Architecture selon Renzo Piano : l’architecture est quelque chose de dangereux, c’est un art socialement dangereux, parce qu’imposé à tous. L’architecture impose une immersion totale … Un immeuble laid reste là, devant nous et nous sommes obligés de le voir. Lourde responsabilité.
Architecture-action : privilégier le mouvement plutôt que la position. Créer l’action avec l’architecture et non pas dans l’architecture. Lisible dans le de notre projet .
aréolaires aréole : cercle qui se forme autour d’une inflammation.
Argile : roche sédimentaire souvent meuble, qui, imbibée d’eau forme un pâte pouvant être façonnée.
ARGILE : Terre molle compacte et grasse, composée principalement de Silicate d’Aluminium.
Ariella Masboungi : «un énoncé simple pour tenir dans la durée» au sujet du projet urbain.
Arrêt/Mouvement : état physique d’un objet ou d’un individu à rester figé, immobile / à l’inverse.
ART : c’est le plus court chemin d’un homme à un autre
Art : ensemble des procédés, des connaissances et des règles intéressant l’exercice d’une activité.
Artefact : Accident volontaire dans la composition.
Artefact : altération structurelle artificielle ou accidentelle survenant lors d’une expérience.
Artefact : phénomène créé de toute pièce par les conditions expérimentales, un effet indésirable. Phénomène ou signal artificiel dont l’apparition est liée à la méthode utilisée, lors d’une expérience, provoquant une erreur d’analyse. Effet artificiel.
ARTEFACT : Structure ou phénomène d’origine artificielle ou accidentelle rencontré au cours d’une observation ou d’une expérience portant sur un phénomène naturel.
Articulation binaire : Liaison entre deux éléments qui sembleraient en opposition ou contraires (parole-écriture, nature-culture, réalité-apparence).
Articuler : 1. Faire entendre distinctement des sons, les syllabes des mots à l’aide des organes de la parole 2. Assembler par des jointures permettant un certain jeu.
artifacts : artefacts : la ville est décrite comme un assemblage d’éléments, indépendants les uns des autres mais formant un tout additionnés les uns aux autres. -Éléments naturels rencontré au cours d’une expérience scientifique.
Artificialisation : Modification du milieu (sol, climat) ou des plantes, provoquée par l’homme, en vue d’améliorer les conditions d’une production agricole
Artificiel : élément reproduisant quelque chose de naturel en voulant imiter le même effet
artificiel : Élément s’opposant à toute notion de «naturel».
artificiel : la dualité artificiel-naturel se retrouve en tout endroit du globe, les paysages peuvent paraître naturels, pourtant ils bénéficient de la science de l’homme.
Artificiel : la nature n’est plus dès que l’homme y intervient. On ne ressent plus la limite architecture-nature aussi clairement. Pris pour signifier la différence entre le sol réel et le faux-sol, qu’on cherche à raccorder .
Artificiel : Production humaine.
Artificiel : produit par le travail de l’homme et non par la nature.
Artificiel : qui est le fruit de la production de l’homme.
Artiste : personne qui exerce professionnellement un des beaux arts. Personne qui a le sens de la beauté et est capable de créer une œuvre d’art.
Assainissement : Asséchement, dessèchement, drainage, évacuation.
Assemblage : Liaison entre deux ou plusieurs éléments.
Assemblage : liaison entre deux ou plusieurs éléments.
Assemblage : union de composants.
Associer – Connecter : Le projet crée des liaisons entre plusieurs éléments. C’est l’architecte qui doit établir les corrélations entre ces différentes entités.
Associer – Connecter : liaison entre les différents espaces (pixels) par des passerelles. . Liaison entre les espaces, privés et semi privé afin qu’ils entretiennent une étroite relation.
Associer : Le projet essai d’entrer en relation avec le site, toutefois, on doit donner une identité propre au bâtiment.
Ataraxie : absence de trouble
Atelier 4a de l’ENSA Montpellier : ouvert 24/24, espace de travail permettant également le délire, le pétage de plomb, la restauration rapide et le couchage.
ATHMOSPHERE : milieu dans lequel on vit, considéré comme exerçant une influence.
ATMOSPHERE (lieu) : Ambiance particulière d’un lieu .
Atmosphère : ambiance, climat, contexte. Atmosphère agréable, désagréable, tendu, etc…
Atmosphère : Enveloppe gazeuse entourant une planète, en particulier la Terre. Partie de l’atmosphère terrestre la plus proche du sol, dans laquelle se déroulent les phénomènes météorologiques. Milieu gazeux inclus dans une enceinte, un local et dont les caractéristiques sont adaptées à l’opération à mener. Air d’un pays, d’un lieu ; air que l’on respire en un lieu : L’atmosphère humide du littoral. La pluie a rafraîchi l’atmosphère. Milieu dans lequel on vit, considéré par rapport à l’influence qu’il exerce sur les êtres qui y vivent ; climat, ambiance : Une atmosphère familiale pesante.
Atmosphère : milieu dans lequel on vit, considéré par rapport à l’influence qu’il exerce sur les êtres qui y vivent : climat, ambiance…
Attendre : action de patienter jusqu’à ce qu’un événement se passe.
attiré : à soi, sur soi l’oeil, le désir,
Attractif : Espace ou lieu irrésistiblement attirant.
Attractif : espace ou lieu qui attire les gens vers lui .
Attractif : Qui plait, attire par son charme : attrayant, captivant. Qui à la propriété d’exercer une attraction.
Attractif : qui suscite le désir.
Attractif : suscite une curiosité.
Attractif : Synonyme de ludique agréable. Qui sait attirer l’attention.
Attractif : un prix attractif, on y résiste pas !
ATTRACTION : c’est le fait de canaliser le maximum de flux de circulations, le maximum d’interaction à un endroit précis.
Atypique : qui sort de l’ordinaire, bouscule les codes établis, attire la curiosité.
Audace : Grande hardiesse.
Audace : Il ne s’agit pas de faire des démonstrations gratuite; la témérité ne vaut pas l’innovation. On ne met pas de réserve, on donne de l’énergie au projet.
Audace : Grande hardiesse.
Audace : prendre des risques calculés et innover, inverse de l’imprudence gratuite et de la témérité. Donner de l’énergie .
Audacieux : qui a de l’ambition, goût du risque, qui n’hésite pas a dépasser les limites, le tout étant de savoir jusqu’où on peut aller.
Audacieux : Se dit d’un élément ou d’une personne qui vient perturber un lieu, un contexte particulier, volontairement.
Auraliser : restituer le ressenti sonore d’un bâtiment ou d’une place
Autarcie : Ville qui se suffit à soit même, autosuffisance.
AUTISME : (du Grec autos, même) Repli morbide sur soi-même. (C’est avec la dissociation, l’un des symptômes fondamentaux de la schizophrénie. )
Autogestion : la démocratie dans laquelle nous vivons se nomme eux-mêmes «représentative», c’est-à-dire que les citoyens n’ont pour l’occasion de s’exprimer que le vote. Une démocratie plus directe exigerait que l’on développe l’autogestion, notamment dans l’habitat collectif.
Automobile : se dit d’un appareil qui possède en lui même son moteur à explosion, à combustion, électrique … Véhicule routier mû par un moteur.
AUTONOMIE : «Se définit par l’indépendance d’une personne.»
Autonomie : Droit fait de se gouverner par ses propres lois. Faculté d’agir librement.
avant-garde : goutte d’eau qui fait déborder le vase dans l’évier
avant-garde : moment de rupture, apportant la connexion entre liberté et nouveauté
Avant-gardisme : Fait d’être précurseur, notion relative à la pertinence et la nouveauté de l’idée.
Avatar : image virtuelle donnée aux autres.
Avatar : transformation, changement dans le sort de quelque chose.
Aveugle (façade) : et nom (bas latin *ab oculis, privé des yeux) Qui est privé du sens de la vue. Se dit de quelqu’un qui se refuse à voir la réalité, qui manque de jugement : La passion la rend aveugle.
Axiomatique : Fondé sur l’évidence.
axionnisation : fait de réutiliser les axes préexistant d’un site si ces derniers sont cohérents avec le mode et la volonté de déplacement au moment du projet.

Bâcler : quand le temps prend le dessus sur nos objectifs.
Balançoire : Mobilier d’assise suspendu, généralement installé en extérieur. La balançoire, très convoitée pendant l’enfance, permet une oscillation reposante.
Balcon : jardin dégagé du sol.
Balcon : plate-forme de faible amplitude située en façade.
Balise : élément mis en évidence qui par un procédé visuel ou formel crée un repère attractif.
Bancal : Objet qui paraît instable, penché (ex la tour de Pise)
Bancal : Superpositions hasardeuses de volumes les uns au dessus des autres.
Bande : créent des espaces flexibles, et rythmés par la variation de la forme.
Bande : élément longitudinal de toute forme, qui peuvent se répéter donnant un caractère dynamique à un bâtiment.
Bande : La bande implique forcément un déroulé linéaire donc la forme ne varie que dans 2 plans (mis a part la torsion de la bande qui dénaturerai le concept) les variations de volume et le rythme restent donc assez figé
Bande : Surface étroite et longue qui rythme l’espace.
Bande : surface étroite et longue.
Bande, plates-formes, plateaux : superposition ou accolement d’éléments architecturaux venant reprendre une topographie existante en y créant une nouvelle, avec ou sans obéissance. Le bâtiment se développe selon une bande se dépliant, devenant à tour de rôle plancher puis plafond.
Banlieue : la banlieue désigne l’espace urbanisé d’une ville qui est situé dans la continuité du bâti de sa ville centre et qui en est administrativement distant. Dans les médias, elle désigne des quartiers pauvres, à problèmes (abus de langage)
BARICCO : «un devoir d’imagination, de ténacité, de colère».
Baroque : Style de l’exubérance
BAROQUE : Style né à la faveur de la contre réforme (XVI, XVII et XVIII) en Italie Le Bernin par exemple. Le baroque s’est manifesté par le gout des effets de masse, de mouvement en architecture, le colossal et la ligne courbe.
Beauté : Caractère de ce qui est beau
Béguinage : Habitat groupé participatif qui permet d’harmoniser les valeurs d’intimité et de liberté avec celles de la convivialité et de la solidarité.
BÉGUINAGE : Mode d’habitat groupé qui retrouve aujourd’hui ses lettres de noblesses pour proposer aux personnes âgées ou handicapées une alternative entre le maintien à domicile et l’entrée en institution.
Behaviorism : behaviorisme : Analyse comportementale systématique des groupes d’individus composant la ville sans tenir compte des réalités. (cf texte Behaviorism architectural) -analyse de la réaction d’un organisme, objet vis a vis de l’environnement l’entourant .
Belvédère : Kiosque. Mirador, pavillon. Lieu terrasse plate-forme d’où la vue est étendue.
BEPOS : Bâtiment à Énergie Positive c’est-à-dire produisant plus d’énergie par ses capteurs solaire, éolienne, géothermie qu’il n’en consomme pour se chauffer, s’éclairer, se climatiser.
BERNARD : «Dieu est hauteur, largeur et profondeur» pour définir un bâtiment.
Besoin : Est nécessaire au bon fonctionnement d’une activité d’une personne, un manque.
Besoins primaires : Besoin élémentaire mais nécessaire à la vie humaine.
Besoins primaires : Besoins nécessaires et suffisants a la vie repos, alimentation, hygiène.
BETON D’ARGILE : Matériaux utilisant la chaux comme liant et l’argile en granulats naturels.
Béton de terre : Béton constitué de terre crue.
BÉTON PRÉCONTRAINT : «Le béton «précontraint» est une technique mise au point par Eugène Freyssinet en 1928 et testée sur des poteaux préfabriqués destinés au support de câbles électriques».
Bicloo : système de vélo en libre service de la ville de Nantes.
Biclou : argotiquement vélo, bicyclette.
Bien être : Osmose intérieure, sentiment de plénitude. Contraire du mal être. L’un des objectifs d’un projet architectural est d’offrir un bien être aux utilisateurs.
Bien-être : état physique et moral donnant à l’individu une sensation de plaisir.
Binôme : ensemble de deux individus.
Biodiversité : Cohabitation de différent systèmes ou organismes, créant un tout.
Biodiversité : Cohabitation de différents organismes.
Biodiversité : cohabitation de différents systèmes entre eux.
Biodiversité : Diversité des espèces vivantes et de leurs caractères génétiques.
Biodiversité : diversité des espèces vivantes.
Biodiversité : diversité naturelle des organismes vivants.
Biodiversité : La biodiversité est un concept, une représentation holistique de la nature permettant de toute la décrire et l’analyser la nature «ordinaire» «sans intérêt» n’existant pas pour mieux la conserver dans la perspective d’utilisation par les générations futures. D’un point de vue scientifique, la biodiversité peut être définie comme la quantité et la qualité de l’information contenue dans tout système biologique (Lebreton 1998).
BIOLOGIE : La biologie, appelée couramment la «bio», est la science du vivant.
BIOLOGIQUE : bios (la terre) + logos (l’étude). Science de la vie, divisée en différents niveaux : molécule, cellules, organismes et population.
BIOMIMETISME : «la nature est un modèle». S’inspirer de la nature et du vivant, pour reproduire des performances structurelles, morphologiques ou thermiques, que la nature a mis au point depuis des millions d’années, pour optimiser son adaptation à l’environnement.
Bionique : Étude du monde vivant et son application aux créations de l’homme.
Bionique : techniques inspirées du monde vivant.
biosphère : Reconstitution artificiel d’un monde plus adapté à la vie de l’étudiant tant au niveau d’un climat approprié a son bien être mais également à un contrôle de la luminosité . Nouveau monde clos et approprié a l’épanouissement de l’homme et des végétaux .
BIOTOPE : «Milieu biologique déterminé offrant des conditions d’habitat stables à un ensemble d’espèces animales ou végétales (biocénose)».
Blasé Type : (G. Simmel) Neurasthénique : Individu qui a une fâcheuse tendance à broyer du noir. the neurasthenic who survives the increase in nervous life by becoming totally intellectualized and indifferent.
Blur : (nuage) Permet l’union entre le monde analogique et symbolique. Permet de construire l’air. C’est un ensemble visible de particules d’eau très fines. Le nuage en architecture selon Diller Scofidio.
Blur : Forme indéterminée, qui évolue en fonction de la densité et de sa composition interne.
BOCAGE : petit bois naturel à arbres peu élevés. Région ou les champs sont bordés de haies.
Bocage : petit bois naturel à arbres peu élevés. Région où les champs sont bordés de haies, sans remembrement.
Bocage : type de paysage rural crée par l’homme, constitué de haies de grands arbres entourant des parcelles cultivées ou en prairies.
Bocager : de bocage «forêt, haute de oiseaux bocagers» RONSARD. Bocage et petit bois, une verdure qui donne de l’ombre «au mois de juin sous les bocages» ROUSSEAU. Paysage caractéristique de l’ouest de la France formé de près, enclos de haies vives, le bocage normand . Mail bocager= bordé de haies vives
Boire un coup : justifier une pause, peux être remplacé ou additionné à la prise de tabac
Boîte : (latin populaire *buxita, de buxis, -idis, du grec puksis, buis) Contenant rigide en bois, carton, métal ou matière plastique, avec ou sans couvercle, dans lequel on met des objets ou des produits divers : Boîte à outils. Boîte d’allumettes. Contenu d’une boîte : Manger une boîte de chocolats. Familier. Lieu de travail, entreprise : Changer de boîte. Argot scolaire. Lycée, collège. Populaire. Chute à skis ou en moto. Menuiserie, guide de maintien destiné au sciage ou au rabotage manuel.
Boite : Élément contenant, de forme parallélépipédique.
Boîte : enferme quelque chose.
Boite : Enferme, englobe, protège, rassemble, met en scène.
Boite : espace délimité de tout coté pouvant être totalement fermé.
Boite : mouvement d’architecture contemporain.
Bosse : Architecture adaptable au corps capable de transmettre une énergie à d’autres organismes.
Bosse : Excroissance d’un élément. Dégénérescence d’un corps ou d’un milieu.
Bosse : saillie arrondie.
Boucle : caractéristique élastique et indiscipliné. Système dynamique qui permet de jouer sur la topographie.
Boucle : circulation dont le point d’arriver est le point de départ.
Boucle : cyclique, qui revient à son point de départ, à l’inverse de la spirale qui elle évolue
Boucle : cyclique, qui revient à son point de départ, le déplacement dans les différents plateaux est d’ordre cyclique.
Boucle : élément revenant à son point de départ et f.
Boucle : mouvement d’enroulement entre phénomène, processus et structure comprimée qui forment des combinaisons insolites.
Boudoir : petite pièce dans un logement a la réputation sulfureuse, aménagée entre la salle a manger et la chambre a coucher. -sucrerie
BOULEVARD : «Un boulevard est une voie relativement importante (quatre voies de circulation ou plus) avec de larges allées piétonnières sur ses bords»
Boulevard : Issu de l’allemand bollwak, ouvrage de défense, fortification du XVe, terre plein d’un rempart, le terrain occupé par un bastion. Par extension, il désigne ensuite la place forte, puis la promenade ou la voie large de circulation plantée d’arbres qui sur l’emplacement de ces anciens murs fait le tour de la ville. La démolition systématique des anciens remparts des villes à permis, à travers l’Europe, la création généralisée de boulevards.
bouleversement : «L’idée d’Eitan Tcherenkov, pour qui la domestication du chien au levant débuterait par un phénomène de commensalisme, a gagné du terrain depuis qu’elle a été avancée, il y a une quinzaine d’années. Dans ce scénario, et c’est son intérêt, ce ne serait pas l’homme qui aurait pris l’initiative, mais l’animal. Tchernov part du constat que, plus les habitats humains sont permanents, plus l’environnement autour d’eux est perturbé. Une nouvelle niche écologique aurait ainsi été créée où de petites populations de loups se seraient établies. En quelques générations, ces populations se seraient isolées des hordes vivant dans des milieux moins humanisés. Elles se seraient acclimatées à l’homme qui, à son tour, aurait introduit certains individus dans ses villages, poursuivant ainsi, et accentuant, la séparation amorcée par les animaux. (… )» François Valla, L’homme et l’habitat, page 63
Bourgeoisie : Classe sociale égoïste imposant son point de vue et idée en ignorant les autres classes -classe sociale possédant un capital important.
Branchies : décollement de la peau sous forme d’entailles permettant une respiration.
Branchies : Surface d’échange respiratoire, entre deux extérieur/intérieur.
Bricolage : C’est l’utilisation de nombreuses références, nombreux éléments inventés avec des sens conventionnels que l’on va recombiner de façon à donner du sens à un objet.
Bruit : Dissonance, le bruit fait appel à la sensation auditif, perçue comme une information non pertinente.
Bruit : ensemble d’émissions sonores sans harmonies.
Bruit : ensemble d’émissions sonores, protéger l’espace des bruits involontaires dans des habitations collectives.
Bulle : (latin médiéval bulla, sceau) Lettre apostolique rédigée en forme solennelle, dont l’objet est d’intérêt général et qui est scellée du sceau pontifical. (On les désigne par le ou les premiers mots du texte. ) Tête de clou ornementé protégeant des vantaux de porte, des coffres, des ais de reliure. À Rome, petite boule que tous les garçons de naissance libre portaient autour du cou jusqu’à l’âge de quinze ans. Au Moyen Âge, boîte du messager chargé de porter une ordonnance seigneuriale. Cachet ou sceau de métal attaché à un acte pour l’authentifier.
Bus / Autobus : véhicule automobile urbain de transport en commun.

Caché : Présent et absent a la fois, l’objet se recherche, se devine, se dévoile, cré l’attente, le mystère et la surprise.
CADASTRE : Document dressant l’état de la propriété foncière d’un territoire.
Cadrage : Choix de vue par rapport a l’extérieur ou au fonction dans la conception du projet.
Cadrage : en psychologie et en économie le cadrage est la façon de présenter une décision, en photographie et cinéma, le cadrage est un terme technique pour la prise de vue.
Cadrage : mise en valeur d’une partie du paysage
Cadrage : sélection d’une vue par un effet spatial.
Cadre logique : Le cadre logique sert à : mieux formuler ses idées ; exposer ses idées de manière claire et normalisée ; tenir compte de tous les aspects nécessaires à l’obtention de résultats à long terme.
cadre subalterne : Qui occupe un rang inférieur et dans une position subordonnée laissant peu de part à l’initiative.
Calme : ambiance tranquille, sans perturbations.
Calque : Papier transparent, permettant la reproduction d’un dessin. papier translucide. matière semi – opaque, filtre les sons, la lumière, les images.
Camelot : Marchand ambulant qui vend des marchandises à bas prix, boniment de camelot. Camelot du roi; partisan du roi qui vend des journaux monarchistes.
Camouflage : optique. Revêtir une seconde peau pour se fondre à son environnement.
Camouflage : dissimulation par l’accord à l’espace environnant.
Camouflage : dissimulation par l’accord à l’espace environnant.
Camouflage : Dissimuler dans l’environnement, en parfait accord avec son milieu.
Camouflage : Il consiste en une manipulation intentionnelle de la réalité, qui, à partir des éléments les plus apparents du milieu, on crée une figure abstraite capable de se fondre dans le paysage du milieu ambiant. Dans le cadre de notre projet, on extrapole la caractère hostile du site en le matérialisant par une peau comme grillagée et des angles aigus.
Camouflage : Objet recouvert d’une peau superficielle venant le faire fondre dans le décor.
Camouflage : Permet l’union entre le monde analogique et symbolique. Relatif au mimétisme qui est une stratégie adaptative d’imitation. Peut être des artifices militaires, des peintures. . Objet qui se fond dans un lieu. Le camouflage selon François Roche.
Camouflage : se cacher, se masquer pour mieux montrer.
Camouflage : se déguiser, se vêtir d’une peau, d’un habit permettant de se rendre le plus discret possible, dans un milieu donné .
Camouflage : Surface permettant de cacher quelque chose, la verdure camoufle ici la vie interne des habitants, et laisse légèrement entrevoir ce qu’il y a.
CAMPAGNE : nature domestiquées par l’homme (du matin campus : champ)
CAMPAGNE URBAINE : mélange durable et intentionnel de formes et de fonctionnalités urbaines et rurales impliquant des habitants de cultures différentes
Campus : complexe universitaire autonome à l’origine extérieur aux villes.
Campus : Désigne l’espace rassemblant les bâtiments et l’infrastructure d’une université située hors d’une ville. Ce terme inclut ainsi les bâtiments abritant entre autres salles de classes et de recherche, bibliothèques, restaurants, résidences universitaires, et parfois complexes sportifs.
campus : Lieu de vie universitaire où se mélangent étudier, habiter, s’exprimer, se divertir, se cultiver, consommer, rencontrer, …
CAMPUS : ville qui est régie par la communauté des étudiants. Il a le même mode de fonctionnement qu’une ville normal mais à plus petite échelle.
Canopée : étage sommital de la forêt.
Capotage : couvercle métallique.
Capotage : Couvrir un volume dans le but de le préserver d’un environnement extérieur hostile ou pour créer un micro climat interne à ce même volume.
Capturer : Enfermer, garder pour soi (capturer les flux, les attirer).
Carnet : cahier de petit format où l’on inscrit des notes, des relevés, etc…
Carré : figure géométrique dont les quatre cotés, les quatre angles sont identiques.
Carré : forme pure et équitable.
CARROYAGE : «Le carroyage est une technique de quadrillage utilisée en topographie, afin de rassembler et de traiter des données en vue d’une exploitation cartographique».
Carroyage : technique de quadrillage utilisée en topographie afin de rassembler et de traiter l’information géographique ou statistique.
Carroyage : un carroyage est une technique de quadrillage utilisé en topographie.
CARTÉSIEN : Qui est logique, méthodique ou rationnel.
Catalyseur : accélérateur d’un processus, de l’activité d’un lieu que ce soit d’un point de vue économique ou tout simplement d’un point de vue fréquentation.
Catastrophe : Événement soudain et chaotique qui vient perturber un lieu et son contexte (ex catastrophe naturelle).
Catastrophe : s’impose au contexte existant et le modifie.
Causalité : rapport d’une cause à son effet. Corrélation, rapport «le hasard, c’est le purgatoire de la causalité» Jean Baudrillard.
Cellule : Élément clos et constitutif d’un plus grand ensemble. Signifie petite chambre en latin.
Cellule : être vivant microscopique; espace minimum vitale.
Cellule d’habitation : Espace de vie individuel minimal, dans lequel une personne a la possibilité d’effectuer les activités suivantes : dormir, manger, soigner son hygiène, travailler.
Cellule de vie : lieu résiduel où l’on peut vivre dans un confort minimal.
Centralité : la centralité est la propriété conférée à une ville d’offrir des biens et des services à une population antérieure, résident dans la région complémentaire de la ville. En urbanisme, caractérise la concentration d’emploi, de services et d’activités au sein d’une ville.
Centralité : proposé par W. Christaller en 1933, centralité est la propriété conférée à une ville, d’offrir des biens et des services à une population extérieure, résidant dans la région complémentaire de la ville. Aussi, la centralité caractérise la position d’un noeud dans un réseau.
Centre urbain et centralité : Situation d’urbanité la plus intense possédant un potentiel nommé centralité qui exprime sa capacité attractive et polarisante (Lussault 2003). «La question urbanistique (la centralité comme ressource et catégorie de l’action peut-être formulée ainsi : étant donné l’expérience de la planification de nouveaux centres au 20 ème siècle d’une part (esprit et matérialisation comprises) et le développement multipolaire non intentionnel des agglomérations d’autre part, dans quel état se trouve aujourd’hui la figure de la centralité ?» (Devisme 2005).
Centrifuge : Espace qui repousse tout vers l’extérieur de manière circulaire.
Centrifuge : qui pousse vers l’extérieur.
Centripète : espace attractif, qui amène à aller vers lui
CES : Coefficient d’emprise au sol.
Chambre : lieu de repos, destiné au sommeil.
Champs agricoles : exploitation de la terre agricole.
Chaos : Amas d’objets, atelier, végétation, passerelles, coursives, structures.
Chaos : Bordel, foutoir ambiant. Lecture difficile de l’environnement. Nous pouvons trouver sur le site un certain chaos dû à la superposition des éléments (routes, bâtiments. . ), c’est un lieux plutôt déstructuré sans réel concordance. Ce chaos a tenté d’être retranscrit grâce à la superposition des passerelles, dont chacune sont différentes par leurs largeurs et leurs directions.
Chaos : État de désordre et de terreur
Chaos : état primaire, sombre, et informe.
Chaos : site «chaotique». Chaque élément présent a son propre fonctionnement, et une logique différente.
chaos : univers ambiant, espace intérieur central = espace atypique avec un jeux de circulations horizontales (passerelles) et verticales (escaliers ascenseur) qui donne cette sensation de désordre chaotique. .
CHASHITSU : Cérémonie du thé événement codifié au Japon qui se déroule de préférence dans la maison de thé avec un cérémonial ancestral.
chat : «un chat est un animal qui marche sur ses quatre pattes et miaule»
chat : compagnon psychique de l’Homme
Chemin : Tracé au sol (ou non)qui vient influencer la circulation. Il peut être matérialisé par une matière spécifique, distincte ou la répétition le prolongement d’un événement, d’un objet,
Chemin hamiltonien : chemin du désir. Le chemin que l’on suit intuitivement.
Chemin hamiltonien : tracé direct d’un chemin pour aller d’un point à un autre.
Cheminement : Action de cheminer ; progression lente et régulière : Le cheminement des eaux dans le sous-sol. Lente progression, évolution : Suivre le cheminement de la pensée d’un auteur. Chemin de fer, déplacement longitudinal des rails sous l’influence du passage répété d’essieux chargés ou de déformations lentes de la plate-forme qui supporte la voie. Chimie, ensemble des étapes d’une réaction chimique séparant l’état initial de l’état final. Topographie, opération consistant à déterminer sur le terrain les coordonnées d’une ligne polygonale reliant deux points connus.
Cheminement : lente progression, évolution.
Cheminement : notion de suite dans le parcours d’un individu, existence de lien, similitudes dans les différentes actions, étapes constituant l’action générale.
Cheminement : parcours guidé semé d’embûches.
Cheminement : parcours guidé, déterminé de façon implicite par une ou plusieurs directions
Chercher : Avoir un regard actif sur un bâtiment, se questionner. Par exemple le jeu de vues crée par la résille et la hauteur .
Chercher : s’efforcer de se procurer, de trouver quelque chose, une sensation, …
Chevauchement : Cela implique simplicité taille quasi similaires. Les volumes se chevauchent créant des situations et des ambiances différentes.
Chevauchement : être superposer.
Chez-soi : Le concept de «chez-soi» véhicule deux questions distinctes reliées : celle de la maison («chez» dérive du mot latin casa) et celle de l’habitant par le pronom personnel «soi» qui renvoie à son intérieur et indique ainsi que la maison est le lieu de la conscience d’habiter en intimité avec soi-même. Ce concept intègre donc «l’habitation et l’un de ses modes majeurs d’expérience, soit l’intimité» (Serfaty-Garzon 2002).
Chimère : créature fantastique composée de plusieurs animaux : tête de lion, corps de chèvre, et queue de serpent, crachant du feu et dévorant les humains. Désigne aussi toute créature composite possédant les attributs d’animaux, ou de rêve, ou de fantasme, ou utopie.
Choc : Confrontation rapprochée entre des objets, et des personnes.
Choisir : le plus dur,
choix : détermination de contraintes spécifiques
choix : standard de goût et parti pris d’une norme véridique
Christianisme : service payant d’aide aux personnes en manque de repères. Notre projet traverse le terrain d’une de leurs entreprises.
Chrysalide : enveloppe protectrice organique prenant appui dans son environnement.
Chrysalide : enveloppe protectrice organique prenant appui dans son environnement.
Chrysalide : Enveloppe superficielle et temporaire afin de protéger la métamorphose de l’entité enveloppée.
Circulation : Espace de passage de rencontre et de partage.
Circulation : flux de déplacement
Circulation : les lieux de circulation comme le couloir ou la coursive peuvent être plus que des lieux de passage, de transition. en effet c’est en général là, que des liens entre voisins se tissent que des échanges se font, c’est donc ou devrait être un lieu de partage et de communication
Circulation : Mouvement des véhicules, des piétons, etc., qui se déplacent sur des voies de communication
circulation : Phénomène de déplacement de plusieurs entités (véhicules, piétons, …) selon des axes, des voies.
Circulation : qualifie la densité de flux humains pluri-directionnels sur un ou plusieurs axes définis.
Circulation : surface de déambulation verticale ou horizontale, lieu de passage, de transition.
Circulation 3D : Matérialiser les réseaux dans l’espace et non pas au sol ( 2D )
CITE : ensemble de la ville et de ses environs au moyen âge. Par extension ensemble d’habitations regroupées sur un critère d’unité, groupe d’immeuble populaires.
Cité-jardin : ville ou zone urbaine dans laquelle figurent beaucoup d’espaces verts.
Citoyenneté urbaine : fait d’être citoyen, d’être une personne civique. Forme d’engagement et enjeux de solidarité.
Citoyenneté urbaine : les individus doivent avoir comme souci les conditions sociales des personnes. La raison sociale peut exister au travers de
Clarté : caractérise ce qui est évident, simple à comprendre, sans ambiguïtés.
Clarté : effet de la lumière dans un volume, un lieu
Clarté : lisibilité directe de la spatialité.
Classique architecture : Architecture sans interrogation ne montrant que sa rigueur dans le dessin comme dans la construction, le soucis de ses proportions, son héritage de décorations et de détails non propre. (période répété à travers le temps durant lesquels on attache une grande importance à la forme, l’esthétique et l’harmonie, inspiration des canons de l’esthétisme, des valeurs fondamentales de la philosophie. L’antiquité, Pèricles pour Athènes, Auguste pour Rome, ou encore la renaissance. )
Claude Parent : né 1923 architecte français. Critique du formalisme, apparition de la discontinuité. Goût à construire un nouveau vocabulaire architectural.
Cliché/stéréotype : Un cliché est une image usée ; le stéréotype une image préjugée. Un cliché est un fait ; le stéréotype une idée (fausse). L’utilisation détournée du cliché est la parodie ; l’utilisation détournée du stéréotype est caricature (volontaire) (Bertrand 2006).
Cloison : séparation entre deux ou plusieurs fonctions, délimitation de pièces.
Cloisonnement : séparer deux entités distinctes par un obstacle physique, visuel ou olfactif.
Cloisonnement : Séparer par des cloisons
Cloisonnement : Séparer un espace d’un autre par une surface empêchant tout échange physiques entre eux.
CLUSTER : désigne une unité urbaine, un bloc urbain, dont les activités sont homogènes, avec une activité dominante.
Cluster : une unité urbaine, un bloc urbain dont les activités sont homogènes, par exemple un Central Business District (CDB) tel que la Défense à Paris est un cluster. Regroupement de scientifiques, d’universitaires et d’acteurs économiques autour d’ne thématique commune.
Cmd C + Cmd V : manipulation informatique emblématique permettant la répétition et la duplication de l’élément ou de la zone sélectionnée.
Cocon : c’est par essence le volume minimal nécessaire à l’autosatisfaction, au bien être. Le cocon n’est pas un volume géométrique c’est un volume informelle visant à l’économie de matière
Cocon : espace où la sensation est sécurisante et où l’on se sent bien
Cocon : Espace personnel, volume dont les propriétés physique et géométriques induisent au bien être
Cocon : espace protecteur où l’on s’approprie
Cocon : espace protégé du désordre extérieur, abri .
Cocon : Impression enveloppante et sécurisant d’un lieu.
Cocon : Mot préféré des premières années. Souvent de caractère végétal/organique.
Cocoon : Relatif à un espace plutôt petit dans lequel il est agréable de vivre.
Cocoon : un lieu qui procure du confort et de l’intimité par l’isolation de l’extérieur. Les boites constituent des cocons qui abritent les fonctions collectives.
CŒUR : c’est une entité qui assure la vie à un ensemble. Il peut être à petite échelle comme le cœur qui fait vivre l’être vivant ou à plus grande échelle comme le cœur d’une ville qui est le centre ville.
Coexistence/Coexister : verbe intransitif Action de coexister ; son résultat : La coexistence de partis opposés. Exister simultanément, en même temps que quelqu’un ou quelque chose d’autre : L’ancienne université coexiste avec la nouvelle. Exister simultanément avec un groupe, une collectivité : Ces deux ethnies coexistent difficilement.
Cogénération : Électricité?Production simultanée, à partir d’un seul combustible et dans une installation unique, de chaleur et d’énergie mécanique, cette dernière étant convertie en électricité au travers d’alternateurs.
Cohabitation : a communauté d’habitants se réunit et partagent des espaces de vie.
Cohabitation : action d’habiter avec, de partager un espace avec d’autre, de se confronter aux autres Conflit, voir tension entre les différents bâtiments existant sur le site.
Cohabitation : Dialogue d’un projet contemporain avec un bâti ancien, avec l’histoire d’un lieu.
Cohabitation : fréquentation, partage d’un lieu par plusieurs personne
Cohabitation : Intégration du projet dans un espace public urbain majeur. Il doit cohabiter avec une architecture hétérogène fortement présente.
Cohabitation : le concept de partage de l’espace de l’habitat entre plusieurs personnes. C’est l’élément majeur du programme pour le projet.
Cohabitation : Situation de plusieurs personnes vivant dans une habitation commune. Vivre en communauté l’implantation d’un bâtiment sur un site aussi exigu, doit être un minimum en adéquation avec le reste.
Cohabitation : vivre en relation plus où moins étroite avec un entourage partageant un lieux de vie. Implique une proximité, désiré ou non. .
Cohabiter : v. intr. Vivre avec l’autre, en parlant de chacun des membres d’un couple. Vivre avec un autre groupe (politique, ethnique) présent sur un même territoire ou même espace juridique, sans remettre en case le système existant. Exister en même temps que quelque chose.
Cohérence : Propriété de ce qui est cohérent, logique interne d’un discours, d’une idée, d’un acte etc. ….
Cohésion : Propriété d’un ensemble dont toutes les parties sont solidaires.
Cohésion : (latin cohaesum, de cohaerere, être attaché ensemble) Propriété d’un ensemble dont toutes les parties sont solidaires ; solidarité : La cohésion des différentes parties d’un État. Caractère d’une pensée, d’un exposé, etc. , dont toutes les parties sont liées logiquement les unes aux autres : La cohésion d’un récit. Ensemble des forces développées à l’intérieur d’un film d’adhésif sec, qui assurent son intégrité par maintien entre elles de ses particules. Résistance au cisaillement d’un échantillon de sol en l’absence de contrainte normale.
Collaborateur : esclave disponible, mal payé, mais inconscient, complice, responsable mais jamais coupable.
Collectif : appartenant a la communauté, accueillant plusieurs individus.
Collectif : ce qui a un intérêt pour plusieurs personnes.
Collectif : pratiquer en commun.
Collectif : qui concerne un ensemble de personnes, groupe de personnes pour prendre une décision.
Collectif : Qui concerne un ensemble, caractérisé par des traits communs.
Collectif : qui est le fait de plusieurs personnes, qui s’adresse à un groupe de personnes.
Collectif : Réalisé par / pour, destiné à un groupe de personnes.
Collectif : Vivre les uns avec les autres.
coller (se) : c’est une technique subversive pour opérer en territoires occupés, on accole un ensemble à un autre préexistant.
Coller : Cela permet de répartir les forces indirectes et le poids du bâtiments on pose un angle du bâtiment sur la place.
Coller : joindre deux entités de façon à ce qu’elle ne puisse se séparer.
Collusion : entente secrète, conspiration, pour porter préjudice, prendre le pouvoir.
Colmater : Boucher, remplir une fente, un trou, une brèche.
Colonie : Groupement de personnes ayant un même objectif
Colonisation : Appropriation d’un lieu (s’établir propriétaire) en l’occupant puis en le redéfinissant avec le matériel apporté.
Colonisation : appropriation d’un lieu vide ou non, afin d’en faire l’exploitation.
Colonisation : d’un territoire . Processus d’expansion et de généralisation .
Colonisation : Envahissement de l’espace.
Colonisation : expansion, invasion d’un lieu. Vie en colonie d’un même type de personnes.
Colonisation : Peuplement, la structure permet l’ajout d’autres espaces. Occupation d’un terrain, il reste des espaces libres en façade, permettant une colonisation future d’espaces.
Colonisation : S’approprier et exploiter un lieu pour lui donner un nouveau sens et de nouvelles perspectives.
Colonne : Partie verticale rigide faisait parti d’un ensemble structure.
Colonne : Poteaux antique
colonne : support vertical de cheminement des forces.
Combinaison : articulation rationnelle entre des éléments.
Combinaison : assemblage logique d’éléments entre eux donnant un sens a l’ensemble.
Combinaison : Calcul ayant pour objectif d’assembler plusieurs éléments d’un tout.
Combinaison : Combinés, on assemble et dupliquent des volumes de formes quasiment équivalente de façon à générer des terrasses et des protections solaires.
Combinaison : Différentes possibilités d’assembler les espaces, créer de nouvelles combinaisons en en ajoutant ou en en enlevant. .
Combinaison : Possibles assemblages multiples entre différents éléments.
Combinatoire : analyse des combinaisons possibles dans le cadre de calcul des probabilités.
combinatoire : capacité du dispositif à se multiplier et à s’assembler par rapport à une idée de mouvement et de changement.
Combinatoire : relatif à une ou à des combinaisons. Analyse combinatoire, qui étudie les configurations de collections finies d’objets ou les combinaisons d’ensembles.
Combinatoire : Relatif aux combinaisons. Arrangements d’éléments ; analyse des combinaisons possibles.
Combiner : (bas latin combinare bini, unir deux choses ensemble) Réunir des choses en les arrangeant, en les mettant dans un certain ordre, une certaine disposition, etc. , en vue d’un certain résultat : Combiner des couleurs. Organiser des choses ensemble, les associer pour obtenir un résultat qui arrange : Combiner son travail et ses loisirs. Réunir des choses, les intégrer dans quelque chose ; en parlant de quelque chose, les réunir en soi : Combiner dans un robot de cuisine un mixer, un batteur et une centrifugeuse. Comporter en soi quelque chose et quelque chose d’autre, les réunir : Un sentiment qui combine le désir et la peur. Organiser les éléments de quelque chose, le prévoir en vue d’un certain résultat : Combinez votre voyage de telle sorte que vous puissiez passer nous voir. Prévoir quelque chose, l’organiser, le calculer, souvent dans une intention maligne ou sournoise, en usant de moyens astucieux, de combines ; manigancer : Ils avaient combiné de raconter le même bobard. Produire la combinaison chimique de plusieurs corps.
Commerces liés : commerces liés à l’activité principale qui l’entoure, commerces liés aux activités du site dans lesquels se situent.
Commun : caractéristique de quelque chose qui est disponible, accessible à tous.
Commun : espace partagé par plusieurs usagés, lieu de rencontre .
Commun : Qui est partagé avec d’autres.
Commun/public : Espace ouvert à la communauté Erasmus, donc commun aux priver/ espace ouvert à tous types de communautés.
Communautaire : Caractère désignant des personnes partageant un patrimoine en commun. La communauté est formé indépendamment de la volonté des ses membres (dans le projet, la communauté est formé plus par nécessité que par volonté).
Communautarisme : philosophie qui affirme que l’individu n’existe pas indépendamment de ses appartenances soient culturelles, ethniques, religieuses, ou sociales. Revendications de groupes minoritaires.
Communauté : C’est un ensemble d’organismes complexes intégrés à différentes échelle dans un fonctionnement global qui sont capables d’échanger des expériences et d’avoir des pratiques sociales quotidiennes.
Communauté : caractérise le fait de vivre ensemble, de partager un espace commun.
Communauté : comment faire communauté ? dans un monde où l’individualisme et prenez comme une valeur supérieure aux autres, où le consumérisme donc la satisfaction de ce désir personnel est devenue la norme, comment faire communauté ?
Communauté : Ensemble de personne partageant un point commun ( culture, langue, sexualité, niveau social, dépendance…).
Communauté : Groupe de personnes vivant dans un même lieu selon une doctrine, une philosophie commune.
Communauté : groupe de personnes vivants dans un même lieu.
Commune : division administrative formée d’un territoire clairement défini qui correspond généralement à une partie d’une ville, à une ville entière, ou à un bourg avec ses villages et hameaux…
Commune Multi polarisée : Communes rurale située e dehors des aires urbaines, dont au moins 40% de la population résidente ayant un emploi, travail dans plusieurs aires urbaines, régions, un état, le monde) il est dominé par une ou plusieurs métropole.
Communication : action, fait de communiquer, de transmettre quelque chose.
Communication : fait d’échanger entre individus par un moyen identique : langues, gestes, onomatopées, msn, facebook, … .
Compact : Un élément qui assure au mieux sa fonction sans prendre plus de volume qui nécessaire.
Complément : Élément qui vient en addition à un ensemble existant dans le but de former un «tout».
Complémentarité : Lorsque deux ou plusieurs entités en additionnant leurs activités s’enrichissent mutuellement, formant un tout ayant un champ d’action plus développé.
Complexité : capacité de combiner des informations multiples dans le même espace sans que ce soit toujours harmonieux.
Complexité : Ce qui composé de beaucoup d’élément, difficile à percevoir dans son ensemble
Complexité : La complexité doit être le résultat du programme et non la volonté de l’auteur. La complexité doit être constante dans l’architecture . Interaction d’une multitude d’éléments
Complexité : pluralité des fonctions et diversités des formes, l’espace public n’est pas une entité homogène.
Complicité : dialogue entre plusieurs espaces (accord, complémentarité) .
Complicité : dialogue entre plusieurs espaces créant une sorte d’unité .
Complicité : Dialogue entre plusieurs espaces présentant la diversité de composition d’un projet.
Complicité : émotion, sentiments partagé, réciprocité ;quand 2 éléments s’accordent bien, quand ils sont en harmonie ; ne peut s’expliquer scientifiquement, phénomène «magique».
Complicité : Entre les deux ensembles constituant le projet, ils présentent une diversité de composition mais ont un objectif commun; ils attirent l’attention et invitent à entrer.
Complicité : Harmonie des espaces. On voit une forte complicité entre la ville et le projet. Le concept s’appuie sur l’aspect historique du site. Les passages entre l’ancien et le nouveau créent un accord avec la ville.
Complicité : qui manifeste une entente secrète.
Composant : chaque élément du projet est une partie de l’ensemble.
Composant : éléments ne pouvant plus être divisés ou réduit; matière première d’une combinaison ou d’un assemblage.
Composant : éléments qui une fois assemblés forment un ensemble, une entité, les composants peuvent être matériel ou non, les habitants sont des composants majeurs d’un projet. .
Composant : les espaces aux typologies diverses s’assemblent et forment un ensemble conséquent.
Composant : Parties d’un d’ensemble en interactions, dont la présence est nécessaire au bon fonctionnement de l’ensemble ex Composant Électronique .
Composer : littéralement «placer, poser ensemble», d’où «assembler des éléments en un tout». La composition serait donc le «fait de mettre ensemble» d’où «préparation de quelque chose, création d’une œuvre, disposition, agencement et accord». Il s’agit de former un tout à partir d’éléments.
Composition : Ensemble des éléments qui forment un tout, des personnes qui constituent un groupe.
COMPOSITION : Manière dont sont agencés des éléments.
Composition : Produit de pensées additives
Composition : Produit de pensées additives.
COMPOSTAGE : Traitement des déchets végétaux. Transformation des végétaux en engrais.
Composte : le compostage est un procédé biologique de conversion et de valorisation des matières organiques en un produit stabilisé.
Compression : Le fait d’exercer une pression jusqu’à déformation et rétrécissement de l’objet soumis à l’effort.
Comptoir : Lieu de rencontre, d’assemblé général, de réconfort, de déprave, de philosophie.
Compulsion : Fait d’agir de façon irrésistible afin de moins se sentir en détresse ou pour se rassurer.
Concentration : Ce dit d’un espace qui est saturé en élément. Il y a un trop plein d’objet, de choses, de personnes qui nuit à l’usage du volume. Est également utilisé pour qualifié une personne plongé dans ses songes au profits d’un sujet posé.
Concentricité : propriété des objets qui partagent le même centre.
Concentrique : organisation de l’espace et de la matière autour d’un noyau central.
Concept : I D E E . Premier jet sans lequel un projet ne vaut rien
Concept : idée forte, de base, permettant à la création qui en découle d’avoir une identité marquée.
Concept : Idée générale : représentation abstraite d’n objet ou d’un ensemble d’objet ayant des caractères communs.
Concept : Représentation mentale abstraite et générale, objective, stable munie support verbal (C. N. T. R. L. ). Un concept est donc un résultat quand une notion reste une connaissance immédiate, sommaire.
conception : Processus de création laissant une place importante à la réflexion.
Concertation : Échange d’idées, d’avis avec autrui dans le but de faire avancer les choses.
Concours : Il permet de trouver le projet convenant le mieux aux responsables.
CONDUCTANCE THERMIQUE GLOBALE : CTG d’un édifice est une grandeur caractérisant le flux énergétique qui traverse son enveloppe. Elle intègre les échanges par conduction à travers les parois mais aussi les transferts par ventilation ainsi que les infiltrations.
Configuration : (latin ecclésiastique configuratio, -onis, de configurare, donner une forme) Forme extérieure d’un ensemble ; relief : La configuration d’un pays. Aspect général de quelque chose d’abstrait, caractère d’ensemble, physionomie : Son nom a une configuration germanique. Informatique Ensemble des caractéristiques matérielles et logiciels d’un système informatique (processeur, mémoire, système d’exploitation…) . Modification ou réglage de paramètres informatiques en vue de l’optimisation du fonctionnement du système. Psychologie Synonyme de forme.
Confort : espace ou objet agréable a vivre et/ou a regarder provoquant une sensation agréable.
Confort : sensation de bien être liée a un lieu, un espace, un objet.
Confort : sentiment d’être bien dans un lieu, ce qui rend la vie plus agréable, construire en respectant a l’échelle humaine.
Confrontation : (latin médiéval confrontatio, -onis) Action de confronter des personnes, de les mettre face à face, en présence : La confrontation d’un accusé avec des témoins. Action de rapprocher des choses, de les comparer en les opposant : La confrontation des points de vue. Conflit entre deux groupes ou deux pays : Confrontation armée. Acte d’instruction qui permet au juge d’instruction d’interroger un individu en présence d’un ou plusieurs témoins, d’une des parties ou de la personne mise en examen, afin de confronter leurs dires.
CONFRONTATION : action de mettre en présence des personnes ou des choses.
Congestion : Afflux de sang dans une partie du corps-hyperémie, pléthore, tension, turgescence. Congestion cérébrale, coup de sang, transport au cerveau Apolexie hémorragie. Afflux, encombrement embouteillage
Connaissance : Base de données connue
connecter : Vt Électr. Établir une connexion Se connecter Établir une liaison avec un réseau télématique.
Connexion : (latin connexio, -onis) Action de lier par des rapports étroits ; fait d’être lié ; liaison, enchaînement : Établir des connexions entre la situation intérieure et les événements extérieurs. Ensemble des liens (contact, articulation, innervation, irrigation) d’un organe animal avec les organes et tissus avoisinants. Réunion provisoire de deux machines entre elles pour se compléter ou fonctionner simultanément. Synonyme de connexité. Liaison électrique entre deux ou plusieurs systèmes conducteurs ; organe assurant une liaison.
Connexion : action de relier entre elles différentes centralités.
Connexion : une connexion est l’action de lier, d’unir des choses l’une avec l’autre, le mot désigne aussi le résultat de cette action.
Connexité : Qualité de ce qui est connexe (qui a des rapports étroits) . La connexité désigne l’existence de relations. Lien entre les composants d’un réseau, proximité dans une métrique topologique (Offner 2003).
Conscience : faculté de l’homme à connaître sa propre réalité et de la juger, s’apercevoir réaliser.
Consistance : (de consister) État d’un corps du point de vue de la texture, de la malléabilité, de la fluidité : Consistance pâteuse. État d’un corps liquide ou pâteux qui s’épaissit ou s’est épaissi, qui prend ou a pris une certaine solidité : La farine donnera plus de consistance à la sauce. Cohérence, solidité, poids de quelque chose : Son raisonnement a une certaine consistance.
Consommable : Se dit d’un corps d’un produit ou d’un constituant qui disparaît lors d’un processus chimique.
Constitution : un groupe se forme, les individus se rassemblent, nous décidons de notre façon de travailler : nous nous constituons en groupe organisé.
Construction : fait d’établir un édifice par des êtres vivants
Construction grandeur nature : Echelle 1/1
Construire : Grouper, réunir ou assemblé des éléments pour constituer un tout.
Construire : réalisation maquette du projet
Container : volume creux conçut pour être rempli.
Container : Boîte, Récipient neutre, de forme cubique.
Container : c’est une enveloppe protectrice neutre dans laquelle sont présents des espaces d’une grandes diversité.
Container : Caisse métallique en forme de parallépipède conçue pour le transport de marchandises. Le revêtement est souvent en tôle pliée façon bac acier. Certains architectes ont expérimentés des villes containers dont ceux ci font usages de logements. Ex Prefab friday, Jorge Chapa.
Container : Contient diverses objets, ou, parallélépipède pouvant s’additionner.
Container : enveloppe protectrice contenant des formes et objets différents.
Container : espace modulable industrialisé, contenant permettant une diversité d’espace selon les assemblages ou combinaisons créent.
Container : Son apparence extérieure permet d’empiler plusieurs volumes les uns sur les autres, elle ne se veut pas être esthétique. Les volumes empilés ont vocation de contenir une grande diversité d’objets.
Container : volume standardisé à connotation industrielle.
Contexte : ce qui est la avant le projet, et qui persistera avec le projet. Il est constitué de couches d’informations telles que la parcelle, l’histoire, les méthodes de composition traditionnelle… il définit les limites d’un projet.
Contexte : Circonstance liée à la situation à la nature du lieux.
Contexte : Environnement dans lequel un projet est élaboré. Le contexte doit être pris en compte, dans le but d’y adhérer ou non.
Contexte : Environnement immédiat de l’élément en question, de son milieu naturel, de sa situation. Le contexte peut être spatial, temporel, historique, social, artistique, politique, créatif, …
Contexte : La situation, demander Pourquoi… ? Le contexte du projet est crée sur les profils des habitants. Le programme est préparé en pensant au confort et aux besoins des habitants. Le contexte du projet attire l’attention sur le chaos et le flux qui entour le site.
Contexte : le contexte historique, géographique, et urbain, donne naissance au concept, associé au programme imposé, il donne le projet.
Contexte : le contexte historique, géographique, et urbain, donne naissance au concept, associé au programme imposé, il donne le projet.
Contexte : Le lieux, l’environnement dans lequel on va placer le projet, c’est un espace inesthétique en contrebas d’une allée bordée de magasins.
Contexte : les données existantes pour la réalisation d’un projet. Dans notre cas ce sont les bâtiments anciens.
Contextualisme (D’après T. Schumacher) : Théorie du début des années 70 qui tente de résoudre les problèmes urbains de l’époque, c’est-à-dire une architecture radicale se souciant peu de l’urbanité et de l’existant. Le contextualisme est un compromis entre le gel total des bâtiments existants et cette architecture radicale.
contexture : Agencement des différents éléments d’un tout complexe. «A n’en pas douter, cette cité-jardin où vécut mon père avant ma naissance, et qui constitua l’un des cadres de mon enfance puisque mon frère et moi y passions beaucoup de temps, notamment pendant les vacances scolaires, était un lieu de relégation sociale. Une réserve de pauvres, à l’écart du centre et des beaux quartiers. Pourtant, quand j’y repense, je prend conscience que cela n’avait rien à voir avec ce que l’on désigne aujourd’hui sous le nom de «cité». C’était un habitat horizontal, et non vertical : pas d’immeubles, pas de tours, rien de tout ce qui allait surgir à la fin des années 1950 et surtout au cours des années 1960 et 1970. Cela conservait à ce territoire aux confins de la ville un caractère humain. Et même si le secteur avait mauvaise réputation, même si cela ressemblait beaucoup à un ghetto déshérité, il n’était pas si désagréable d’y vivre. Les traditions ouvrières, et notamment certaines formes de culture et de solidarité ne manquaient ni de s’y développer ni de s’y perpétuer. C’est par le moyen d’une de ces formes culturelles le bal populaire du samedi soir que mes parents se rencontrèrent.» Didier Eribon, Retour à Reims, page 48
Contingence : Manière d’être d’une réalité (être ou chose) susceptible de ne pas être. Événement imprévisible tributaire de circonstances fortuites (C. N. T. R. L. ).
Continuité : Caractère de ce qui n’est pas interrompu. Un projet peu s’inscrire dans la continuité d’un autre si il conserve son style architectural, ses proportions, ou encore sa forme.
Continuité : caractérise quelque chose de continu, régulier. Suite logique.
Continuité : Effet produit par un élément qui se prolonge, ou par une action qui se poursuit.
Continuité : faire preuve de permanence, élément qui se poursuit sans aucune coupure.
Continuité : méthode permettant de donner l’illusion d’un non arrêt de la matière
Continuité : Se dit d’une surface qui conserve ses caractéristique d’un point à un autre.
contorsion : mouvements irréguliers d’un ensemble.
Contorsionisme : Configuration et structure évoluant dans un environnement contraignant, créant des mouvements irréguliers .
Contorsionisme : Configuration ou structure enroulée sur elle même ou tordue. Configuration ou structure enroulée sur elle même ou tordue. Le contorsionnisme humain Le contorsionnisme revisitée par José Muñoz Villers en architecture
Contraction : action ou fait de réduire.
Contraction : Réduction des mensurations d’un objet, d’un espace afin de privilégier les objets/espaces environnants, ou par simple économie. Exemple une cellule de vie étudiante, les fonctions sanitaires, les circulations
Contraction : rétraction d’éléments autour d’un centre.
Contradiction : fait d’être en opposition.
Contradiction : La simplicité, satisfaction de l’esprit, provient d’une complexité intérieure. Opposition
Contraste : caractérise deux éléments dont les caractéristiques les opposent de façon importante.
Contraste : opposition entre deux entités par une différence physique, comportementale, ou psychologique .
Contraste : Qui présente des oppositions marquées.
Contre-courant : Caractère d’un lieu proche de flux humains importants mais qui pour des raisons topologiques n’est pas traversé par ces flux.
CONURBATION : Ensemble urbain constitué de plusieurs noyaux urbains, dont les banlieues finissent par se rejoindre.
CONURBATION : Agglomération formée par plusieurs villes voisines dont les banlieues se sont rejointes.
Conventionnel : Qui est conforme aux règles communément adoptées.
Convergence : Action de tendre vers un même lieu.
Convergence : Le fait de converger, (se diriger vers un point commun, aboutir, se rencontrer).
Conviction : Idée, croyance affirmée dont on prône la valeur et les bienfaits.
Convivial : Capacité d’une société à favoriser la tolérance et les échanges entre ses membres.
Conviviale : Se dit d’un lieu où il est facile d’établir des relations.
Coprésence : Il s’agit d’une des modalités (avec la mobilité et la délimitation) de traitement de la distance. C’est le fait de rassembler «en un même espace, en contiguïté, les entités et les objets spatialisés, afin de rendre possible leurs relations». La coprésence relève de la continuité et de la contiguïté et valorise le côtoiement : être à côté de (Lussault 2007). La coprésence est donc la recherche du contact topographique. La ville procéda d’un choix de maximisation de la coprésence.
coprésence : Présence simultanée d’individus qui n’entretiennent à priori pas de relations entre eux, ils sont étrangers l’un à l’autre : «a-propriété mutuelle» et indétermination des actes ;
Cordon : Petite corde.
Cordon littoral : Bande de terre émergée, près d’une côte.
Corps : Fragile et éphémère, il tend vers l’oubli.
CORPUS : Recueil concernant une même matière. Ensemble de documents servant de base à la description ou à l’étude d’un phénomène.
Corroborer : Donner de l’appui, ajouter de la force à une idée, appuyer, confirmer, renforcer «eradiquons des PLU lorsqu’ils génèrent du consumérisme foncier avec des densités faibles corroborées par des gabarits bus», Rudy Ricciotti, HQE le renard du temple, éd Al Dante/Clash.
Corrosif : Substance qui en attaque une autre, peut être dangereux.
CORROYAGE : Opération qui transforme le cuir tanné en cuir fini (idem pour le bois ou le métal) en urbanisme retraiter des bâtiments existants pour les réutiliser dans un projet.
COS : Coefficient d’occupation des sols.
cosmos : Particules qui cernent de façon concentriques la vision de l’auteur, tout ce que voit celui-ci est une façon unique de voir. C’est à l’habitant d’interpréter .
Cospatialité : C’est la «capacité de jouir en même temps de plusieurs espaces de taille différente». Elle est autorisée par les réseaux, de transport, de communication, qu’on peut nommer connexité : ici le proche n’est pas nécessairement contigu. L’important est d’être relié à (Lussault 2007). L’urbain est cet autre mode d’organisation spatiale de la régulation sociale de la distance par la mobilité matérielle (déplacement). Il demeure donc le produit d’une proximité connexe que procurèrent et procurent toujours les réseaux de transport fondés sur la voiture. L’(é)cospatialité repose sur une connexité par des modes de transports collectifs durable tels que le train.
Costière : Relatif aux côtes.
Cotation : substitut moderne au détail, permet une discussion plus claire avec le profane, façon de présenter un plan intelligiblement mais ne doit pas sapé le détail. (Langage technique écrit visant à placer les mesures réel d’une section ou d’un objet)
Couche : avoir plusieurs niveaux de lecture superposés. La gestion de l’information par la superposition des niveaux de manifestations simultanés et superposés. Dans le projet s’appliquée comme une méthode pour maintenir l’indépendance, la fluctuation et l’évolution des différentes données et composantes qui ont été mises en œuvre. Formes plates, destinées à être superposées. Strates. Métaphores d’évolution, d’histoire-
Couche : Succession de strates superposées. Lecture différente selon le niveau.
Couche : superposition de niveau, accumulation, sédimentation. Pris surtout pour définir le site .
Couleur : expression visuelle d’une émotion, d’une sensation.
Couleur : Interprétation que l’homme fait de la nature qui l’entoure
Couleur : Qui n’est ni blanc ni noir. Participe à la qualité visuelle d’un espace et ainsi à l’ambiance de ce dernier.
Couleur : teinte caractérisant un élément.
Couleurs : Élément participant aux différentes ambiances. Travail sur les teintes des parements de façade du bâtiment. .
Couleurs : Produisent une sensation particulière à leur vue. Elle suggèrent une ambiance.
Couleurs : Travail sur les teintes des parements de façade du bâtiment.
Coupure : Événement bref qui intervient dans un ensemble continu ou homogène.
Coupure : Séparation spatiale ou temporelle.
Courage : audace, cran, énergie.
Coursive : Couloir plus ou moins étroit, donnant sur un vide.
Coursive : élément indéfini trop grand pour une circulation, trop petit pour accueillir d’autre fonction; ruelle interne.
Couvrir : Cacher, masquer, protéger en plaçant dessus.
Couvrir : Occulter, boucher, protéger, cacher, rassembler.
Couvrir : Occulter, protéger, dissimuler afin de mettre en avant ce que l’on couvre. Ici on recouvre une partie de la route en la laissant apparaître à certains endroits pour mieux la révéler .
Couvrir : Pour protéger, et occulter, dans le but de mieux révéler.
Création : Action intellectuelle ou physique qui vise à une production innovante et unique.
Création : C’est la mise en forme virtuelle ou matérielle d’une idée.
Creuser : Chercher un concept, les tenants et les aboutissants
Creuser : Retirer de la matière pour rendre un endroit creux.
Croquis : La façon la plus rapide de s’exprimer hors les mots. En architecture, comme en stratégie militaire, «un petit croquis vaut mieux qu’un long discours».
Crues : (centenaires) Qui peuvent se reproduire 1 ou 2 fois sur 100 ans, Attention aux fréquences rapprochées
Cryptomnésie : Du grec «cryptos» caché, secret et messe. Mémoire littéralement, souvenir caché, un biais mémoriel par lequel une personne a le souvenir ancré d’avoir générer une pensée (une idée, un chanson) alors que cette pensée a été en réalité produite par un autre. (plagia involontaire)
Culture : Connaissance relative aux régions ou non, indissociable du savoir.
Culture : Ensemble des éléments distinguant une société, un groupe social, d’une autre société, d’un autre groupe.
Culture : Expérience personnelle qui met en jeu les 5 sens et leur mémoire
Culture : fait de cultiver des sols, terrain cultivé lui-même, mode d’exploitation des sols.
Culture : instruction, éducation, ensemble de l’acquis, connaissances
Culture : Pratiques humaines basées sur l’échange. Manière distincte d’être d’agir et de communiquer.
Culture : qui relève des acquisitions sociales, du milieu dans lequel on vit.
Culture : Somme des connaissances, des croyances, des coutumes, des capacités et habitudes que l’on acquiert durant l’apprentissage et l’éducation au sein d’une société. Les architectes ont tous une culture différente, et la diversité des bâtiments créés en est la conséquence.
Culture urbaine : culture issu de La rue aussi appelé «street culture», née aux états unis dans les années 80, mouvement de contre culture contestataire .
Cultures urbaines : Recouvre un ensemble de pratiques culturelles, artistiques et sportives issues de l’espace urbain.
Cyborg : humain amélioré par la machine; relation intime Homme machine.
Cyborg : Mot d’origine anglaise, contraction de «cybernetic organism» organisme cybernétique. Etant l’étude exclusive des échanges, un organisme pourrait être qualifié de cybernétique dès lors qu’il effectue un échange efficace pour une tâche donnée. Le terme cyborg sous entend en plus qu’il ne s’agit pas (uniquement) d’un organisme naturel. Le cyborg est la fusion de l’être organique et de la machine.
CYCLE : suite de phénomènes qui se suivent dans un ordre déterminé.
Cyclopes : Ouverture des bureaux, une seule grande ouverture sur le devant.
Cyclopes : Une seule vision.

D. T. A. : La directive territoriale d’aménagement est une procédure de planification stratégique qui a pour objet de définir les grandes orientations à long terme (20 ou 25 ans) de l’aménagement des espaces qui se traduit par un document prospectif. Les D. T. A. sont des documents d’aménagement et d’urbanisme d’État créées par l’article 4 de la loi du 4 février 1995 d’orientation pour l’aménagement et le développement du territoire. En fixant les orientations fondamentales de l’État en matière d’aménagement et les principaux objectifs de l’État en matière de localisation des infrastructures de transports et de grands équipements ainsi qu’en matière de préservation des espaces naturels, le contenu d’une D. T. A. est donc variable. Les D. T. A. sont opposables aux documents d’urbanisme inférieurs dans le cadre de la hiérarchie des normes selon, toutefois, le principe de la compatibilité limitée, c’est-à-dire qu’en cas de superposition de plusieurs normes, la norme inférieure n’a pas être compatible avec l’ensemble de celles qui lui sont supérieures, mais seulement avec celle qui lui est immédiatement supérieure (Jacquot & Priet 2004).
Dadaisme : tabula rasa. Omettre toutes les conventions académiques, idéologiques, ou artistiques, dans une oeuvre. Marcel Duchamp + Man Ray + Max Ernst + …
Darse : partie intérieure des ports, bassin de certains ports.
DEAMBULATION : aller et venir sans but précis.
Déambuler : marcher sans but précis.
Décalage : Mise en valeur, retrait, dialogue entre plusieurs éléments, facilite leur lecture.
Décentralisation : éloignement d’un centre amenant à l’idée de dégroupage et de dispersion.
Déchirure : la rupture d’un tout. La rupture des lieux individuels laisse les lieux collectifs flotter dans l’air.
Déchirure : rupture d’un élément .
Déchirure : Rupture d’un élément poussé au bout de ses limites.
Déchirure : rupture d’un élément qui provoque une séparation en plusieurs autres ou qui distingue deux parties
Déclinaison : fait de décliner, un objet peut se décliner sous différentes formes.
Décollement : écartement de deux éléments préalablement joints.
Décollement : séparation de deux éléments préalablement joints, éléments qui ne se touchent pas
Déconnexion : Suppression d’une liaison existante mettant en évidence l’idée de débranchement, d’arrêt d’alimentation.
Déconstruction : relatif au fait de décomposer pour fournir une analyse. «Travail en marges, aux limites de l’architecture» (B. Tschumi).
Déconstructivisme : mouvement artistique, particulier à l’architecture, qui tire ses bases philosophiques du mouvement littéraire de la déconstruction, revendiquant la philosophie postmoderne, en particulier ses idées de fragmentation et de polarité négative, qu’il associe à des processus de design non linéaires, à des thèmes comme la géométrie non-euclidienne, en poussant à l’extrême des thèmes de l’architecture moderne comme l’opposition entre structure et enveloppe, entre plancher et mur, et ainsi de suite.
Découpage : Mécanisme de génération spatiale et volumétrique. Se différencie de l’origami par la production de coupures et ruptures d’un plan original.
Découverte : nouvelle connaissances.
Décrire : Représenter dans son ensemble, par écrit ou oralement.
DÉCROISSANCE : Baisse volontaire de la consommation de bien industrialisé et recherche d’une vie en équilibre avec les ressources de la planète (énergie renouvelable).
Deezer : lecteur de musique libre service si vous vous inscrivez et acceptez de vous faire harceler par de la publicité.
Deformation : c’est le changement volumique d’une forme qui peut être occasionner par une compression, une traction, une flexion ou une torsion.
Déformation : modification d’un élément qui modifie son caractère
Déformation : modification qui a pour effet de donner une forme différente.
Déformation : Mouvement aléatoire d’un élément par rapport à un des ses axes
Déformation : résultat physique de l’interaction entre des objets, tel qu’un impact, une perforation, une fissure
Dégradé : Effet visuel générant une évolution progressive d’un élément à un autre, sans rupture.
Dégradé : effet visuel passant d’un élément à un autre sans rupture.
Démagogie : (grec dêmagôgia ) Action de flatter les aspirations à la facilité et les passions des masses populaires pour obtenir ou conserver le pouvoir ou pour accroître sa popularité.
Dématérialisation : Donner un aspect qui n’a pas de consistance corporelle. Le trou noir nuage de particules.
Dematérialisation : c’est l’effacement de la matière par désintégration.
Dématérialisation : devient immatériel, abstrait.
Dématérialisation : percements des façades d’acier corten, dématérialisation du bâtiment et de l’architecture. .
Dématérialisation : rendre immatériel, d’ôter la matière concrète, désintégration, transformation.
DEMODULATION : «Opération de restitution d’un signal originel à partir d’une onde porteuse modulée par ce signal».
Dénoter : Indiquer, désigner par quelque chose de caractéristique.
densité : 1. Qualité de ce qui est dense. 2. Rapport de la masse d’un certain volume d’un corps à celle du même volume d’eau, ou d’air pour le gaz . densité de population nombre moyen d’habitants au kilomètre carré.
Densité : Concentration, mesure de l’occupation du sol en milieu urbain.
Densité : Éléments serrés, beaucoup de matière par rapport à l’espace occupé.
Densité : Jeu de dédensification du bâti coté rue. Façades pixélisées a densité variable.
Densité : la densité d’un corps est le rapport de sa masse volumique à la masse volumique d’un corps pris comme référence. Densité de population : nombre moyen d’habitants au km2.
Densité : la densité d’un corps est le rapport de sa masse volumique à la masse volumique d’un corps pris comme référence. Densité de population : nombre moyen d’habitants au km2.
Densité : la densité est un nombre sans dimension, rapport de la masse divisée par le volume.
Densité : nombreux éléments serrés les uns avec les autres sur un espace restreint comparé aux nombres d’éléments rassemblés.
DENSITÉ : qualité de ce qui est dense. Compact, épais, serré sur un espace limité. Lourd par rapport a son volume. Se dit d’un espace topologique, tel que dans tout élément de cet espace, il y ait des éléments de cette partie.
Densité : Rapport de distance entre vides et pleins.
Densité : Rapport de la masse d’un sol au volume occupé par la matière solide.
Densité : rapport entre le vide et le plein.
Densité bâtie : La densité bâtie est le rapport entre le coefficient d’emprise au sol (Ces) c’est-à-dire le rapport entre l’emprise au sol des bâtiments et la surface de l’îlot sur lequel ils sont implantés multiplié par le nombre moyen de niveau (Iaurif 2005).
Densité brute/nette : La distinction entre la densité brute et la densité nette provient du choix de la surface de référence. La densité nette ne prend en compte que les surfaces des parcelles réellement occupées par l’affectation donnée : emprise du bâti, espaces libres à l’intérieur de la parcelle ou de l’îlot, voie de desserte interne. La densité brute prend en compte l’ensemble du territoire considéré sans exclusion : équipements collectifs (bâtis ou non), espaces verts, voirie principale et infrastructures (Iaurif 2005).
Densité résidentielle : La densité résidentielle dont l’unité est le nombre de logements par surface de référence en nombre d’hectares (logements/ha) peur donner une mesure de l’occupation du sol par le logement (Iaurif 2005).
Dépaysement : faire changer de pays, dérouter autant physiquement que culturellement par le lieu, la musique, la décoration.
Dépendance : liaison existante entre deux choses, l’une ayant besoin de l’autre pour mieux fonctionner.
Déplacement : Action de déplacer, résultat de cette action.
Déplié : défaire, étaler ce qui était à l’état de compact.
Déplié : Le volume se déploie, il passe d’un état compacte à un état déployé.
Déploiement : action d’un élément lorsqu’il se développe.
Déploiement : Action de se développer, s’ouvrir ou s’étendre pour prendre de l’ampleur.
Déploiement : élément qui occupe progressivement un lieu
DÉPLOIEMENT ÉCOUMÉNAL : humanisation de l’étendue en topologies techniques et symboliques
Dépollution : fait de dépolluer, d’annuler ou de réduire un type de pollution.
Déséquilibre : conséquence de la perte de repère.
Déséquilibre : Différence d’expressivité, dans un schéma parallèle comme un rue, la désobéissance d’un bâtiment au normes appliqués sr les bâtiments connexes ou opposés crée un déséquilibre, une surprise, brise la linéarité de la rue et fait de ce bâtiment un point remarquable de la rue
Déséquilibre : Instable. Forces inégalement réparties. Semble ne pas tenir debout.
Desertion : (latin desertio, -onis) Infraction commise par le militaire régulièrement incorporé qui, sans droit, rompt le lien qui l’attache aux forces armées. (La désertion n’est souvent constituée qu’à l’issue d’un certain délai durant lequel le militaire se trouve en position d’absence illégale. ) Action de déserter, de quitter un lieu : La désertion des campagnes. Abandon d’un parti, reniement de ses idées.
Design : Répondre à des contraintes fonctionnelles par une contrainte artistique
Désillusion : (3D) Désenchantement, Déception, Danemark
Désinhiber : objet auquel on a enlever sa carapace protectrice, qui se livre tel qu’il est sans images cliché, sans retenu.
Désinhiber : tourné vers l’extérieur, sans pudeur.
Désir : chose dont on a grande envie.
Désir : Envie. Répondre les besoins en respectant les désirs des clients.
Désir : Sentiment de posséder.
Désire Paths : Ligne de désir / chemins de désir. Métaphore pour parler de chemins qui signalent un aménagement urbain inapproprié des passages existant.
Désordonné : caractérise un ensemble d’élément dont la lecture global n’est pas évidente.
Dessein : dans le but de.
DESSEIN : intention, projet à long terme.
Dessin : Expression extérieure de l’intérieur ou expression intérieure de l’extérieur
DESSIN : représentation grâce à un crayon, un pinceau, une plume. Motif, élément graphique, contour ligne.
Dessiner : croquis du site, puis du projet
Déstabilisant : qui entraîne une perte de repères .
Déstructurer : faire perdre sa structure à quelque chose.
Détachement : Prise de recul pour sublimer un élément.
Détachement : sort du lots, se remarque par sa différence.
Detail : il démontre les attributs des matériaux par l’application des lois de la construction; il rend viable les décisions de conception. Le détail soulève également la question de la hiérarchie, en suggérant un rapport entre la partie et l’entier (marqueur de connaissance, il permet un support de dialogue technique, il peut aussi avoir des fonctions pédagogiques et explicatives)
Détail : souvent associé aux croquis, le détail est la résolution, l’anti-grain de sable, de l’ensemble des points micro qui pourrait nuire à l’échelle macro.
Détente : méthode de repos
Détour : Prolonge la surprise, offre un nouveau regard dynamique sur l’objet, oblige l’homme a prendre conscience de son déplacement.
Détournement : réutilisation d’un élément à des fins qui ne lui étaient pas définis.
Diagramme : Mode de représentation graphique visant à simplifier, sous la forme de schéma ex Unstudio.
Diagramme : Représentation de la démarche initiale, de l’évolution du projet et du concept. C’est un moyen de montrer les flux en forme de schéma.
Diagramme : représentation graphique permettant de décrire l’évolution d’un phénomène.
Diagramme : Représentation graphique permettant de décrire l’évolution d’un phénomène.
Diagramme : représente l’évolution dynamique du projet, à un moment de ma recherche. Moyen de communication économe. Assurance de conserver un projet cohérent tant qu’il peut être synthétisé en un diagramme. . cf Einsenman diagrams
Dialectique : (latin dialectica, du grec dialektikê tekknê) Méthode de raisonnement qui consiste à analyser la réalité en mettant en évidence les contradictions de celle-ci et à chercher à les dépasser. Suite de raisonnements rigoureux destinés à emporter l’adhésion de l’interlocuteur : Une dialectique implacable.
Dialogue : (latin dialogus, du grec dialogos) Conversation entre deux ou plusieurs personnes sur un sujet défini ; contenu de cette conversation ; entretien, discussion : Le dialogue entre les deux chefs d’État a duré plusieurs heures. Dans une oeuvre littéraire ou théâtrale, ensemble des paroles échangées entre les personnages ; dans un scénario de film, texte dit par les personnages en action. Discussion entre personnes, entre partenaires ou adversaires politiques, idéologiques, sociaux, économiques, en vue d’aboutir à un accord ; conversations, pourparlers : Le dialogue Est-Ouest. Ouvrage littéraire en forme de conversation qui permet à l’auteur d’exposer ses idées en faisant tenir le rôle de contradicteur à l’un des personnages. Alternance du chant entre deux solistes, ou un soliste et un choeur, ou deux choeurs ; échange entre plusieurs instruments.
Dialogue : ensemble des paroles que s’échangent les protagonistes.
Dichotomie : division de concept en deux concepts contraires couvrant l’étendue du concept
Dichotomie : division de concept en deux concepts contraires couvrant l’étendue du concept.
DICHOTOMIE : division de concept en 2 concepts contraires couvrant l’étendue du concept.
DIDACTIQUE : Chaque construction doit être utile pour enseigner une part d’humanisme à chaque individu qui l’utilise ou qui le visite. Les idées doivent circuler et être partagées.
Dieu vomit les tièdes : on m’a rappelé cette expression que j’ai longtemps utilisée afin de justifier mon radicalisme. Je n’a jamais cherché à plaire à Dieu, ni hier ni aujourd’hui, mais il est amusant d’entendre cette expression que j’avais décidé d’abandonner pour plaire à l’humanité, alors que je me sens être dans le paroxysme de la sociabilité au sein de l’université. Cette expression doit pouvoir être comprise à différents niveaux.
Différence : caractérise quelque chose qui n’est pas similaire à autre chose.
Différent : apparenté à différence, qui n’est pas semblable. Ou divers, plusieurs.
differentiated buildings (D’après T. Schumacher) : Bâtiments qui gardent leur personnalité, qui restent fidèles à un concept, une idée forte, malgré leur insertion et le fait d’être parfois déformés par les conditions et les pressions du site.
DIGNITÉ : respect dû à une personne, à une chose ou à soi-même.
DIKTAT : (mot allemand) Exigence absolue, imposé par le plus fort, sans autre justification que la force. Actuellement le diktat du bâtiment jetable, consommable, sans lendemain.
Dilatation : Action déformante.
Dilatation : action du fait d’agrandir.
Dilatation : déformation d’un espace d’un volume le rendant plus vaste
Dimension : L’homme est la mesure de tout. Les salles sont dimensionnées a l’échelle humaine.
Dimension : rapport entre hauteur, longueur, largeur. Les dimensions sont souvent mesurables.
Discipliné : ne perturbe pas, respecte et reste poli.
Discipliné : Se dit d’un élément qui est maîtrisé, qui suit les règles.
Discours : Typologie
Discours doctrinal/théorique : Un discours doctrinal vise une pratique ; un discours théorique vise une connaissance (Boudon 2003). «La doctrine a pu empêcher la production théorique en raison même de son impatience, légitime à ses yeux, de trouver des solutions avant de poser des questions, posture qu’on peut comprendre chez l’architecte, mais moins chez l’enseignant ou le chercheur.» (Boudon 2003)
Discret : moyen d’expression qui a pour caractéristique de se fondre dans la masse.
Discret : moyen d’expression qui a pour caractéristique de se fondre dans la masse.
Discret : peu enclin à se mettre en avant.
Discret : Qui ne s’impose pas.
Discussion : Échange verbal ou gestuel entre plusieurs individus d’avis contraire ou non.
Discussion : parler de son concept autour de soi, écouter
Disharmonie : absence de concordance ou d’harmonie, inversion de l’harmonie ordinaire
Disjonction : C’est le fait de séparer et dissocier un élément par rapport à un autre.
Dispersé : Module qui n’apparaît pas avoir été disposé selon une trame régulière.
Dispersé : Se dit d’un élément qui n’est plus maîtrisé et éparpillé là où bon lui semble.
Disposition : configuration dynamique, position d’élément dans l’espace.
Disposition : configuration dynamique, position d’éléments dans l’espace cherchant à mettre en valeur tous les éléments
Disposition : mettre en place un (des) élément (s) les uns par rapport aux autres (selon un système repère).
Disposition : Mode de composition apparent
Disposition : organisation agencement des éléments .
Disposition : position d’élément dans l’espace. Trouver les bons dispositions pour le confort des habitants.
Dissidence : en désaccord.
Dissocier : Séparer.
Distance : espace entre deux point
Distance : intervalle qui sépare deux points dans l’espace.
Distopie : est un récit de fiction peignant une société imaginaire organisée de telle façon qu’elle empêche ses membres d’atteindre le bonheur et contre l’avènement de laquelle l’auteur entend mettre en garde le lecteur. La distopie s’oppose à l’utopie : au lieu de présenter un monde parfait, la distopie propose un des pires qui soit. La différence entre distopie et utopie tient moins au contenu (car, après examen, nombre d’utopies positives peuvent se révéler effrayantes) qu’à la forme littéraire et à l’intention de son auteur.
Distopie : contre-utopie est un récit de fiction peignant une société imaginaire organisée de telle façon qu’elle empêche ses membres d’atteindre le bonheur et contre l’avènement de laquelle l’auteur entend mettre en garde le lecteur. La distopie s’oppose à l’utopie : au lieu de présenter un monde parfait, la distopie propose un des pires qui soit. La différence entre distopie et utopie tient moins au contenu (car, après examen, nombre d’utopies positives peuvent se révéler effrayantes) qu’à la forme littéraire et à l’intention de son auteur.
Distorsion : Déformation d’un élément.
Distorsion : déformation dans un mouvement de propagation. Déformation de la route dans un mouvement de propagation.
Distorsion : déformation par torsion.
Distorsion : perturbation d’un schéma durant sa propagation
Distributeur automatique : permet de s’affranchir de l’heure.
Distribution : action de répartir des choses on des personnes, selon différents critères distribution en maille ou en arbre… distribuer différente pièces ou étages d’un édifice, c’est en assurer le passage .
Distribution : Desserte des espaces utiles selon leur fonction.
Distribution : desserte des espaces utiles.
Distribution : division de l’espace d’un appartement selon une fonctionnalité voulue, répartition dans plusieurs endroits arrangement des choses selon un ordre
Distribution : Passage distribuant les différents espaces .
Distribution : Répartition des différents espaces de manière fonctionnelle.
Diversité : caractère de ce qui est divers, varié.
Diversité : Ensemble d’éléments, d’objets ou de personnes dont les caractéristiques diffèrent.
Diversité : état de ce qui est divers, mélange de matériaux, de végétaux
Diversité : Interconnectés entre eux les étages forment un tout. Ils constituent la diversité de formes du projet.
Diversité : mélange d’éléments tous différents mais complémentaires.
Diversité : Mélange de matériaux, de végétaux, d’espaces générés et d’affectations ….
Diversité : pluralité d’éléments présentant diverses qualités.
Diversité : Qui implique une diversité. Le nombre de niveau, et les différentes ouvertures impliquent une diversité des comportements, ainsi qu’une diversité des vues.
Diversité : Utilisation ensemble des différents matériaux.
Doctrine : Principes liés à un mode de pensée, permettant de guider une action(ici la conception d’un important ensemble de logements, le Bijlmermeer). Ces principes ne permettent toutefois pas forcément de réaliser une action «parfaite»…
Dogmatique : ayant ne opinion tranchée sur un sujet ; péremptoire.
Dogmatise : attitude consistant à rejeter le doute ou la critique.
Domestique : ce dit d’une activité se rapportant à la maison.
Dorique : Un des 3 ordres architecturaux
double peau : protégé, tampon, écran
Droit d’alignement : L’alignement est une limite séparative d’une voie publique et des propriétés riveraines, quelque soit la régularité de son tracé. Cette limite vaut verticalement à l’aplomb d’elle même. Elle visait à l’origine de dégager la rue des constructions d’auvents, en encorbellement ou d’étalage nuisible. L’alignement est fixé par le POS, par acte unilatéral de l’autorité administrative compétente pour la voie considérée. Le règlement d’urbanisme peut également imposer une servitude de reculement.
Dualisme : (latin dualis, de deux) Système philosophique ou religieux qui divise son objet en deux sous-éléments s’opposant irréductiblement, par opposition au monisme. Coexistence de deux éléments différents opposés ou complémentaires : Le dualisme des partis. Système social de nombreuses sociétés non industrielles, caractérisé par la division de la société en deux clans assumant des fonctions complémentaires dans le domaine de l’échange des femmes, de la transmission du pouvoir et de l’organisation du travail. Dans une économie, juxtaposition de deux ou plusieurs secteurs d’activité à caractéristiques économiques et sociales différentes (par exemple, secteur d’économie vivrière et secteur industriel dans les pays sous-développés ; secteur intégré à l’économie mondiale et secteur d’activités traditionnelles dans les pays développés) . Système politique régissant les relations entre l’Autriche et la Hongrie de 1867 à 1918. (Ces deux États formaient l’Autriche-Hongrie et avaient en commun leur souverain, leur armée et leur diplomatie. Ils disposaient d’une pleine indépendance pour leurs affaires intérieures. )
Dualité : caractère d’un élément capable d’adopter deux comportements distincts.
Dualité : Confrontation de deux entités sensiblement différentes voire opposées (végétal à l’acier, le naturel à l’artificiel)
Dualité : réunion de deux épisodes distincts dans une même action.
Durabilité : Espace de temps durant lequel un bien est apte à satisfaire un besoin auquel il correspond. Durée au delà de laquelle il n’est plus rentable de maintenir en était un équipement.
Durable : De nature à durer longtemps. Adverbe de durer, une construction, un moment durable. Constant, pérenne, permanent stable «il n’y a que la vérité qui soit durable et même éternelle» BUFFON. «Sentiment, amitié, amour durable» profond, solide. J’avais l’insouciance de ceux qui croient leur bonheur durable» Proust. «Faire oeuvre durable, c’est là mon ambition» Gide. Développement durable, contraire à éphémère, fugitif, provisoire, passager, périssable, temporaire, transitoire.
DUTHILLEUL : L’architecture est l’art de composer l’espace pour les gens d’une époque (page 17 de la leçon inaugurale 13/01/2009 CHAILLOT).
Dynamique : mouvement énergique qui suggère un mouvement.
Dynamique : produit des mouvements, créateur d impulsion.
Dynamique : qui provoque mouvement, et énergie.
dynamique : Relatif au mouvement. Un élément dynamique a une forte capacité d’influence sur son environnement et de l’entraîner dans le mouvement.
Dynamiser : Rendre un site ou sous espace plus dynamique, en accentuant par exemple sa fréquentation ou en la canalisant.
Dynamisme : manifestation importante d’énergie.
Dynamisme : action qui suggère le mouvement et une impulsion. Les bandes formant l’enveloppe du projet suggérant un mouvement et une impulsion aux espaces qu’elles définissent.
Dynamisme : comme énergie active et propulsive. Donne un sens, un élan, une direction. C’est une dynamique qui a formé le projet et lui a donné cette direction.
Dynamisme : Énergie active et propulsive qui provoque un élan.
Dynamisme : énergie active et propulsive. Expression fondamentale de la mobilité, de variation et de vitesse. Transformation latente –

Eau : corps liquide, incolore, inodore, insipide, dont les molécules sont composées d’un atome d’oxygène, et de deux atomes d’hydrogène.
Eaux de ruissellement pluvial : Eaux pluviales de surface, qui coulent sur une pente. Durant leur trajet, elles lessivent les sols, entraînent les polluants (flaques d’huile, ou d’essence, pesticides… ), et constituent un facteur d’érosion important.
Eaux pluviales : le nom que l’on donne à l’eau de pluie après qu’elle a touchée le sol ou une surface construite ou naturelle susceptible de l’intercepter ou
ÉCART : c’est une distance, une différenciation entre 2 entités elle peut être physique, psychologique, culturelle ou figuré…
Écart : différence entre deux entités, créant un décalage, matériels ou imaginaire
Écart : la distance entre deux éléments architecturaux. L’écart entre les deux ailes individuelles de notre projet nous permet d’y installer nos volumes collectives.
Écarter : créer une distance entre deux espaces .
Échafaudage : symbole de l’inachèvement, de l’évolution perpétuelle.
Échange : «L’urbanisation passe au stade de la métropolisation, c’est à dire d’une croissance urbaine organisée dan, autour et à partir des agglomérations les plus importantes. Ce processus est rendu possible notamment grâce au développement des techniques de transport et de télécommunication.» François ASCHER, les nouveaux principes de l’urbanisme, page 135
Échange : Comportement caractéristique dans une communauté
Échange : dont mutuel entre deux parties. Désigne aussi des relations entre des personnes, des organisations, des états. Un échange est positif si les deux parties y ont un avantage.
Échange : Enrichissement personnel basé sur les relations portées à autrui. Peu également traité d’un commun accord entre individu voulant chacun ce que l’autre possède.
Échange : Fait de donner à autrui des biens, des idées, et recevoir à son tour en contrepartie.
Échange : fait de partager réciproquement des idées, des connaissances, des opinions, … .
Échange : fait de partager, donner et recevoir.
Échange : Le résultat de communication, donner et recevoir des informations.
Échanger : Moyen intellectuel de crier sur les gens
Echectionnisme : fait de transformer une idée en la dessinant, ou en la modélisant via des procédés mettant en actions des matériaux, la rendant immédiatement obsolète.
Échelle : 1. Dispositif composé de deux montants reliés entre eux par des barreaux. 2. Suite de degrés, de niveaux classés dans un ordre progressif ; hiérarchie ; échelle sociale ; échelle de valeur. 3. Série de divisions sur un instrument de mesure ; échelle thermométrique. 4. Rapport entre les distances figurées sur une carte ou un plan et les distances réelles sur le terrain : sur une carte à l’échelle de 1/25 0000, 1 mm vaut 25 000 mm sur le terrain, soit 25 m 5. Ordre de grandeur ; moyen de comparaison d’évaluation : problème à l’échelle mondiale, internationale, locale.
ÉCHELLE : c’est une différentiation de proportion et s’applique a tous ce qui régît notre planète.
Échelle : Différents plans d’observation d’un espace.
ÉCHELLE : ligne graduée utilisé pour exprimer un rapport de dimension entre une distance réelle et une distance figurée.
Échelle : rapport de proportion.
Échelle : suite continue et ordonnée en parties égales servant de moyen de comparaison. Système de référence. Rapport d’une longueur sur une représentation graphique, cartographique, photographique…
Éclater : briser un élément complet en plusieurs parties.
Éclater : dispersion d’un élément en parties plus petites, dans l’espace
Éclater : division aléatoire d’un élément en plusieurs autres.
Éclater : division d’un élément en plusieurs autres.
Éclater : Division d’un élément.
Éclater : Se diviser avec force, apparaître de façon manifeste. Représentation détaillée où les éléments sont volontairement disjoints pour une meilleurs compréhension de l’ensemble.
Éclectisme : grand sac permettant de stocker la multitude
Éclectisme : mélange formel des genres lié au relativisme
Eco citoyen : relatif à un comportement social respectueux des ressources naturelles. Citoyen soucieux de l’environnement et désirant préserver les ressources naturelles.
Eco école : label décernés aux écoles élémentaires, collège et lycées qui s’engagent vers un fonctionnement éco-responsable et intègrent l’Éducation à l’Environnement et au Développement Durable (EEDD) dans les enseignements.
Eco musée : Musée à caractère ethnographique, visant à conserver et à mettre en valeur la patrimoine naturel et culturel d’une région
ECO QUARTIER : «L’EcoQuartier est une opération d’aménagement durable exemplaire. Mesure phare du plan Ville durable du ministère, il contribue à améliorer notre qualité de vie».
Eco quartier : Quartier Urbain qui s’inscrit dans une perspective de développement durable : il doit réduire au maximum son impact sur l’environnent.
ECO SYSTÈME : Ensemble dynamique d’organisme vivant.
ECO-CITOYENNETE : «L’éco-citoyenneté est un comportement, une disposition des individus favorables à l’environnement».
École Nouvelle : l’éducation nouvelle est un courant pédagogique qui défend le principe d’une participation active des individus à leur propre formation. Elle déclare que l’apprentissage avant d’être accumulation de connaissances doit être un facteur de progrès global de la personne.
Ecologie active, audace : nouvelle forme d’écologie utilisant les nouveaux outils de recherche pour lutter.
Écologie urbaine : ensemble des problématiques environnementales dans le milieu urbain.
ECOMOBILITE : «L’Ecomobilité est l’étude puis la mise en place, généralement en milieu urbain, des modes de transports moins polluants, moins dangereux et à moindre impact en termes de contribution aux émissions de gaz à effet de serre»
Ecomonumentalité : Le projet veut se fondre dans le paysage urbain, il se veut neutre et sobre par les matériaux utilisés. On va mettre e toiture une toiture terrasse végétalisée pour contribuer à l’équilibre naturel de la ville.
Economie : harmonie existant entre les différentes parties d’un corps organisé, tendant à en assurer le bon fonctionnement. Tout excès trouble l’économie du corps humain, du corps social. Disposition équilibrée des parties qui composent un ouvrage littéraire ou scientifique, une œuvre d’art. L’économie d’un roman, d’une pièce de théâtre. Révéler l’économie d’un projet, sa substance, ses grandes lignes.
Eco-système : ensemble dynamique d’organisme vivants ( plantes, animaux…)
ÉCOUMÈNE : relation de l’humanité à l’étendue terrestre. Du grec «terre habitée»
Écouter : c’est un peu plus qu’entendre.
Écran : élément protecteur; le mur devient un écran, un séparateur sur le site.
Écran : élément situé entre un bâtiment et l’extérieur, qui peut le masquer complètement ou partiellement
Écran : moyen technologique ou architectural de montrer ou faire voir une idée, un concept, un bâtiment; reflet d’une intériorité.
Écran : réflexion, protection contre les agressions extérieures., l’écran est le plus souvent utilisé en terme lumineux mais peu aussi être d’autre nature (acoustique ou visuel). Un écran peut être philtre, miroir ou bouclier.
Écran : voile protecteur, l’écran est le plus souvent utilisé en terme lumineux mais peu aussi être d’autre nature (acoustique ou visuel).
Écran : voile protecteur, sert aussi à protéger des sens.
Édifice : «L’édifice est la représentation du projet qui l’a précédé.» (Boudon 2003).
Éducation : Éducation, les ateliers pour enfants, la salle de conférence, la bibliothèque et la photothèque sont autant de lieux qui permettent de sensibiliser les citadins aux enjeux et à la réalité de l’architecture.
Éducation : éduquer, apprendre, montrer pour mieux comprendre, être plus critique, avoir sa vision du monde. L’éducation transmet une logique.
EFFET DE SERRE : Phénomène qui transforme les longueurs d’ondes du rayonnement solaire l’empêchant de repartir après avoir traversé un vitrage ou une masse nuageuse. Cette dernière serait responsable du réchauffement climatique (accumulation de CO²).
Effet de Transparence : Lorsqu’une construction ou un aménagement permettra à la vision du promeneur de prolonger à travers un ensemble d’espace urbain.
Efficacité : caractère d’une personne, d’une chose, d’une action réalisé en peu de temps, avec des résultats performants.
EFFICIENCE : Capacité de rendement, performance d’une technique ou d’une entreprise.
Égocentrisme : consiste à ne concevoir le monde que dans son seul point de vue; tendance à ramener tout à soi, à se sentir le centre du monde.
Égocentrisme : particularité à être centré sur soi-même, à tout ramener à sa personne, à son intérêt.
EINSTEIN : «Derrière le désordre apparent, il existe un ordre caché».
Elemental : l’agence chilienne a beaucoup travaillé avec des gens peu fortunés, voire même en situation de pauvreté extrême, et a développé des solutions mixte d’autoconstruction dans un cadre établi par l’architecte et le maître d’ouvrage public, et qui sont particulièrement intéressantes.
Élévation : façade d’un bâtiment, changer de niveau ou tout simplement «aller plus hauuut !!! aller plus HAAUUUUUWOOOOO !!!! …»
ELLIPSE TEMPORELLE : «L’ellipse temporelle, permet de passer d’une séquence à une autre en ne montrant volontairement pas les événements qui se passent entre-temps, dans un souci d’aller à l’essentiel».
Elliptique : montrer de manière imprécise, sortit de son contexte.
Emblème : 1. Figure symbolique, souvent accompagnée d’une devise. 2. Attribut, symbole : la colombe, emblème de la paix
Emboscamiento : idem camouflage mais plus touffu avec l’idée de bosquet donc de structure.
Émergence : Apparition soudaine d’une entité hors d’une surface plane (ex eau)
Émerger : Qui a la capacité de naître ou de s’affirmer dans un lieu.
Émotion : c’est un accroissement de sensation a un moment donner, occasionnant une perte de contrôle.
ÉMOTION : réaction affective intense s’accompagnant de modifications neurovégétatives.
emotivism : Courant philosophique qui implique que les déclarations morales ne peuvent pas être vraies et on ne peut pas savoir si quelque chose ce qui n’est pas vrai.
Empilement : addition d’éléments du programme les uns sur les autre .
Empilement : addition dans un plan vertical .
Empilement : agglomérat verticale d’éléments plus ou moins différent.
Empilement : Effet de superposition.
Empilement : Superposition d’éléments identifiables.
Empilement : volumes superposés de façon verticale, sentiment de plusieurs nivaux de sol.
Empiler : accumuler un certains nombre d’éléments qui forment une pile plus ou moins régulière.
Empiler : Action de regrouper ensemble des éléments entre eux de façon compressée.
Empiler : Empiler, superposer des volumes qui n’ont pas forcément de rapport les uns avec les autres.
Empiler : L’un sur l’autre, accumuler, entasser, empilage de cellule.
Empiler : Superposer des espaces, les mettre les uns sur les autres .
Empreinte : (de empreindre) Marque pratiquée en creux ou en relief par l’objet que l’on presse sur une surface : L’empreinte d’un cachet. Relevé de la forme de quelque chose avec un matériau plastique ; le moulage ainsi obtenu : Prendre l’empreinte d’une serrure. Trace naturelle laissée par un contact, par la pression d’un corps sur une surface : Des empreintes de pas. Marque durable, profonde, caractère distinctif : Mettre son empreinte personnelle dans un ouvrage collectif. Archéologie Marque en relief laissée sur l’argile fraîche des tablettes cunéiformes ou des bouchons de jarres par les cachets et les cylindres-sceaux. Éthologie Chez certaines espèces (vertébrés, certains insectes sociaux) et à certaines périodes privilégiées de la vie de l’individu, fixation d’une manière irréversible au premier objet qui se présente comme but à un besoin instinctuel. Géologie Marque laissée dans les roches par un animal ou un végétal ou par une action mécanique. Imprimerie Moulage en creux d’une composition ou d’un cliché en relief. Numismatique Relief des monnaies et des médailles. Odontologie Moule d’un maxillaire permettant un moulage qui servira à la confection des travaux de prothèses. Sculpture Dans les techniques de moulage, cavité du moule, correspondant à la forme extérieure du modèle. Technique Reproduction en négatif d’un relief ou d’un dessin.
EN PORTE A FAUX : C’est le fait d’avoir une surface assez conséquente suspendu dans le vide qui tient grâce à une structure inventé par les meilleurs ingénieurs de la planète .
Encastrement : Action d’encastrer quelque chose ; fait d’être encastré. Assemblage rigide d’une poutre dans un mur, du pied d’un poteau dans le sol, par opposition à l’appui libre ou à une articulation. Engagement, sans jeu, d’une pièce dans une autre, en vue de son immobilisation ; état de cette pièce.
Enclavé : Cerner, bloquer, entourer.
Enclavé : emprisonné dans un vide; impossibilité de s’étendre; rarification de l’espace.
Enclavé : enfermé sur une petite surface au sein d’aménagements plus vastes.
Enclavé : positionné dans un espace réduit, confiné
Enclave : recoin, endroit pour lequel il faut faire un détour pour y accéder et qui a peu de connexion avec l’extérieur.
Enclave : Terrain complètement entouré, étouffé, par une certaine géographie, terrain presque inaccessible.
ENCLAVE : terrain entouré par d’autres terrains et qui n’a aucune issue sur la voie publique. Endroit splendide emmitouflé dans une verdure divine ou la principale richesse serait l’habitant.
Énergie : comme puissance, comme impulsion. Activation de forces et d’efforts.
Énergie : Force physique qui élève, anime une entité de façon vigoureuse.
ENFILADE : «Une enfilade est une série de choses ou d’événements se suivant en file, les uns derrière ou après les autres».
Enjeu : Ce que l’on peut gagner ou perdre dans n’importe quelle entreprise.
enjeux : C’est un des enjeux de la gouvernance locale que de trouver les bons compromis entre les diverses fonctions des rues, résidentielles, de transit et d’accueil d’activités. La rue est également l’espace public majeur de la ville. Elle cristallise donc de multiples enjeux. Et elle mérite une attention et des égards particuliers de la part des urbanistes. François ASCHER, Les nouveaux principes de l’urbanisme, édition l’aube poche, page 248
Enraciné : 1. Faire prendre racine à. 2. Fixer profondément dans le coeur, l’esprit.
ENRACINEMENT : sens figuré, fait de se fixer profondément durablement dans l’esprit dans le cœur. Fait de se fixer, de s’établir de façon stable.
ENROCHEMENT : Façon d’appareiller un ensemble de rocher pour réaliser un soutènement.
Ensemble : Somme d’éléments.
Entité : 1. Abstraction considérée comme une réalité : la République, l’État sont des entités politiques. 2. philos Ce qui constitue l’essence d’un l’être.
Entonnoir : Limites les affluences sans discrimination, contrairement au filtre.
Entre : A l’intersection de deux entités, interface.
Entre deux : qui se situe entre deux espaces.
Entre deux : Situation ambiguë, en tension entre deux polarité.
Entre deux : Intermédiaire, alternative à deux espaces liés.
Entre deux : lieu liant deux espaces différents (lieu intermédiaire) .
Entre deux : point de liaison ou point de séparation.
Entrée : lieu de passage entre public et privé. Une entrée attirante pour le commerce (salle d’expo) et une entrée plus intime pour les logements.
Entrée : seul lieu de passage entre publique et privée.
ENTREGENT : Habileté, adresse à se conduire, à se faire valoir en société. Fernand POUILLON en avait beaucoup parait-il de «l’entregent».
Entrelacs : ensembles de lamelles se croisant et passant alternativement les unes aux dessus des autres pour engendrer un tissu homogène.
Enture : liaison de deux entités constituées de la même matière, de la même composition chimique. Inter- pénétration en quinconce de deux volumes édentés à cet effet.
Enveloppe : (de envelopper) Ce qui enveloppe quelque chose ; revêtement : Un colis dans son enveloppe de plastique. Pochette de papier destinée à recevoir une lettre, un document, etc. Littéraire. Apparence extérieure de quelqu’un : Sous une rude enveloppe, il cache un coeur sensible. Somme d’argent offerte à quelqu’un en échange d’un service : Donner une enveloppe au gardien. Dans un budget, limite supérieure de dépenses autorisées à un titre quelconque et à l’intérieur desquelles l’aménagement peut varier ; ensemble de crédits affectés à quelque chose. Littéraire. Corps humain, par opposition à l’âme, à l’esprit : Enveloppe corporelle. Anatomie Membrane ou ensemble de plusieurs membranes entourant un organe. Beaux-arts Ce qui lie, unifie les formes d’une peinture, d’un dessin ; atmosphère, fondu. Fortification Ligne fortifiée continue doublant, à l’extérieur, une enceinte. Mathématiques Courbe ou surface tangente à chacun des éléments d’une famille de courbes ou de surfaces. Technique Synonyme de pneu.
Enveloppe poreuse : qui constitue une frontière visible mais pas physique.
Environnement : ce qui entoure de tous cotés. Ensemble des éléments objectifs (bruit, qualité de l’air) et subjectifs (beauté d’un paysage) constituant le cadre de vie d’un individu.
Environnement : Milieu ambiant dans lequel se situe un objet, une personne, une architecture. Matériau porteur de sens. / Vittorio Gregotti
Envol : on a parfois le sentiment, quand tout va bien, que l’on pourrait prendre son envol.
Épaisseur : (de épais) Une des dimensions d’un corps, mesurée par l’écart entre ses deux faces principales, plus ou moins parallèles : Une cloison de faible épaisseur.
Épaisseur : mesure de la hauteur d’un objet ou d’un revêtement vu par la tranche, c’est aussi une propriété d’une substance fluide ayant une certaine viscosité
Épaisseur : Superposition de la peau et des peaux secondaires d’un bâtiment.
Épaisseur : Superposition des peaux et des peaux secondaires d’un bâtiment.
EpaNnelage : permettre une détermination des volumes.
EpaNnelage : permettre une détermination des volumes. Plan d’épanNelage : document graphique qui définit l’enveloppe des volumes susceptibles d’être construits.
EPANNELAGE : «Insertion du construit dans un projet. Forme globale par succession de taille».
ÉPANNELAGE : ébauche de volumétire pour un bâtiment ou un ensemble de bâtiments (quartier)
Epannelage : forme globale d’un édifice inséré dans sa rue, la masse donnée dans l’ensemble urbain, sans les détails.
Epannelage : Forme simplifiée des masses bâties constitutives d’un tissu urbain (J. O. du 16. 12. 1998).
Epannelage : plan d’épannelage : document graphique définissant l’enveloppe des volumes susceptibles d’être construits.
Ephémère : (grec ephêmeros, qui dure un jour) Qui ne vit qu’un jour, un temps très court : Insecte éphémère. Qui n’a qu’une courte durée : Un règne éphémère.
Épine dorsale : Enchaînement des apophyses épineuses des vertèbres visible dans le dos de l’homme et de certains mammifères.
Équilibre : (bas latin aequilibrium, du latin classique aequus, égal, et libra, balance) État de repos, position stable d’un système obtenus par l’égalité de deux forces, de deux poids qui s’opposent : Mettre les plateaux d’une balance en équilibre. État de quelqu’un, d’un animal qui maîtrise sa position et ses mouvements, qui ne tombe pas : Avoir peine à garder son équilibre. Juste proportion entre des éléments opposés, entre des forces antagonistes, d’où résulte un état de stabilité, d’harmonie : Une période d’équilibre politique. Juste répartition des éléments d’un tout : Équilibre de l’alimentation. Rapport d’harmonie entre les tendances psychiques, les rythmes ou les domaines d’activité de quelqu’un : Dans ces circonstances difficiles, il a su garder un bel équilibre. Chimie État d’un système de corps dont la composition ne varie pas. (L’équilibre peut résulter d’une absence de réaction chimique ou de l’existence de deux réactions inverses se produisant avec la même vitesse. ) Chorégraphie Pose acrobatique tenue en général la tête en bas, le corps dressé à la verticale, la tête et les mains servant de point d’appui au sol. Cirque Exercice consistant soit à conserver immobile son corps placé en position instable, soit à maintenir stables des objets étagés d’une manière apparemment fragile. Économie Situation d’une économie caractérisée par l’égalité entre les volumes d’offre et de demande sur les marchés des marchandises, des capitaux, du travail. Pédologie Résultat des interactions complexes des différents facteurs du milieu (climat, végétation, êtres vivants et facteurs physiques locaux tels que la topographie) sur le milieu minéral, qui aboutissent aux sols naturels.
Équilibre : Composants étant dans un état de stabilité
Équilibre : Répartition équivalente dans les différentes parties. L’équilibre est vecteur de stabilité.
Erasmus : programme d’échange d’étudiants internationaux.
Ergonomie : Adaptation de l’outil, l’usage, le bâtiment, à l’utilisateur. Un projet architectural se doit d’être ergonomique.
Ergonomie : étude scientifique de la relation entre l’homme et ses moyens, méthodes et milieu de travail.
Ergonomie : étude scientifique de la relation entre l’homme et ses moyens, méthode et milieu de travail. Et l’application de ces connaissances à la conception de systèmes. Ergon = travail Nomos = règles
Ergonomie : science qui se consacre à la recherche d’une meilleure adaptation entre une fonction, un matériel et son utilisateur.
Erreur : point de non-rationnalité. Si l’erreur n’est pas considérée, c’est la faute qui la remplace.
Escalade : aller toujours plus haut avec légèreté et volupté.
Escalade : Ce n’est pas un moyen ni une dimension mais une capacité de relation entre les éléments du projet
Espace : (latin spatium) Propriété particulière d’un objet qui fait que celui-ci occupe une certaine étendue, un certain volume au sein d’une étendue, d’un volume nécessairement plus grands que lui et qui peuvent être mesurés. Étendue, surface ou volume dont on a besoin autour de soi : Manquer d’espace dans une chambre trop petite. Portion de l’étendue occupée par quelque chose ou distance entre deux choses, deux points : Laisser un espace de 2 mètres entre les deux éléments. Étendue, surface, région : Survoler de vastes espaces désertiques. Surface, étendue, volume destinés à un usage particulier : La cuisine devient un espace à vivre. Domaine localisé dans lequel s’exercent certaines activités : Espace judiciaire européen. Milieu situé au-delà de l’atmosphère terrestre et dans lequel évoluent les corps célestes : La conquête de l’espace. Ensemble des activités industrielles se rapportant à l’exploration ou à l’exploitation de ce milieu. Milieu extraterrestre (dans la science-fiction) : Homme venu de l’espace. Anatomie Nom donné à certaines régions, à certains orifices, à certains interstices (espace épidural, espace clavipectoral, espace intercostal, espace sous-arachnoïdien) .
Espace : étendue entre les objets, les espaces bâtis/non bâtis
Espace : lieu défini par des points de repères.
Espace : Lieu défini par ses attributs, sa fonction, possède des limites sensibles, qu’elle soient physique ou non.
Espace : ne se voit pas, se ressent.
Espace : Notion relative aux étendues, à la grandeur et au confort de vie d’une pièce.
ESPACE : objet social défini par sa dimension spatiale. L’espace «constitue [… ] l’ensemble des phénomènes exprimant la régulation sociale des relations de distance entre des réalités distinctes et la spatialité l’ensemble des usages de l’espace par les opérateurs sociaux.» C’est «le résultat du traitement par les groupes humains du problème redoutable de la distance». Ce «traitement impose des «technologies «spécifiques qui sont à la base de la construction d’espaces par les sociétés : la coprésence, la mobilité, la délimitation.» (Lussault 2007).
ESPACE : surface, endroits affectés à une activité particulière ou à un usage. Volume occupé par quelque chose.
Espace : Volume déterminé par un sol, un toit, et/ ou des cloisons .
Espace collectif : Espace a l’usage de tous les habitants. Des espaces respirant. On a deux espaces collectifs. En fonction des choix des habitants, l’espace collectif de Louis Blanc est en relation avec la ville.
Espace collectif : Espace servant la communauté, entretenu par la communauté, prétexte aux rencontres, à l’échange, à la mutualisation du travail et des équipement.
Espace collectif : Lieu d’échange et de rencontre soumis à une fonction.
Espace collectif : Lieu de rencontre et de partage.
Espace collectif : On a des espaces ouverts à l’usage, à la distraction, et aux stimulations, en bref ces espaces sont ouverts à la distraction. Ils permettent le métissage de la population.
Espace corporel : espace en rapport avec le corps. Étendue qui contient et entoure le corps.
Espace de vie commun : lieu de rencontre ou de partage, là où les vie des uns et des autres se croisent.
Espace dynamique : Espace d’activité, de passage.
Espace dynamique : Optimisation des espaces vers une distribution, une déambulation fluide.
Espace extérieur : espace non clos, non couvert étendu, indéfini qui contient et entoure les constructions.
Espace fonctionnel : espace adapté à sa fonction.
Espace interstitiel : (vaste terrain obsolète) On le considère aussi comme une zone de friction. Le site entre difficilement en rapport avec la place située 7 m au dessus de lui. Le bâtiment fait le lien entre ces deux zones.
Espace interstitiel : Espace qui se trouve entre deux zones et montre les particularités chacune d’elles.
Espace interstitiel : espace situé entre deux élément permettant souvent leur connexion ou leur séparation
Espace interstitiel : espaces créés entre deux éléments.
Espace interstitiel : Lorsque l’on dispose des modules non pavable, on crée en négatif de ces modules des espace interstitiels. Ils ne doivent pas être négligés ou laissés pour compte sous peine d’invalidité du mode de disposition.
Espace intime : espace réservé à soi seul. Espace intime / espace individuel.
Espace privé : espace ou lieu destiné à des personnes restreintes, lié intimement.
ESPACE PROPRE : espace concret où s’entrelacent le déroulement facilité des gestes quotidiens et les incitations à l’imaginaire
espace public : «Il n’y a d’existence de l’espace public que lorsque celui-ci autorise, favorise, la rencontre et la communication des gens entre eux, la communion dans une libéré optimale d’association à toutes les échelles (le voisinage, le quartier, le village, la ville). C’est fort de cette affirmation, tirée d’une analyse des besoins de la «société urbaine de masse», qu’Alison et Peter SMITHSON au tout début des années 50 seront amenés à reposer le problème de la forme bâtie des places, reprenant la question là où Camillo SITTE et la tradition anglaise de la cité jardin l’avaient laissée.» Texte de Dominique ROUILLARD, La place dans l’espace urbain, Cahiers paysages N°5 déc. 1996, page 8.
espace public : «L’espace public est évident au cœur de l’urbanisme, parce que c’est a priori ce que les pouvoirs publics maîtrisent le mieux dans la production et la gestion des villes, et parce que les espaces publics bâtis et non bâtis structurent les espaces privés. Les villes se font en effet en grande partie par les «vides» qu’imposent les rues. La notion d’espace public est de plus en plus utilisée, mais elle recouvre des réalités diverses. Le sens commun qui impose va au delà du statut juridique «public», et désigne généralement un espace «ouvert au public» c’est-à-dire à tout le monde. Cette accessibilité implique le plus souvent des usages ou des formes d’utilisation variés, qu’il faut rendre compatibles. Ouverture et multifonctionnalité apparaissent ainsi comme les enjeux majeurs de la conception et de la gestion des espaces publics. Ils en font aussi une question de gouvernance, car des interventions et des arbitrages de toutes sortes sont généralement nécessaires pour garantir l’ouverture et la variété des usages.» François ASCHER, Les nouveaux principes de l’urbanisme, page 199
Espace Public : Définis tous les espaces non bâti de la ville : jardins, places, squares et parcs, mais aussi les rues, les berges et les quais.
Espace public : ensemble des espaces de passages et de rassemblement à l’usage de tous et qui n’appartient à personne, plutôt aux collectivités.
Espace public : Espace assujettie à des lois qu’il faut respecter sous peine de se voir priver de sa liberté, il est néanmoins possible à tous de l’arpenter, et ainsi par le moyen de structure adéquat, c’est un lieu d’interaction fort entre les individus.
Espace public : espace ou lieu accessible visuellement ou/et physiquement.
Espace public : La «récurrence du terme «espace public «ne travaille pas à son unicité ; bien au contraire, l’usage s’appuie sur sa polysémie même. Ainsi, l’espace public à l’instar d’autres «mots éponges « agrège des représentations diverses, renvoie à des points de vue, des intérêts, voire à des idéologies, différenciés et qui ne sont pas sans effets sur les formes et les espaces aménagés. Formes et lieux qui, plus fondamentalement, manifestent par leur présence les sens octroyés à la ville et à ses conditions d’existence» (Jaton & Pham 2005).
espace résiduel : Espace délaissé, pouvant résulter d’un oubli. C’est un espace non valorisé qui n’est pris en compte par aucun acteur des projets l’entourant. Il s’agit souvent d’un entre-deux, d’un trou…
Espace Servant / Servit : séparation, délimitation entre les espaces servants aux fonctionnements des différents composants (ascenseurs, couloirs, réserves, etc… ) et les espaces publics servis (salles d’expositions, bureaux, etc… . ).
Espanter : S’apercevoir bêtement la vieille que les textes à analyser en anglais existaient en français
Esplanade : n. f. Vaste espace libre en avant d’un édifice. Terrain plat, uni et découvert, séparant une citadelle des premières maisons de ville, pour dégager les vues…
Esthétique : plait au regard, même si le regard est personnel et influencé par notre environnement.
Étalage : support de marchandise en libre vente au publique, elle doit être alléchante pour que ce dernier soit intéresser.
Étendre (s’) : prendre plus de place que nécessaire.
Étendre (s’) : prendre plus de place que nécessaire.
Étendre (s’) : s’extraire d’un endroit, déborder dessus. Rôle tenu par l’amphi .
Étendre (s’) : se disperser dans le plan.
Étendre (s’) : Se disperser, s’étaler dans la totalité de l’espace qu’il nous est donné.
Étendu : Élément qui reflète une tension ou un étalement (selon un centre ou un axe).
ÉTHIQUE : (grec ÊTHIKOS morale) Ce que chaque être humain devrait avoir à l’esprit, à l’idée, quand il prend une décision personnelle, professionnelle ou politique.
Éthique : ce qui concerne la morale.
Éthique : En Philo science et théorie de la morale. Morale : ensemble des valeurs, des règles morales propre à un milieu, une culture, un groupe. «L’éthique bourgeoise ne dérive pas de la providence : ses règlements universels et abstraits sont inscrits dans les choses» SARTRE. Éthique de déontologie, éthique médicale. adj : Qui concerne la morale, préceptes, jugements éthiques / savoir dire non/ savoir être.
ÉTHIQUE : ethos = peuple. Groupement de famille au sens large du terme, qui possède une structure familiale, économique et sociale homogène et dont l’unité repose sur une langue, une culture et une conscience de groupe.
Éthique : honnêteté, morale et principes.
Éthique : Pouillon, Madec, en plusieurs occasions j’entends parler de l’éthique à un certain moment de cette année. Pourtant, il me semble que l’éthique est comme l’humour selon la définition de Pierre Desproges : on peut la mettre en pratique sur tous les sujets mais pas avec n’importe qui.
Éthique : Science de la morale. Ensemble des conceptions morales de quelqu’un, un milieu, une culture.
Ethnique : Latin savant Ethnicus. qui sert à désigner une population dénomination d’un peuple (français pour la france)
Étiage : Niveau moyen le plus bas d’un cours d’eau.
ÉTONNER : Déclencher la surprise. Ébranler, lézarder une construction.
Étudiant : individu toujours en apprentissage dans une école ou a l’université.
ÉTUDIANT : mammifère appartenant à la race humaine. Il a l’objectif de se former un avenir par le biais de ses études en dépit de son deuxième objectif qui est de profiter de la vie, faire de nouvelles expérience par le biais de la fête ou d’autre substance illicite.
Étudier : Verbe du premier groupe qui une fois assimiler et bien compris permet de se construire de l’intérieur.
Europan : appels d’idées anonymes, ouverts, publics et européens pour les jeunes professionnels de la conception urbaine et architecturale ( 40 ans).
Europe : Espace composé d’une population ayant des langues différentes, des culture différents, partageant le même territoire.
Événement : action ponctuelle et distincte du quotidien.
Événement : Ce qui advient, ce qui arrive à une date et en un lieu précis ; «l’événement est classiquement individualisé comme ce qui segmente la continuité du temps historique et inaugure un changement dans l’ordre des choses» (Delacroix 2003).
Événement : Fait particulier qui se dingue par son caractère remarquable.
ÉVÉNEMENT : peut être assimilé au souvenir d’un lieu. FABRIQUER L’ÉVÉNEMENT, c’est construire le souvenir d’un lieu
Événementiel : Qui se borne à la narration des événements suivant l’ordre chronologique : Histoire événementielle.
Évider : percer un volume pour créer des arrivées de lumière, des vues ou par soucis esthétique .
Évider : Remplacer le plein par le vide
Évoluer : La constitution du projet est en évolution d’après l’idée de superposition des boites au hasard.
Évolutif : Qui s’adapte en fonction des besoins.
Évolutif : Système, action, processus ; capable d’évoluer, de grandir, de muter et de se déformer à partir de codes ou de règles génériques précises. Celles ci étant flexibles déterminées et indéterminées à la fois et d’informations spécifiques externes à un temps.
Évolution : Action progressive dans le temps, métamorphose continuelle.
ÉVOLUTION : changement d’aspect et de morphologie du bâtiment.
Évolution : changement de la morphologie du bâtiment (colonisation ou décolonisation) ainsi que changement d’aspect des façades (bois, corten…). Passage d’un état a un autre. .
Évolution : changement lors de la progression, plus on progresse, plus la spatialité est sujette à une transformation ou une modification de ses caractéristiques. Évolution = changement + parcours .
Evolution : changement morphologique par rapport à un stade antérieur . Ce qui se caractérise par l’ajout ou la suppression d’aptitude, de forme ou de paramètre.
Évolution : changement progressif au fil du temps.
Évolution : L’aboutissement d’un projet est dût à une succession d’étapes ayant pour but l’amélioration au fil du temps.
Évolution : l’évolution est en relation avec le temps, tout est soumis au temps, tout évolue.
Évolution : l’évolution est en relation avec le temps, tout est soumis au temps, tout évolue.
Évolution : passage progressif d’un état à un autre le corten en façade, comme le bois utilisé pour la cafet’, permet de voir cette évolution du bâtiment dans le temps.
Évolution : Processus continu de transformation, public/privée, commun/privée, commun/intime, dedans/dehors.
Évolution : Transformation progressive, naturelle ou non, d’un élément.
Ex nihilo : à partir de rien.
EXCAVATION : Action de creuser dans le sol.
exclusion / exclure : d’après Diana I Agrest, pour que quelque chose soit exclu, Il est nécessaire de dissocier deux parties, ce qui est a l’intérieur, les entités définies, et ce qui est a l’extérieur. Quelque chose, autrefois inclus que l’on rejette.
EXHIBITION : Action de faire voir, faire étalage de quelque chose au plus grand nombre.
existing city : la ville existante : la ville est considéré en fonction de ses besoins comme une entité vivante qui a besoin d’aide pour survivre. La ville existe par ses habitants
Exosquelette : squelette ou structure à l’extérieur, tel les insectes.
Exosquelette : structure externe qui enveloppe, protège et supporte l’intérieur. Tous les éléments porteurs de la structure sont à l’extérieur, les parties internes sont ainsi libérées des éléments structuraux et supportées en périphérie.
expansion : se développe dans toutes les directions. Sans limite.
Expérience : situation vécue enrichissant notre connaissance de la vie.
Expression artistique : ce qui se réfère à l’art et qui exprime une idée avec l’aide d’un moyen d’expression graphique propre à son propos.
Expressionnisme : AAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhh !!!! (Le Cri, Edward Munch)
Extension : ne se développe que dans un sens. Prolongement.
Extérieur (à l’) : sensation des sujets qui ont l’impression d’être en transit. Le bâtiment, plus qu’une somme d’espaces est une somme de temps et d’action
Extérieur : qui est au dehors, ex : quartier extérieur. visible, manifeste.
extirper (s’), s’étendre : s’extraire d’un endroit, déborder dessus. Rôle tenu par l’amphi .
Exultation : «bien sûr tu pris quelques amants, il faut bien que le corps exulte».

Fabriquer : évolution de la construction. Aujourd’hui l’architecture tend à être fabriqué puis assemblé. .
Facebook : site des services secrets permettant de lister la population en leurs laissant le choix de la pagination.
Faille : (peut-être néerlandais falie) Tissu d’armure toile, à grain très marqué, formant des côtes.
FAILLE : c’est le début d’un écartement de matière comme le sol par exemple mais peut s’appliquer a tout autre entité.
Faille : défaut, point faible . Rupture dans l’écorce terrestre.
Faille : issu d’un accident topographique, rupture dans l’écorce terrestre accompagné d’une dénivellation .
Faille : Rupture dans les limites et frontières physiques et visuelles.
Familier : désigne quelque chose ou quelqu’un que l’on connaît qui ne nous est pas inconnu.
FAMILLE : toutes les personnes d’un même sang. Groupe d’être ou de choses présentant des caractères commun.
Fantastique : qui dépasse l’imaginaire, surnaturel.
Fatuité : suffisance ridicule de soi-même, fait d’être très prétentieux et de peu de valeur.
Faubourg : En dehors des murs, une partie rattachée a ce tout.
Faubourg : Excroissance ponctuelle d’une ville hors des murs. Initialement il résultait de l’implantation hors des limites de la ville, et accueillait les activités qui n’ étaient pas acceptées ou qui y trouvaient une localisation avant-gardeuse.
Fécondité : Aptitude d’un être vivant à se reproduire. Aptitude d’un sol à produire des récoltes ; fertilité. Caractère de quelqu’un, de ses facultés dont les productions sont abondantes : La fécondité de l’esprit, d’un écrivain.
Féminisme : débat ayant pour source la nom prise en compte du sexe féminin dans le passé. Lutte pour prouver que la femme a son rôle dans la société. citation : La femme est un homme comme un autre.
Fenêtre : Zone intermédiaire d’échange entre intérieur et extérieur, lumière, vision.
Fenêtre Urbaine : Est une appellation données à la vision particulière d’un paysage vécu par un promeneur en ville. Elle est constituée de cadre : les façades d’immeubles, la voies et le fond de scène, où le ciel est un élément permanent de jour comme de nuit.
Ferme pédagogique : structure pédagogique d’accueil tout public souhaitant développer les activités de cultures et d’élevage d’animaux.
Fernand Pouillon 1965 : «voilà ce que je veux inculquer aux élèves : échapper à leur devoirs, composer en se promenant. L’oeil est un point fixe et l’architecture doit pivoter de toute sa masse autour du regard. C’est comme cela qu’on apprend à construire des cités où il est agréable de vivre. Mettre des couvertures aux fenêtres, n’empêchera pas le bâtiment de garder son aspect monumental.»
Fertile : (latin fertilis) Se dit d’un sol, d’une région qui donnent d’abondantes récoltes : Une région fertile en blé. Se dit d’une période de temps pendant laquelle la terre produit beaucoup : Une année fertile. Se dit d’un esprit riche, fécond, inventif : Imagination fertile. Se dit d’une femme apte à être fécondée ou d’un couple dont la femme est apte à être fécondée. Se dit du noyau d’un atome susceptible d’être transformé en un noyau fissile par capture d’un neutron. Se dit de l’atome contenant ce noyau et d’une matière contenant de tels atomes. Se dit d’un cépage très productif.
Figure and ground (D’après T. Schumacher) : (peut être traduit par «figure et contexte»). Le solide, le bâtiment, et le vide, l’espace urbain, sont intimement liés, interdépendants, et peuvent tous les deux être figuraux, avoir un sens, une identité.
Figurer : Représenter sous une forme visible.
FILIATION : lien de parenté unissant un enfant à ses parents. Liaison de choses engendrées les unes par les autres.
Fissure : altération superficielle sous forme de fente.
Fissure : éclatement d’un élément pouvant donner naissance à deux éléments distincts.
Fissure : séparation nette entre un ou plusieurs éléments = rupture.
Flâner : circuler sans but précis.
Flâner : errer sans but, en s’arrêtant souvent pour regarder. Perdre son temps.
Flâner : se promener sans but précis. Perdre son temps avec plaisirs, paresser. Laisser flâner son regard, son esprit, son imagination. Les laisser errer, divaguer.
Flâneur : personne avançant sans but précis, que l’architecture doit transformer en acteur. Du passif à l’actif .
FLAT-LINE : Cette expression est utilisée aux E. U. pour désigner la stratégie consistant à maintenir toute l’année une température et une humidité relativement constante dans le local traité.
Flèches : Projectile de certaines armes de jet consistant en une tige munie d’une pointe à l’extrémité et d’un aileron à l’autre. Comme une flèche, très vite, monter en flèche. Éléments d’interface, icône figurant une flèche permettant de faire défiler dans un sens ou dans l’autre. Flèche de direction «mes mains qui traçaient des flèches, indiquaient des poids, des quantités», Fernand POUILLON, les pierres sauvages, éd. points.
Flexible : adjectif convenable lorsque l’on parle de temporalité dans le cadre urbain. Souhaitable dans une investigation analytique sur les phénomènes urbains.
Flotter : donner l’impression de rester dans l’air come nos boites collectives.
Fluctuation : organisation spatio-temporelle des flux humains sur un site donné.
Fluidité : Caractérise un événement durant lequel aucuns écart, problème n’est survenu. Tout a coulé de source.
Fluidité : facilitée à se déplacer, a se mouvoir, mouvement clair qui s’écoule.
Fluidité : Qualité de ce qui est fluide, facilité avec laquelle une matière, un liquide s’écoulent uniformément : La fluidité d’une crème. Qualité d’un trafic qui s’écoule régulièrement. Caractère de ce qui est mobile, difficile à saisir, à fixer : La fluidité de la situation militaire. Situation dans laquelle l’offre s’adapte aisément à la demande ou la demande à l’offre, par opposition à viscosité. (La fluidité est l’une des conditions de la concurrence pure et parfaite. ) Faculté pour un liquide de s’écouler dans les canalisations ; inverse de la viscosité absolue d’un liquide.
Flux : circulation de personnes, des autos, des fluides.
Flux : Circulation verticale et horizontale des personnes et des fluides.
Flux : circulation, débit, passage, rivière qui coule.
Flux : Déplacement directionnel d’une masse d’individus.
Flux : direction d’un déplacement d’individus nombreux.
Flux : direction des déplacements d’individus ou de réseaux caractérisant l’organisation d’un projet.
Flux : Du latin «fluxus» écoulement. Grande abondance de choses ou de personnes qui se suivent sans interruption.
Flux : flot, quantité, d’éléments en déplacement.
Flux : fluidité, dynamique, mouvement. Réseaux, Transmission d’informations.
flux : Idée d’un écoulement prenant en compte la quantité d’entités se déplaçant au cours du temps. Se rapproche du débit.
Flux : Le flux de passage correspond à une ligne de force où le passage est fréquent.
Flux : Le site est entouré par le flux des gens et des publicités. En créent un parvis intérieur, on a essayé de protéger le bâtiment a ce flux commercial mais en même temps de créer l’attirance vers le bâtiment.
Flux : les flux donnent des directions, des positions au projet. Par exemple la position du retrait par rapport à la dalle, ou l’arrivée sur l’espace public .
Flux : Trace fictive, irréelle, laissé par le passage de quelqu’un, d’un véhicule ou de tout autres objets.
Flux : transite, circulation, mouvement les déplacements piétonniers se font au sein du bâtiment de manière verticale.
FOLKLORE : c’est la conscience du peuple
Foncier : Relatif à un fond de terre, à sa propriété, à son exploitation et à son imposition.
Foncier : tout ce qui se rapporte aux propriétés bâties ou non, qui a un rapport à un fonds de terre.
FONCIER : Tout ce qui se rapporte aux propriétés bâties ou non.
Fonction : Activité déterminée et attachée à un individu, un espace, un objet. Une fonction peut être réelle, pratique, immatérielle, symbolique…
Fonction : attribution de sens à des éléments architecturaux ou non.
Fonction : Attribution de sens a des éléments. Les fonctions ont un rôle important dans le projet. Le but est de répondre aux désirs des habitants.
Fonction : Différentiation des fonctions publiques et privées.
Fonction : Forme que l’on attribue à une forme donnée et qui la justifie.
Fonction : Notion liant une utilité à un objet.
Fonction : Rôle que l’on attribut à une forme de donné et qui la suivent
FONCTION : Rôle, activité d’une chose dans un ensemble.
FONCTION : rôle, utilité d’un élément dans un ensemble.
FONCTIONNALISME : Courant architectural qui affirme que la forme et l’apparence extérieure d’un bâtiment doivent découler de sa fonction.
FONCTIONNALISTE : Qui défend l’idée que la forme doit être l’expression d’une fonction et adapté à un besoin. UNE ÉCOLE ne peut ressembler à un supermarché si l’on veut que les enfants fassent la différence entre les lieux et donc les respectent.
Fonctionnalité : est pratique, simple, facile et d’utilisation instinctive.
Fonctionnalité : Réaliser un bâtiment fonctionnel répondant à la demande du projet, c’est-à-dire un espace efficace répondant au comportement humain, et à un programme particulier.
Fonctionnalité écologique : Elle dépend de sa capacité à permettre aux individus (dispersion écologique) et à leurs gènes (dispersion génétique) de circuler, deux phénomènes dispersifs essentiels à la dynamique des populations animales et végétales donc à la pérennité des espèces aux différentes échelles territoriales. Cette fonctionnalité écologique repose sur deux caractéristiques majeures du paysage écologique : le faible taux de fragmentation par l’urbanisation et les infrastructures (perméabilité écologique) ;
Fonctionnel : caractérise un objet/un lieu dont la forme et l’organisation facilitent son utilisation.
fonctionnel : Espace pensé uniquement dans le but de faciliter les actions s’y déroulant.
Fonctionnel : tout à fait adapter à l’usage que l’on peut en faire privilégiant l’usage à l’esthétique.
Fondation : il y a un groupe de travail, un diagnostic a été établi, les éléments sont en place : nous avons fondé notre projet.
Foret : Espace protégé par une couverture végétale dans lequel se développe un écosystème.
Foret : répétition dense d’éléments identiques le plus souvent verticaux.
FORET DOMANIALE : «Une forêt domaniale est, en France, une forêt faisant partie du domaine privé de l’État».
Formaliser : Donner, au cours de l’analyse, une forme logique aux éléments d’un problème, abstraction faite de la matière ou du contenu.
FORMALISME : C’est un concept esthétique à plusieurs degrés : au niveau politique, cela correspond à une esthétisation des rapports sociaux afin de masquer les conflits. Au niveau bureaucratique, c’est tout système tendant à réduire le réel à un certain nombre de besoins, de normes, de standards, de styles. Au niveau technocratique, c’est toute architecture réduite à une série d’opérations de techniques financières, distributive ou constructive.
Formalisme : un concept esthétique, mettant en avant la forme.
Forme : aspect, apparence extérieur déterminant la configuration d’un élément .
Forme : aspect, silhouette d’un objet ou d’un individu le caractérisant.
FORME : Configuration d’une chose, Aspect, apparence extérieure.
Forme : Ensemble de traits qui permettent une réalité concrète. Forme du bâtiment très cubique, forme de «boites»
Forme : est définie par un (des) points, lignes, superficies, volumes.
Forme : Franck Lloyd Wright «Form follows fonction», «Form and fonction are one».
Forme : Système de points dans l’espace.
Forme urbaine : Avec Bordère (2004), nous parlons de la forme urbaine comme d’un tissu urbain homogène. Plus précisément, selon cet auteur, il s’agit : «De l’apparence physique d’un morceau de ville [… ] constitué par le réseau des voies, le parcellaire, la forme et le type des bâtiments. Une maison sur son terrain ne constitue pas une forme urbaine ; l’assemblage d’un groupe de maisons avec la voirie qui les dessert et les éventuels espaces communs en est une.»
Former : produire, constituer, créer
Formuler : Exprimer avec ou sans précisions.
Forum : lieu de dialogue et centre politique désinstitionalisé.
FOURMILLE : être vivant en communauté mais qui assure sa fonction première qui est de subvenir aux besoins de sa communauté.
Fourmis : Insectes sociaux vivant en colonies. Les étudiants Erasmus (sensés être eux aussi des travailleurs) vivent eux aussi dans une organisation sociale.
Fracture : (latin fractura, de frangere, briser) Rupture avec effort, solution de continuité produite dans un corps : Fracture d’une porte, d’une serrure. Rupture d’un os ou d’un cartilage dur. Accident tectonique cassant. En technique minière, fissure réalisée artificiellement dans une roche.
Fragment : partie séparée d’un tout.
Fragment : petite partie d’un ensemble d’éléments de même nature
Fragmenter/Fragment : Partager, réduire quelque chose, en fragments, en multiples morceaux (fragment : : (latin fragmentum) Morceau d’une chose brisée ou déchirée, débris : Fragments d’un os fracturé. Reste de quelque chose présentant un intérêt historique, scientifique, etc. : Fragment d’une inscription. Morceau d’une oeuvre, d’un texte, etc. : Citer un fragment de «l’Odyssée». Partie plus ou moins importante de quelque chose, par opposition au tout : Entendre des fragments de conversation. )
FRANGE : partie marginale d’une collectivité. Limite floue, imprécise.
FRANGE URBAINE : Limite de territoire entre secteur urbain et autres limites.
Fréquence : reproduction successive d’un même rythme.
Fréquentation : qualifie la densité de population arpentant une zone définie.
FRICHE : «Une friche est un terrain, ou une zone, qui n’est pas, ou plus cultivé, ni même entretenu»
FRONDAISON : on désigne par ce terme le feuillage lui-même, voir l’ensemble des feuilles et des branches. Frondaison désigne le moment de l’année ou les feuilles d’un arbre commencent à pousser.
Frontière : endroit ambigu que l’on peut soit longer ou dépasser. Ligne imaginaire sans épaisseur en contradiction avec elle même. N’ appartenant à aucune des deux parties qu’elle sépare, elle génère un champs des possibles important.
Fusionner : rassembler deux ou plusieurs éléments, fonctions en un seul .

Gabarit : en architecture, désigne la taille et la forme générale que peut prendre un bâtiment en fonction des règles d’urbanisme.
Gain de place : disposition de telle sorte de minimiser la superficie et l’espace utiliser par un (des) objets.
Gain de place : gagner de la place par des procédés tel que, par exemple, l’utilisation d’espace non utilisé le jour. L’idée de multifonction est très rentable dans le gain de place.
Galerie : Lieu de passage ou de promenade, beaucoup plus long que large, ménagé en façade et reliant les différents membres de la communauté.
GARDE CORPS : c’est un élément de construction qui empêche un individu de tomber dans le vide, il est nécessaire pour des surfaces situé à plus d’un mètre et il doit faire 1, 20m de haut.
Gargote : petit édifice conçu en bord de voirie. Fréquent dans les pays asiatiques et africains pour la vente de nourriture.
GAUDI : «L’originalité est le retour à l’origine», «l’origine étant bien sur la nature».
Génération : Ensemble d’une population qui ont le même âge dans une certaine époque.
GENERATIONNEL : relatif à la relation entre générations.
GENÈSE : origine, ensemble de faits contribuant à une création.
Génétique : Il s’agit en architecture de trouver la possibilité de travailler avec des gènes, être capable de se doter réellement de ces structures, organisme ou environnement préalable. Ne pas organiser sinon régler, ne pas composer sinon générer, ne pas ordonner mais développer.
GENIUS LOCCI : Le génie du lieu, un bâtiment emblématique d’une ville ou d’un quartier qu’il faut préserver car i concentre toute l’histoire et qu’il permettra d’éclairer l’avenir.
GÉODÉSIQUE : «En géométrie, une géodésique désigne le chemin le plus court, ou l’un des plus courts chemins s’il en existe plusieurs, entre deux points d’un espace pourvu d’une métrique»
Géographie : étude de la morphologie d’un terrain donné.
Géométrique : qui s’appui sur des relations entre les points, les droites, les plans.
Géophysique : La géophysique est constituée du contexte géographique, naturel, et des aménagements réalisés par l’homme (exemple : les réseaux fonctionnels) (Faburel 2010).
GÉOPHYSIQUE : tout apport construit par l’homme sur un territoire géographique, sur une géographie qui relève de la nature
GEOPOETIQUE : «La géopoétique est une théorie-pratique transdisciplinaire applicable à tous les domaines de la vie et de la recherche, qui a pour but de rétablir et d’enrichir le rapport Homme-Terre»
GEOTHERMIE : «Du grec géo (la terre) et thermie (la chaleur) est la science qui étudie des phénomènes thermiques internes au globe terrestre et la technique qui vise à l’exploiter».
GERIATRIE : «La gériatrie est la médecine des personnes âgées».
GERONTOLOGIE : «La gérontologie désigne l’étude du vieillissement dans toutes ses dimensions, notamment sociale»
Ghalle : néologisme de gare et halle. Centre institutionnels et de communication.
Glacis : dispositif de défense militaire qui consistait en un arasement des reliefs et un comblement des creux sur les zones par lesquels l’ennemi pouvait attaquer les forts, impression que l’on ressent parfois lorsqu’on se trouve au milieu des zones de parkings aériens de la ville nouvelle.
Glissement : déplacement d’un élément par rapport à un autre
Glissement : mouvement d’un élément par rapport à un autre.
GOUVERNANCE : «Désigne un mouvement de «décentrement» de la réflexion, de la prise de décision, et de l’évaluation, avec une multiplication de lieux et acteurs impliqués.»
Gouvernance : action de diriger, désigne l’ensemble des mesures, des règles, d’ informations, de surveillance qui permettent d’assurer le bon
Gouvernance : juridiction sous l’autorité d’un gouverneur !!!
Gouvernance : manière de gouverner, exercice du pouvoir pour gérer des affaires nationales méthode de gestion.
Gouvernance : n. f. Manière de gérer, d’administrer.
Gradation : Éléments passant d’un état à un autre par étapes successives.
Gradation : un espace de passage entre des espaces, un lieu qui appartient ni à l’un à ni l’autre.
gradins : s’asseoir, s’arrêter, voir, assister, participer, applaudir, plateau, escamotable, palier, cultivée, plantée.
Graduation : Action de graduer. Échelle de graduer.
Graduation : ensemble de division graduées.
Grandir : évoluer à la fois en taille et en maturité.
GRAVITATION : «La gravitation est le phénomène d’interaction physique qui cause l’attraction réciproque des corps massifs entre eux, sous l’effet de leur masse»
Greffe : (de greffier) Appellation courante de secrétariat-greffe. Ensemble des services administratifs d’une juridiction administrative ou judiciaire.
Greffe : Opération visant une amélioration par l’ajout d’un élément.
Greffe : transfert, transplantation d’un élément d’un corps a un autre visant a lui faire acquérir certaines spécificités.
Greffer : Action d’associer un corps greffeur à un corps receveur
Greffer : v. Insérer quelques chose sur où a quelque chose, l’y ajouter, l’y introduire.
Grille : Système structurel qui reprend le plan libre de Le Corbusier, la structure est traitée comme une simple idée.
Grotesque : Adjectif qualifiant une chose de ridicule
GROUPER : Rassembler, réunir, mettre des choses ensembles.

Habitat : Lieu de Vie et du quotidien
Habitat intermédiaire : Volonté de donner un habitat personnalisé à tous et d’une meilleure gestion de la consommation de foncier
Habitat naturel : Un habitat est une surface naturelle ou agricole, voire anthropique homogène par : ses conditions écologiques, c’est-à-dire les conditions climatiques et les propriétés physiques et chimiques du sol… afférentes à son compartiment stationnel : le biotope ; sa végétation, hébergeant une certaine faune, avec ses espèces ayant tout ou partie de leurs diverses activités vitales sur cet espace, flore et faune constituant une communauté d’organismes vivants : la biocénose. Un habitat ne se réduit pas à la seule végétation ; mais celle-ci, par son caractère intégrateur synthétisant les conditions du milieu et de fonctionnement du système, est considérée comme un bon indicateur et permet donc de déterminer l’habitat (Rameau 2001).
Habiter : Appropriation d’une ville, d’un lieu, permettant la création des mondes.
Habiter : faire sa demeure en un lieu, demeurer, vivre
Habiter : fréquentation régulière d’un lieu
Habiter : Habiter l’architecture, permet la création des mondes. Se complexifie selon la culture, le pays, les gens, les matériaux employés. Ce terme existe depuis la création du monde, l’homme a toujours chercher un logis, un endroit où s’abriter pour se protéger d’ou la création de l’habitat.
Habiter : occuper habituellement un lieu.
Habiter : Participer a la vie d’un espace, un paysage.
Habiter : s’approprier une ville, un lieux, un espace, un objet. .
Habiter : v. Loger quelque part, résider, demander.
Habiter : vivre dans un endroit, dormir, manger, se laver sous le même toit, seul ou en famille.
HABITER : vivre et penser en des lieux et en des espaces (Martin Heidegger). Avoir sa demeure, sa résidence en un lieu. Vivre en un lieu.
habitude : «Ce que traduit le phénomène des habitudes, c’est l’absence a priori de conditions nécessaires d’existence. Si nous pouvons prendre des habitudes, c’est que nous sommes éduquables et si nous sommes éducables c’est que nous ne sommes pas nécessairement voués à tel ou tel mode de vie. Le propre de l’habitude, c’est seulement de porter insensible ment dans l’oubli cette vérité.»
habitude : «Une maison où je vais seul en l’appelant Un nom que le silence et les murs me renvoient Une étrange maison qui se tient dans ma voix Et qu’habite le vent Je l’invente, mes mains dessinent un nuage Un bateau de grand ciel au-dessus des forêts Une brume qui se dissipe et disparaît Comme au jeu des images»Pierre Seghers
Habitude : Comportement répétitif devenant lassant au bout d’un moment
Halle : lieu ouvert ou fermé où l’on vend des denrées alimentaires.
Halle : Vaste salle où se tient un marché. Les halles : marché central des denrées alimentaires d’une ville.
HAMILTON-JACOBI-BELLMAN : Équation la solution d’un problème global peut-être obtenue en décomposant le problème en sous problèmes plus simples à résoudre.
harmonie : indéfinissable
Hasard : Action qui amène à un résultat qui ne dépend d’aucune logique
hasard : disposition aléatoire qui est dû à un condensé de données et de choix qui régissent un résultat qui paraît aléatoire.
Hasard : Événement non prévisible et non explicable.
Hasard : Le chaos fait loi, on attribue au hasard la rencontre et la disposition des éléments les uns par rapport aux autres. On ne peut pas rationaliser l’ensemble créé par hasard. Il offre un nombre de combinaisons infini.
Hasard : Le chaos fait loi, on attribue au hasard la rencontre et la disposition des éléments les uns par rapport aux autres. On ne peut pas rationaliser l’ensemble créé par hasard. Il offre un nombre de combinaisons infini.
HÉDONISME : doctrine philosophique selon laquelle la recherche du plaisir et l’évitement du déplaisir constituent l’objectif de l’existence humaine
Hédonisme : du grec «hedone» : plaisir ; doctrine selon laquelle la recherche du plaisir et l’évitement du déplaisir constituent l’objectif de l’existence humaine.
Hétérotopie : Contraire d’Utopie, espace réel qui est influencé par la société
Hiérarchie : vient du grec, hieros=sacrée et archos=commencement. C’est au départ un critère qui permet d’établir un ordre de supériorité ou de priorité.
Hiérarchisation : fait d’organiser de manière hiérarchique en intégrant un rapport de supériorité.
Hiérarchisation : méthode de classement des espaces selon leur fonction ou leurs usagers .
Hiérarchisation : n. f. Action de hiérarchiser, ordonner quelque chose.
Hiérarchisation : soumettre à un ordre social un individu qui se trouve dans une série ascendante de pouvoirs ou de situations.
Hiérarchiser : lasser selon une échelle descendante (ascendante)
Hiérarchiser : organiser régler, organiser selon un ordre hiérarchique? Hiérarchiser une société
Hiérarchiser : v. tr. Classer des choses abstraites, des notions en fonction de l’importance ou de la valeur que l’on leur attribue.
Histoire : connaissance du passé de l’humanité, discipline qui étudie ce passé.
Histoire : contes, mythes, récits qui se sont vraiment déroulés
Histoire : Étude des moments de nos origines à nos jours
Histoire : unité organique menant inévitablement au progrès de l’humanité
Histoire de l’architecture : assimilable a l’histoire du travail, de la construction. Histoire des différentes constructions établies par l’homme depuis le début de la création architectural
Homeless : celui qui s’approprie plus qu’un espace défini, il n’y a pas de limite d’habitat. C’est en quelque sorte le premier habitant d’une ville, car la parcours.
Homme : Être vivant appartenant au genre humain. L’homme, pour vivre et se protéger, a pour habitude de construire des habitations, des bâtiments. Un bâtiment doit être en priorité pensé, élaboré POUR l’homme, pour l’utilisation qu’il va en faire.
Homo faber : En philosophie, la notion d’Homo Faber fait référence à l’homme en tant qu’être susceptible de fabriquer des outils.
HOMOCHROME / HOMOCHROMIE : stratégie évolutive pour échapper à un prédateur. Ce type de mimétisme consiste à ressembler, au niveau de la couleur, à l’environnement proche. On parle aussi de coloration cryptique de camouflage.
Homogénéité/Homogénéiser : (latin scolastique homogeneitas, -atis) Propriété d’une substance homogène. Qualité de ce qui est homogène ; cohérence, unité : L’homogénéité d’une équipe. Propriété d’une fonction homogène. / : Rendre homogène un ensemble, un tout, les éléments d’un ensemble, en rendre les parties cohérentes dans une structure régulière. Procéder à l’homogénéisation d’un liquide. (homogène : : (latin scolastique homogenaeus, du grec homogenês) Dont la composition et la structure sont les mêmes en tout point : Un alliage homogène. Dont les éléments présentent une grande harmonie entre eux : Une équipe homogène. Chimie, qui est formé d’une seule phase.
Horizon : Ligne imaginaire circulaire dont l’observateur est le centre et où le ciel et la terre (ou la mer) semblent se confondre.
HORIZON : ligne imaginaire ou le ciel et la terre semblent se toucher. Sens figuré, paysage embrassé par le regard.
Horizon : Limite circulaire de la vue pour un observateur qui en est le centre. La ligne d’horizon La ligne qui semble séparer le ciel de la terre. A l’horizon, au loin dans le lointain.
Horizontal : travail sur les horizontales plutôt que les verticales, les longueurs plutôt que les hauteurs .
Horizontalité : développement dans l’espace plus important sur l’axe y que les autres axes.
Horizontalité : primauté de la longueur sur la hauteur .
Horizontalité : rapport de la longueur à la hauteur.
Hortillonnage : Terrain tourbeux conquis sur les marécages de la Somme, assaini et propice à la culture maraîchère.
Housing : logement, habitation
Hybride : combinaison d’éléments de nature différente; élément schizophrénique.
Hybride : composite, composé à partir de différents éléments, références. Concerne essentiellement la forme.
Hybride : L’hybridation de deux entités est une troisième entité qui possède les qualités de ces deux dernières, plus les qualités induites par leur accouplement.
Hybride : mélange de plusieurs technologies pour faire un tout.
Hybride : présente un mélange des caractéristiques génétiques des deux parents. La nature hybride du projet contemporain se réfère à l’actualité simultanée de réalités et de catégories, une sorte de structures et d’identités communes. Une moto caractérisant l’hybridation par sa forme Impureté Facteur de l’ordre. Un diamant est l’inverse de l’impureté.
Hybride : Programmation du bâtiment hybride entre privé, semi public et public. Bâtiment résultant de l’assemblage d’éléments (de matériaux) divers. .
Hybride : Provenant d’un croisement, les ateliers sont des lieux communs et privés. composé d’éléments divers hétéroclite, composite, bâtard…
Hybride : résultat de l’accouplement de deux entités distinctes.
Hybrider : Pratiquer le croisement de deux variétés ou de deux espèces différentes.
Hyper activitée : forte concentration d’activité, flux, mouvement a un endroit donnée, a un moment donné .
Hypertexte : système contenant des nœuds liés entre eux par des hyperliens permettant de passer automatiquement d’un nœud à un autre. Un document hypertexte est donc un document qui contient des hyperliens et des nœuds.

Iceberg : Bloc de glace se trouvant dans les mers glacées, dont émerge seulement 1/3 du bloc hors de l’eau.
Iceberg : lorsqu’un bâtiment cache une grande partie de ce qu’il est. Seul un tiers du projet n’est perceptible lorsqu’on l’approche .
Idéal : système de pensée, de construction mentale nécessitant une constante et consciente critique
Idéal classique : «intemporel, signifiant et vrai» (dans un contexte critique)
Idéal classique : moteur du chauvinisme français
Idéaliser : Penser les éléments de la meilleure façon possible, même si elle est souvent utopique.
Identification : action par lequel le sujet constitue son identité.
Identique : désigne des éléments ou des individus dont les caractéristiques sont les même.
Identité : (bas latin identitas, -atis, du latin classique idem, le même) Rapport que présentent entre eux deux ou plusieurs êtres ou choses qui ont une similitude parfaite : Identité de goûts entre personnes. Caractère de deux êtres ou choses qui ne sont que deux aspects divers d’une réalité unique, qui ne constituent qu’un seul et même être : Reconnaître l’identité de deux astres. Caractère permanent et fondamental de quelqu’un, d’un groupe, qui fait son individualité, sa singularité : Personne qui cherche son identité. Identité nationale. Ensemble des données de fait et de droit qui permettent d’individualiser quelqu’un (date et lieu de naissance, nom, prénom, filiation, etc. ) : Rechercher l’identité d’un noyé. Logique et Philosophie, caractéristique de deux ou de plusieurs objets de pensée, qui, tout en étant distincts par le mode de désignation, par une détermination spatio-temporelle quelconque, présentent exactement les mêmes propriétés.
IDENTITE : C’est ce qui caractérise quelque chose.
Identité : Caractère de ce qui ne fait qu’un ou ne constitue qu’une seule et même réalité. Sous des manifestations, des formes ou des appellations diverses. Identité de nature. Caractère de ce qui, dans un être identique, permanent, et fonde son individualité. L’identité culturelle d’un peuple, l’ensemble des traits qui le définissent, tel que sa langue, ses mœurs, ses croyances.
Identité : caractère permanent et fondamental de quelqu’un, d’un groupe, qui fait son individualité, sa singularité.
Identité : Caractéristique de deux ou de plusieurs objets de pensée, qui, tout en étant distincts par le mode de désignation, par une détermination spatio-temporelle quelconque, présentent exactement les mêmes propriétés.
IDENTITE : ce qui fait qu’une chose est de même nature qu’une autre.
Identité : Notion qui s’oppose à la norme, à la rationalisation. Les irrégularités, les variétés, les cas particulier, les typologies différentes que l’on peut trouver chez l’être humain, la faune, la flore, l’architecture…sont tous sujet à leur propre identité.
Identité : revendication de soi.
Idéologie : ensemble d’idées constituant un système philosophique et conditionnant le comportement de ses adeptes.
Idéologique : aller a l’essence même de la notion, concept qui permet de définir l’orientation du projet visible de l’extérieur. .
Idéologique : théorie vague portant sur des idées abstraites sans rapport avec les faits réels, utopie, rêve.
IDIOSYNCRASIE : (grec IDIOS propre SUN avec et KRASIS tempérament) Réaction individuelle, propre à chaque homme.
Idiosyncrasie : c’est le comportement particulier d’un individu face aux influences de divers agents extérieurs. Comportement troublant, voire non souhaités. En philosophie, l’idiosyncrasie est un ensemble de particularités et de traits de caractères propres à chaque individu, qui représente ce qu’il est en tant qu’être conscient.
Idiosyncrasie : caractérise ce qui est propre à un style donné.
Idiosyncrasie : disposition qui fait que chaque individu réagit d’une façon qui lui est propre aux influences des divers agents extérieurs.
Idiosyncrasie : du grec «idios» : qui a un tempérament particulier, «syn» : avec et «kratos» : force, vigueur. Manière d’être particulière à chaque individu qui l’amène à avoir des réactions, des comportements qui lui sont propres.
Idiosyncrasie : Tempérament personnel, ensemble des réactions propres à chaque individu .
Illusion : (latin illusio, -onis) Interprétation erronée d’une donnée sensorielle : Illusion auditive. Illusion d’optique. Effet obtenu par le moyen de l’art, de l’artifice, du truquage et qui crée le sentiment du réel ou du vrai : L’illusion de la vie donnée par un automate. Appréciation conforme à ce que quelqu’un souhaite croire, mais fausse par rapport à la réalité : Perdre ses dernières illusions. Insinuer : (latin insinuare, introduire en pliant, de sinus, pli) Introduire doucement, progressivement : Insinuer son ongle dans une fente. Faire entendre quelque chose adroitement, par allusions, sans le dire expressément (surtout en mauvaise part) : Il insinue que la mésentente règne au sein du ménage. Institution/
Illusion : ce n’est qu’apparence, elle naît d’une erreur sensorielle donnant réalité à des éléments purement fictifs.
ILLUSTRATION : schéma, image figurant dans le texte d’un livre ou d’une publication. Ensemble servant à faire comprendre.
Illustrer : Rendre plus clair.
Ilot : bloc de maison délimité par des rues.
Ilot : Etymologiquement : petite ile, est portion du territoire urbain «isolé» des voisines par des rues. Il est un ensemble de parcelles rendues solidaires qui ne prend sens dans une relation dynamique avec le maillage des voies.
Ilot : petite île, groupe de maison dans une ville : îlot insalubre. Bloc formé par la super-structure d’un porte avion.
Image : Caractéristique de deux ou de plusieurs objets de pensée, qui, tout en étant distincts par le mode de désignation, par une détermination spatio-temporelle quelconque, présentent exactement les mêmes propriétés.
Image : représentation d’un être, individu, objet par un médium optiques, photos modélisation 3d dessin…
IMAGE : représentation d’une personne ou d’une chose par la peinture, la sculpture, le dessin, la photo, … . Représentation mentale d’un être ou d’une chose.
Image : Représentation mentale de choses d’êtres ou de notions recueillis par les sens ou par la mémoire, élaborés par l’imagination ou par l’esprit. Représentation mentale d’une perception visuelle. Se faire une fausse image d’un pays, une image idéalisée de temps passé. Représentation concrète, manifestation sensible d’une entité abstraite ou générale, symbole, figure. L’écoulement de l’eau est l’image du temps qui passe.
Image : symbole, représentation ou reproduction matérielle d’une réalité.
Imagée : ornée d’image, représenter par l’image
Imaginaire : Qui prend sa source dans une certaine réalité, mais s’en détache fortement.
Imaginaire : Substitut à la réalité trouvant son origine dans la mémoire visuelle et donc dans l’assemblage et l’accumulation d’images.
Imaginaire : terme qui désigne un élément constitué par une image qui se substitue à la réalité.
Imagination : laisse libre cours à sa pensé personnelle, à ses envies, ses besoins profonds.
Imaginer : émettre des suppositions par la pensée, acte de se projeter dans l’avenir.
Imbrication : méthode par laquelle des volume géométrique ou autre se mêle tous en gardant leurs formes
Imitation : Répétition, agir de la même manière, «faire comme».
IMMANENT : Qui est intérieur à un être, à un objet, qui résulte de sa nature.
Impact : Point de Programmation qui se trouve à l’intersection des axes de la trame .
IMPACTE : influence exercée par quelque chose.
IMPARFAIT : qui n’a pas atteint les objectifs définis, présence de lacunes.
Impermanent : qui n’est pas permanent.
Imperméabilisation : action de rendre imperméable ( qui ne se laisse pas traverser par un liquide ).
Implantation : action d’implanter ou de s’implanter. Implanter : planter, insérer un élément dans un autre.
Implantation : action de placer un objet, un bâtiment, dans un lieu. Un projet architectural doit avoir une implantation cohérente avec le lieu.
Implanter : s’installer en tenant compte du lieu.
Imprégner : devenir familier par une compréhension, et intime de ( quelque chose ).
Impureté : Inverse de la pureté du facteur de l’ordre.
Inachevé : Pas terminé, qui peut évoluer, muter. Squelette apparent permettant d’imaginer une évolution ou mutation du bâtiment de part cette sensation de «pas finit». Pas terminé, qui peut évoluer, muter.
inciter : Convaincre et donner envie à quelqu’un de faire quelque chose.
inclusion / inclure : se dit d’un élément a part qui se rattache a un tout, a un autre élément.
INCREMENTIELLE : Pour désigner tout ce qui existe sur un lieu et que l’on doit intégrer dans notre réflexion pour être à l’écoute.
incuber : Plonger dans un milieu et laisser interagir avec celui-ci.
Incurie : abandon, laisser-aller, négligence.
Indépendance : élément qui ne dépend pas directement d’un autre .
Indiscipliné : Les façades sont livrés a un jeu de vitrage. Le bâtiment est livré a un jeu de déplacement des ses étages.
Indiscipliné : Non-codifié, le bâtiment est livré au hasard à un jeux de déplacement de ses étages.
Individualisme : désigne le caractère d’un individu à vivre, à s’organiser seul dans une communauté.
Individualisme : Liberté individuelle . Choix d’être seul face aux autres
Individualité : seul face au travail, pensées propres
Individuel : ne se partageant pas avec d’autre, espace personnelle.
individuel : Ne se partageant pas avec l’autre, enveloppé un par un
Individuel : Qui appartient à un individu, qui lui est propre.
Individuel : qui concerne l’individu, qui est le fait d’une personne, qui est conçu pour une seule personne.
INDUIRE : Amener à une réflexion, une vision particulière, la suggérer de manière subtile. .
industriel : élément produit suite à une chaîne d’opérations rationnelles .
INERTIE : «En physique, et dans un référentiel inertiel, l’inertie d’un corps est sa résistance à une variation de vitesse. L’inertie est fonction de la masse du corps»
Infiltration : Passage lent d’un liquide à travers un corps solide poreux (par exemple, le sol).
Informel : La forme apparaît comme le résultat d’un long processus.
INHIBITION : Action d’inhiber. Diminution de l’activité d’un neurone, d’une fibre musculaire ou d’une cellule sécrétrice, sous l’action d’un influx nerveux ou d’une hormone.
injecter : Introduire directement au sein d’une entité, un corps ou un flux, de manière à obtenir un effet efficace plus rapidement.
Innovation : C’est un phénomène motivé par des efforts qui va créer sa propre expression à un projet.
Inondation : débordement des eaux recouvrant une étendue de pays.
Insertion : Ajout d’un plein dans un vide.
Insertion : Ajout du plein dans la ville.
Insertion : placer quelque chose dans un ensemble d’élément.
Insertion urbaine : Fait de concevoir et positionner un bâtiment dans un contexte urbain de manière cohérente et respectueuse du contexte urbain.
installer (s’) : s’approprier un lieu.
Institution : 1) Action d’instituer création, établissement, fondation. Institution d’une fête annuelle, d’une commission d’enquête. Institution d’héritier = désignation, nomination. Institution canonique : collation par l’autorité ecclésiastique des pouvoirs spirituels attachés à une fonction cléricale. Banque, établissement : institution politique, religieuse. Le mariage civil est une institution, les lois sont «des institutions du législateur, les moeurs et les manières des institutions du législateur, les moeurs et les manières des institutions de la nation en général. 2) Action d’instruire et de former par l’éducation et d’instruction par le collège, école, institut, pension.
Institution : norme ou pratique socialement sanctionnée qui a valeur officielle, légale. Organisme visant à les maintenir.
Institutionnel : (latin institutio, -onis) Action d’instituer quelque chose : L’institution des jeux Floraux date du Moyen Âge. Norme ou pratique socialement sanctionnée, qui a valeur officielle, légale ; organisme visant à les maintenir : L’O. N. U. est une institution internationale. Établissement d’enseignement privé : Institution religieuse. Familier et ironique. Habitude, coutume : La mendicité est ici une véritable institution !Familier et ironique. Personnage très important, dont la pensée sert de référence irremplaçable et inattaquable : À l’époque, Sartre était une institution !Établissement ou structure où s’effectue un travail d’analyse institutionnelle. / : Qui concerne les institutions de l’État : Réforme institutionnelle.
Intégration : Élément qui tient compte du site dans lequel il est implanté, sans s’imposer à lui.
Intégration : fait de coordonner l’activité de différents oranges ou entre les membres d’une même société.
Intégration : fait pour quelqu’un un groupe de s’intégrer à quelque chose.
Intention : Tendre vers un but.
INTER PÉNÉTRATION : Pénétration réciproque.
Interaction : dans le langage courant, est l’action ou l’influence réciproque qui peut s’établir entre deux objets ou plus. Une interaction est toujours suivie d’un ou plusieurs effets.
Interaction : dans le langage courant, est l’action ou l’influence réciproque qui peut s’établir entre deux objets ou plus. Une interaction est toujours suivit d’un ou plusieurs effets.
Interaction : Lorsque deux éléments ou plus effectuent une action commune à un même instant T.
Interaction : Réaction réciproque.
Interaction : Relation avec les éléments présents. Intervention dans l’espace public.
Interaction : Relation entre les pixels à travers un espace atypique par le biais de passerelles. Relation entre les espaces par un jeux de coursive et de passerelles.
Interaction : une interaction est un point à la frontière entre deux éléments, par lequel ont lieu des échanges et des interactions.
INTERFACE : «Frontière permettant l’échange d’informations entre 2 systèmes»
Interface : couche limite entre deux éléments par laquelle ont lieu des échanges et des interactions. En géographie une interface est une zone limitrophe entre deux régions qui serre à des échanges commerciaux et culturels.
Interface : couche limite entre deux éléments par laquelle ont lieu des échanges et des interactions. En géographie une interface est une zone limitrophe entre deux régions qui serre à des échanges commerciaux et culturels.
Interface : frontière permettant l’échange d’informations entre deux systèmes.
Interface : la séparation public-privé, les limites topologiques, géographiques ou administratives sont des interfaces.
INTERFACE : limite commune à deux ensembles ou appareils permettent des échanges entre ceux-ci.
Interface : Limite entre deux états (de la matière). Jonction entre deux éléments d’un système.
Interface : point de connexion entre deux entités.
INTERFACE : une interface est la couche limite entre deux éléments par laquelle ont lieu des échanges et des interactions. En géographie, une interface est un espace permettant la mise en relation de deux espaces/territoires. Elle est une zone de contact entre deux pays ou régions, et correspond à une limite ou une frontière séparant deux espaces ou territoire. Cette zone de contact est un lieu d’échanges (principalement économique, mais aussi culturel). On distingue ainsi les interfaces : continentales, entre deux pays ou régions (terre-terre) ; maritimes, entre une façade maritime et le reste du monde (terre-mer) ; ouvertes (libre circulation), fermées (absence de flux) ou partiellement ouvertes (flux contrôlés). Les lieux de l’interface peuvent être, à l’échelle locale, les ports ou gateways ; les aéroports internationaux ou hubs ; les téléports ou serveurs…, à l’échelle nationale, les métropoles ou ville-monde ou un littoral
Interface : zone de contacts et d’échanges les passerelles agissent donc comme interface entre plusieurs espaces, mais aussi comme lieu d’échange.
Interface : Zone, réelle ou non, permettant de créer une interaction entre deux lieux, dans le but de multiplier leurs propriétés.
Intérieur : la partie de dedans, l’intérieur d’un corps, la partie centrale d’un pays.
Intérieur : la partie de dedans, l’intérieur d’un corps, la partie centrale d’un pays. Architecte d’intérieur !
intermède : Courte pause au centre d’une animation permanente. L’intermède permet divertissement ou transition.
Intermède : laps de temps entre deux événements, ce qui interrompt une action dans le temps
INTERMEDE : temps pendant lequel une action s’interrompt. Période de temps entre deux événements.
Intermédiaire : élément tierce créant une relation, une étape entre deux autres éléments .
Intermédiaire : Entre-deux.
Intermédiaire : espace de confluences inévitable de l’intérieur et de l’extérieur, bénéficie d’une large gamme de traitements possibles. Porte, accueil, sas, .
Intermédiaire : qui se situe entre deux espaces ou étages.
Intermédiaire : qui se situe entre deux espaces ou étages.
Internet : réseau informatique mondial d’information.
Intéropérabilité : Est la capacité que possède un produit ou un système, dont les interfaces sont intégralement connues, à fonctionner avec d’autres produits on systèmes existants ou futurs et ce sans restriction d’accès en de mise en oeuvre.
Interruption : Répit, coupure ou pause engendrant une discontinuité.
Intersection : espace créer par la rencontre de deux espaces distincts.
Intertextualité : Liaisons de textes les uns avec les autres
INTIME : superlatif de intérieur. Qui existe au plus profond de nous. Qui appartient à ce qui est tout à fait privé.
Intimité : caractère de ce qui est intime, profond et intérieur.
Intimité : caractère de ce qui est profond, intérieur. Vie privée.
Intimité : Confidence, secret, privé -> jardin secret
Intimité : notion humaine sur la personne humaine, relation privilégié entre des êtres, on dit généralement d’un espace qu’il est intime lorsqu’il est fermé et dégage une sensation rassurante.
Intimité : retrait, distance établie avec son environnement privilégiant un contact ou un repli sur soi.
Intimité : Se définit selon plusieurs degrés, crée par l’espace qui lui donne son caractère elle se ressent a différentes échelle selon le nombre de personnes qui la ressentent ensemble.
Inviter : proposer sans contraindre.
IRIS : Les îlots regroupés pour l’information statistique constituent les briques de base en matière de diffusion de données infra-communales. Ils doivent respecter des critères géographiques et démographiques et avoir des contours identifiables sans ambiguïté et stables dans le temps (Insee). Les communes d’au moins 10 000 habitants et une forte proportion des communes de 5 000 à 10 000 habitants sont découpées en Iris. Ce découpage constitue une partition de leur territoire. La France compte environ 16 100 Iris dont 650 dans les DOM. Par extension, afin de couvrir l’ensemble du territoire, on assimile à un Iris chacune des communes non découpées en Iris On distingue trois types d’Iris : les Iris d’habitat : leur population se situe en général entre 1 800 et 5 000 habitants. Ils sont homogènes quant au type d’habitat et leurs limites s’appuient sur les grandes coupures du tissu urbain (voies principales, voies ferrées, cours d’eau… ) ; les Iris d’activité : ils regroupent plus de 1 000 salariés et comptent au moins deux fois plus d’emplois salariés que de population résidente ; les Iris divers : il s’agit de grandes zones spécifiques peu habitées et ayant une superficie importante (parcs de loisirs, zones portuaires, forêts… ).
Irradier : émettre un rayonnement à partir d’un point central La maison de l’architecture viendra irradier totalement la ville, pour attirer un maximum de personne.
Irrégularité : rythme saccadé. Ensemble d’éléments disposés à première vue de manière aléatoire.
Isoler : Séparer un lieu de ce qui l’entoure
ITÉRATIF : (recommencer) Fait répété plusieurs fois. Le danger de l’étalement urbain a été dénoncé d’une façon itérative mais nous voyons toujours plus de construction se faire en périphérie des villes.
ITERATIF : désigne ce qui est produit à plusieurs. Reprises, répété, fait plusieurs fois.
Itératif : fait de répéter plusieurs fois (fréquentatif ). Exemple : une sommation itérative.

JACHÈRE : «la jachère est l’ensemble des pratiques culturales de préparation des terres arables pour l’ensemencement».
JACHÈRE : ensemble de pratiques culturales de préparation des terres arables pour l’ensemencement. La jachère n’est pas un repas de la terre, mais un renouvellement de la fertilité.
Jardin : «Là encore la relation nature et technologie peut s’avérer paradoxale. Plusieurs phases de traitement sont nécessaires pour purifier une eau usée. Une des étapes, le traitement biologique, consiste à mettre en contact l’eau et une culture de bactéries qui, privées d’oxygène, absorbent et dégradent la matière organique en suspension dans l’eau.»
Jardin : lieu ordinairement clos ou l’on cultive des fleurs (parterre), des légumes (potagers), des arbres (verger). ou jardin d’enfant ou jardin d’hiver
Jardin familial : Parcelle de terre, cultivée personnellement par celui qui en dispose, pour les besoins de la famille à l’exclusion de toutes commercialisations des produits.
Jardin public : terrain enclos, paysagé et planté destiné à la promenade ou à l’agrément du public.
Jardin thématique : Désigne depuis une vingtaine d’années, un jardin public réservé à la promenade et à l’agrément, dont l’organisation évoque un ou plusieurs phénomènes sensoriel, social, plastique, etc. …
Jardins mutualisés : jardins communs à tous les habitants d’un quartier, jardins partagés, partage des acquis, de l’expérience et des outils.
Jardins mutualisés : terrain généralement clos, commun à plusieurs personnes pour partager les contraintes et les joies d’un jardin.
Jardins partagés : jardins conçus, construits et cultivés collectivement par les habitants d’un quartier ou d’un village.
Jardins publics : Espace vert urbain, enclos à dominante végétale, protégés des circulations générales libre d’accès, conçu comme un équipement public.
Jeu : système lucratif de composition par manipulation des éléments.
Jeune : mammifère appartenant a la race humaine, qui a entamé les 20 premières années de sa vie et ayant un mode de vie très simple : manger, boire, travailler, faire la fête, dormir.
Jeunesse : étape de la vie où le but de l’individu est d’avoir le moins de responsabilité possible ceci entraîne un comportement dynamique, insouciant et une croyance d’invincibilité.
Jeux : jeux de lumière généré par les percements aléatoires de façade. Jeux sur les parements de façades afin de différencier les différentes zones.
Juger : émettre un avis en comparaison avec ce que l’on sait. Ce résume souvent a c’est bien ou c est mal ?
Junkspace : Site, lieu de flux, commercial sans réelle réflexion architecturale, architecture de dalles….
Juxtaposition : relatif au positionnement, fait d’accoler deux éléments, les placer côte à côte.
Juxtaposition/Juxtaposer : Action de juxtaposer des éléments ; état de choses juxtaposées : Meuble qui se monte par simple juxtaposition. Synonyme de parataxe. / : (de juxta et poser) Placer des choses immédiatement l’une à côté de l’autre : Juxtaposer une phrase à une autre.

KIBBOUTZ : fait partie d’un mouvement de retour à la terre. Les principes éthiques se fondent sur des idéaux suivants : coopération, égalité, entraide, peuplement, travail et instauration d’une société libre, démocratique et laïque.
kiosque : Petit édifice ouvert sur l’espace public dont la fonction est d’assurer un service court et rapide ou une vente quotidienne.
Koolhaas Rem : Architecte urbaniste, théoricien de l’architecture et urbaniste hollandais. Professeur en architecture et design urbain aux USA.

L’espace : «l’espace n’est pas le milieu (réel ou logique) dans lequel se disposent les choses, mais le moyen par lequel la position des choses devient possible.» Merleau-Ponti
L’habossiation : Action d’intégrer à des îlots d’habitation des centres communs de travail libre et multi pratique, dans une volonté de rapprocher les gens et de permettre une meilleure communication et entraide dans le travail.
L’insomnie : (du latin somnus = sommeil) se caractérise par de la difficulté à s’endormir ou à dormir suffisamment. Des réveils fréquents durant la nuit ou très tôt le matin sont aussi des signes d’insomnie. Celle ci peut entraver sévèrement les activités en causant, notamment, une moins bonne attention, de l’irritabilité et des problèmes de mémoire
l’ombre : … a son double «L’un des privilèges du soleil est l’ombre. Dans les pays où il fait chaud, l’ombre est l’eau du désert, mais elle y marque le temps avec une précision supérieur. Elle se déplace et déplace avec elle la vie qu’elle abrite. Elle s’étire au pied des murs l’hiver ou le soir au crépuscule. Elle s’émiette derrière les moucharabiehs où les femmes en voile passent dans les couloirs étroits des souks faisant scintiller ce qui reste de lumière au cœur des ksour à midi.» Extrait du livre de Gilles Clément, Les Portes, page 30
LA «TENDANCE» : c’est une alternative critique et opérationnelle, qui apparait pendant «la crise du langage en Architecture en 1968» et qui dit que «l’architecture trouve sa seule justification dans son «être» même ; elle n’est investie d’aucun contenu, n’a aucune valeur rédemptrice, et ne peut rien exprimer par elle-même.»
Là : affirmation d’une présence en un lieu.
La commune : division administrative formée d’un territoire clairement défini qui correspond généralement à une partie d’une ville, à une ville entière, ou à un bourg avec ses villages et hameaux
La dogmatique : est un nom donné à la théologie dogmatique. Un dogme est une affirmation considérée comme fondamentale, incontestable et intangible par une autorité politique, philosophique, ou religieuse qui emploiera dans certains cas, la force pour l’imposer.
La gravité : limite de l’architecture. Défier les lois de la gravité : s’affranchir des limites = appréhension
La lumière des choses : Peter Zumthor parle de l’oeuvre de V. de Maria avec des bandes de pierre plus feuilles d’or en fond. Feuilles qui captent le moindre reflet de lumière. La rareté magnifiée.
LA MORT DE L’ART : Phénomène du à la mercantilisation de l’art, par la société capitaliste.
La plastiformie : fait de transformer une forme non conventionnelle, voire excentrique, en un bâtiment.
La Tour de Babel : Vanité Humaine, volonté de s’élever et d’atteindre Dieu
la vie : Qui s’oppose à la mort.
Labyrinthe : La distinction de l’espace, l’expérience de l’espace, il n’est pas un fond mais une fonction, c’est le concept, c’est lui qui reprend la pyramide.
Laconisme : Manière de s’exprimer en peu de mots, brièveté, concision. Contrainte de bavardage
LADRE : Un pauvre esclave sur les chantiers des abbayes au Moyen Age.
Landmark : point de repère visuelle dans un lieu.
Langage : élément dangereux dans le cadre de l’architecture car pouvant être manipuler, visant a camoufler, faire passer un élément, production architecturale sans fond pour quelque chose d’extraordinaire. -Permet la communication entre les hommes.
langage structurel : Volonté forte de laisser apparents les aspects de la structure et/ou d’avoir une démarche constructive forte, voire centrale.
Langue : Notion universelle à la portée de tous, qui permet la compréhension et l’échange des points de vue.
Las Vegas : ville américaine représentative de la culture de masse et de consommations. Lieu de débauche, de casino, de drogue et d’argent sale. (Paranoïa)
LE CORBUSIER : 1922 Fonde l’architecture sur trois principes de base. La rationalité, l’usage économique des moyens investis et le fonctionnalisme. «Espace, soleil, verdure»
le monde : le monde n’a plus de statut idéal unitaire mais multiple, complexe et fragmenté
le monde : matérialisation de l’inconscient collectif
Le ressenti : action de ressentir, sentir, appréhender, vivre un lieu, un espace, une émotion. «je suis entré dans l’église, je n’y vu personne, que le regard éteint du plâtre des statues …»F. Cabrel
Le Strip : avenue commerciale de Las Vegas où règne une architecture de communication.
Lecture : moyen d’emmagasiner divers information par l’intermédiaire des yeux
Légende : «récit mis par écrit pour être lu publiquement». ou : ?u quelque chose, dont l’existence n’a jamais pu être prouvé. ou : Table de caractère, illustration, explication, définition, orientation.
Légèreté : Clarté visuelle. Opposé à la pesanteur. Fait d’être détaché.
Légèreté : dissociation enveloppe- plateaux, visibilité de la structure.
Légèreté : dissociation enveloppe- plateaux, visibilité de la structure.
Légèreté : l’idée d’une structure éphémère, sans poids comme nos boxes flottants.
Légèreté : Sélection des matériaux.
Les Axes cognitifs : Comportement de l’Homme au Social : Parler, Vivre.
less is more : «less is bore» : moins c’est plus
Leurre : moyen abstrait ou concret utilisé pour tromper.
Leurre : Réalité concrète qui trompe l’usager quant au vrai contenu de l’objet, utilisé pour cacher, tricher. N’est pas perceptible en tant que tel, contrairement au pastiche.
LEVI-STRAUSS : «L’objet c’est la pensée solidifiée».
Liaison : relation établie entre plusieurs personnes. Lien, contact établi entre différents secteurs.
Liant : élément permettant une connexion entre deux éléments séparés, intermédiaires ajoutés sans lequel l’unité n’est pas possible .
Liberté : «Est un mot que le rêve humain alimente, il existe personne qui ne l’explique et personne qui ne le comprenne.» l’ile aux fleurs
Liberté : qui ne soumet pas à une contrainte, laisse la possibilité d’une décision personnelle.
Liberté : sans contraintes.
Lien / dimension sociale : le lien social désigne l’ensemble des relations qui unissent des individus faisant partie d’un même groupe social.
Lien : établi une relation entre deux éléments distincts.
Lien : permet une relation entre deux éléments distincts.
Lien : relation entre deux éléments distincts ce lien peut être une forme, couleur, fonction …commune
LIER : action visant a créer un dialogue, une communication entre 2 entités.
Lier : Créer un élément de liaison entre des zones séparées, en y canalisant les flux.
Lieu : espace dont on peut déterminer les limites d’après ses composants et ses caractéristiques.
Lieu : l’architecture crée des lieux. Un lieu n’est pas un centre mais des limites. Un lieu n’est ni un ensemble de mesures, ni une mémoire, ni une référence. C’est une connexion physique.
Lieu : Le lieu est «la plus petite unité spatiale complexe» car c’est «l’espace de base de la vie sociale» pourtant «elle résulte déjà d’une combinatoire de principes spatiaux élémentaire» où toute «la complexité de la société s’y retrouve». Une place publique demeure un lieu. Pour Lussault (2007) sans être déterminante, la distance influe tout de même au sein des lieux puisque «ce qui fait lieu c’est, justement, l’affirmation de la prégnance de la logique de coprésence». Aussi les lieux se caractérisent-ils «par la prégnance de leurs limites et par les effets de seuil, de passage qui en résultent». Les limites d’un lieu sont perçues et vécues d’une façon physique «sans médiation autre que celle des sens engagés dans la pratique». Un site n’est pas un lieu, terme que Lussault préfère réserver à des espaces situés «hors du champ public», «soustraits à la prise du groupe social» bien que modelé «par les logiques de la société» mais d’une dimension sociale très réduite , tels qu’une maison privée, domestique.
LIEU : partie déterminée de l’espace. Deux corps ne peuvent occuper le même lieu, en même temps.
Lieu : selon saint Augustin : «si on ne m’interroge pas sur la question du temps, je sais ce que c’est, si on me demande de la définir, j’en suis incapable». Il en est de même pour le lieu.
Lieu : situation spatiale de quelque chose, quelqu’un, permettant de le localiser. Endroit.
Lieu de repos : lieu prédestiné a la détente, à l’évacuation du stress, à la prise de temps pour soi.
Ligament : incontournable dans une dynamique de mouvement perpétuel, il permet au muscle de se mouvoir.
ligne de cœur : Point ou axe central d’affluence, qui sert de repère, de lieu fédérateur, d’espace de distribution et qui impulse un nouveau souffle, redynamise et renforce. .
Ligne de crête : La ligne de crête est déterminée par la découpe du ciel avec une montagne, une colline, un bois. Peu se confondre avec la ligne d’horizon dans le cas où elle est occupée par un ensemble de construction qui se détache du ciel, l s’agit d’une silhouette urbaine.
ligne de vie : Axe selon lequel un élément est rattaché à un autre. Elle permet des échanges vitaux et favorise des flux nécessaires. Sans elle, la vie n’est plus.
Limbes : Au delà, région mal définie état vague incertain «que de choses flottent encore dans les limbes de la pensée humaine»
Limite : borne, ligne séparant deux territoires, deux pays, deux terrains contigus.
Limite : frontière entre deux territoires contigus. Début ou terme d’une période. Point où s’arrête l’action de quelqu’un ou de quelque chose.
Limite : ligne définie perceptible ou non, matérialisant la fin d’un espace, le début d’un autre. Elle peut-être respectée, déplacée, repoussé ou dépassée ce qui lui enlève tout caractère d’inviolabilité.
Limite : Ligne qui sépare deux terrains ou territoires contigus. Partie extrême où se termine une surface, une étendue.
Limite : Matérialisé ou non, son principe est de séparé deux espaces sensiblement différents.
Limite : Obstacle ou contrainte réduisant la liberté d’action. Ou bien différenciation d’espace composant un ensemble (ville) grâce à des paramètres variés (physique, visuel… ).
Limite : Orion (ORES) délimitation définition. La limite devient un projet.
Limites : Définissent les barrières d’un espace. Par exemple, dans un projet, les limites sont celles de la parcelle ; dans une villa le jardin. Pour la limite entre deux ou plusieurs pays, on parle de frontières.
Limites : Délimitation virtuelle ou matérielle d’un espace .
Limites : séparation virtuelle ou matérielle signifiant deux ou plusieurs lieux.
Limites/interfaces : Avec l’importance de la mobilité et des proximités topologiques, l’urbain, en conséquence, se caractérise autant la continuité dense que par la densité de plus en plus faible et la discontinuité aux limites indéterminées tant l’urbain apparaît illimité. Pourtant, selon le degré de compréhension et d’analyse de l’urbain et les critères retenus, des limites y sont discernées : lisières, franges, bords et interférences (Desvigne in équipe Nouvel du Grand Paris) ou bord et indéterminé (Bonnet & Younès 2005). Mais ces nombreuses «limites» constituent le propre de l’urbain. Devant être plutôt considérées comme des limites internes ou interstices, elles représentent, toutefois, de futures lieux et aires de projets urbains où la «ville» peut se faire ou se refaire aux différentes échelles que nous impose maintenant ce nouveau mode contemporain d’organisation spatiale exprimant la mondialisation.
Limpide : la transparence est parfois synonyme de surveillance, d’observation mais elle est aussi souvent lumineuse : on ne se baigne pas si facilement en eaux troubles que dans des eaux limpides.
Linéarité : Ensemble de composants suivant la direction d’une droite
Locabitation : fait d’implanter des habitations sur des sites de travail ayant pour but de résoudre les problèmes de déplacements, … (déjà mis en pratique par Michelin, …).
Locomotion : action de passer d’un lieu à un autre, pour un individu voyage effectué dans le cadre de son travail, de loisirs, …, acheminement, …
Logement : Action de loger ou se loger. Habitat
Logement : un lieu d’habitation. , un local, un appartement ou une maison .
Logement par défaut : faire ou construire du logement sans se soucier du confort de vie de ses habitants, de ses usagers. Fabrication à la chaîne !
Logement/habitat : Le logement reste un local séparé et indépendant utilisé pour l’habitation, l’habitat regroupe l’ensemble des conditions matérielles, sociales et culturelles qui expriment un mode de vie. Le logement est, par conséquent, un bien matériel quand l’habitat recouvre une vaste gamme de phénomènes et constitue «un élément majeur de la culture matérielle, l’expression de la mentalité des habitants et de leur rapport à leur milieu» (Serfaty-Garzon 2002).
Loggia : renfoncement en retrait de façade, formant un espace spacieux d’arcade à colonnes souvent couvert.
logique : Synonyme d’évident. Un raisonnement est donc logique lorsque tous les éléments sont évidents et s’expliquent de manière rationnelle. Expression des mots vers le monde extérieur en une forme de discours. / Aldo Rossi
Logique diffuse : Façons de faire de la science sans mathématiques. Nouvelle forme d’intelligence artificielle qui fait en sorte que les organisateurs pensent comme la majorité pense. Il s’agit de pensée commune.
LOI SRU : Il s’agit de la loi n°2000-1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains.
Loisir : temps libre
LOOS : «Je voudrais que ma tombe soit un cube de granite. Mais pas trop petit, sinon il ressemblerait alors à un encrier».
LOPIN : (de terre) Petit morceau de terrain.
Lotissement : Le lotissement est une procédure d’aménagement et de division foncière (réorganisation des parcelles) sans intervention directe de la collectivité publique ; c’est donc une procédure de nature privée qui ne s’accompagne pas d’une politique foncière, ni d’une démarche d’urbanisme, ni d’une programmation des équipements publics…
Lotissement : morcellement volontaire d’une propriété foncière par lots, en vue de construire des habitations.
Lumière : clarté émise par le soleil, éclairage artificiel.
Lumière : Éclairage naturel ou artificiel permettant de percevoir ce qui nous entours.
Lumière : Éclairage naturel ou artificiel permettant la perception d’un espace, cet espace peut-être perçu différemment (couleurs, ombres… ) en fonction des caractéristiques de cette lumière (monochrome, lumière blanche… )
Lumière : effet qui permet de mieux percevoir les choses, ou moins. L’apport de lumière est assez présent.
Lumière : Naturelle ou artificielle, elle pénètre le vide de manière directe, réfléchie, diffuse, en mettant en valeur des formes, des couleurs, des textures. C’est elle qui habille l’espace et le rend visuellement perceptible, masquant ou révélant chacune de ses composantes.
Lumière : particules indomptables révélant le monde, nécessaire a la vie.
Lumière : rayonnement qui éclaire.
Lumière : rend visible l’immatériel.
Lumière expansive : «Qui ne peut être contenu, qui se manifeste largement au-dehors, en parlant des sentiments.»

M. N. T. : Un modèle numérique de terrain décrit la forme d’un terrain à différentes échelles et permet sa modélisation 3D. Un M. N. T. fournit pour des points distants avec un certain pas (10, 25 ou 50 m… ) les coordonnées x et y ainsi que z qui est l’altitude.
Macroforme : C’est la forme, la tâche de l’urbain : l’espace de l’urbanisation, que l’on nomme agglomération ou unité urbaine au sens de l’Insee. Bien sûr, selon le degré retenu de discontinuité du bâti et des infrastructures, la macroforme sera variable mais les facteurs explicatifs resteront les mêmes, comme pour l’agglomération de Lyon conditionnée par le relief et les vallées hydrographiques ainsi que par les axes de déplacement que ceux-là induisent.
MAELSTROM : Chenal de la mer de Norvège où se produisent de rapides courant tourbillonnaire, prés des îles Lofoten. «Un maelstrom de notes» J. M. DUTHILLEUL tourbillon de sensations.
MAIETIQUE : Faire naître les idées qui sous-tendent la réflexion pour mettre en place un plan directeur, un projet, une réalisation.
MAIL : Espace urbain assez large à usage de parking, voie piétonne et circulation douce.
Maillage : Action de former un réseau de disposer une grille qui recouvre, enserre etc. ….
Maillage général/détails et plan : Le maillage général est selon Allain (2004) le «support structurel du tissus urbain» qui révèle le réseau viaire donc le ou les plans planifiés (imposés) ou pas (spontanés). Le maillage général reflète l’histoire d’un espace car «bien qu’en évolution permanente, c’est élément le plus stable». En revanche, le maillage de détails s’observe à l’échelle d’un quartier mais «ne peut se comprendre sans référence au maillage général». Le maillage de détails montre le degré de hiérarchisation de ces voies qui déterminent un découpage en unités spatiales fondamentales de tailles variables que sont les mailles et les îlots (Allain 2004).
Maille : A l’extérieur, on a recouvert les boites par des panneaux sandwich en maille pour donner le sentiment de transparence-opacité. Pour le système de structure, on a essayé de construire des mailles pour trouver des points de croisement entre les deux boites qui nous permettent la continuité de structure.
maison : «A Paris, il n’y a pas de maisons. Dans des boites superposées vivent les habitants de la grand’ville : «Notre chambre parisienne, dit Paul Claudel (3), entre ses quatre murs, est une espèce de lieu géométrique, un trou conventionnel que nous meublons d’images de bibelots et d’armoires dans une armoire.»Le numéro de la rue, le chiffre de l’étage fixent la localisation de notre «trou conventionnel», mais notre demeure n’a ni espace autour d’elle ni verticalité en elle . «Sur le sol, les maisons se fixent avec l’asphalte pour ne pas s’enfoncer dans la terre(4). «la maison n’a pas de racine. Chose inimaginable pour un rêveur de maison : les gratte ciel n’ont pas de cave. Du pavé jusqu’au toit, les pièces s’amoncellent et la tente d’un ciel sans horizons enclôt la ville entière. Les édifices n’ont à la ville qu’une hauteur extérieure. Les ascenseurs détruisent les héroïsmes de l’escalier. On n’a plus le mérité d’habiter près du ciel. Et le chez soi n’est plus qu’une simple horizontalité. Il manque aux différentes pièces d’un logis coincé à l’étage un des principes fondamentaux pour distinguer les valeur d’intimité. Au manque des valeurs intimes de verticalité, il faut adjoindre le manque de cosmicité de la maison des grandes villes. Les maisons n’y sont plus dans la nature. Les rapports de la demeure et de l’espace y deviennent factices. Tout y est machine et la vie intime y fuit de toute part. «Les rue sont comme des tuyaux ou sont aspirés les hommes.» (Max Picard, loc. cil, p. 119)»
Maison : abri de ce qu’elle renferme.
Maison : c’est le lieu de la résidence en opposition avec la ville on s’y protège, les espaces publiques sont aux autres, la maison est personnelle et intime.
Maison : Lieu propre d’une résidence (sujet dans la ville). Il s’agit d’un lieu de vie. Le stéréotype de la maison.
Maîtriser : Faire face à toute imprévue. Mieux saisir et entrevoir le potentiel d’un projet ou d’un site.
MALLÉABLE : «Qui peut s’aplatir et s’étendre en lames ou en feuilles».
Malthusianisme : Doctrine élaborée par Malthus et préconisant une restitution de la procréation. Ralentissement volontaire de la production économique.
Manga : «man» veut dire divertissant, exagéré, «ga» lui signifie dessin, peinture. C’est la bd japonaise. (dessinateur : mangaka)
Manger équilibré : s’alimenter de manière à offrir au corps tous les nutriments nécessaires à un fonctionnement sain.
Manichéen : renvoi à la religion antique du manichéisme. Alliant des éléments du christianisme, du bouddhisme et du parsisme, et pour lequel le bien et le mal sont deux principes fondamentaux, égaux et antagonistes. Vision manichéenne du monde.
MANICHÉISME : système de pensée qui, en tout, considère uniquement le bien et le mal.
MAPAD : Maison d’Accueil pour Personnes Agées Dépendantes
Maquette : modèle servant soit à copier un objet existant, soit a projeter autrement que par le dessin un projet futur.
Marécage : étendue de terrain couverte de marais.
MARNE : «La marne que l’on nomme aussi, en fonction de sa qualité, pierre de France ou encore pierre de Maastricht, est une roche sédimentaire contenant du calcaire CaCO3 et de l’argile en quantités à peu près équivalentes»
marquis de Sade : écrivain, et philosophe français longtemps voué à l’anathème en raison de la part accordée dans son œuvre à un érotisme de la violence et de la cruauté (fustigations, tortures, incestes, viols, sodomie, etc) -pervers, don le nom est a l’origine du sadisme.
masquer : empêcher les vues .
Massification : action de massifier phénomène de massification des achats est moins manifeste pour 1 ou 2 personnes revue l’urbanisme, propos Annick Zimmermamm et Thierry Paquot, janvier 2011.
Masterplan : C’est un plan schématique d’ensemble. Un masterplan est normalement requis pour de grands sites et doit aboutir à un cadre permettant tout développement ultérieur à se réaliser. Ce plan schématique doit définir la disposition et l’agencement des édifices, des rues, ainsi que leur accès.
Masterplan : plan de masse qui annonce les constructions et permet de comprendre le projet de manière réaliste.
Matérialisation : Retranscription d’ un objet concret, ici les logements en mur.
Matérialiser : donner de la matière à quelque chose immatérielle Ce sont les idées composantes de l’architecture qui sont matérialisées au sein du bâtiment par les boîtes. Rendre visible, Matérialisation du mur, en mur d’habitation.
Matérialiser : Représenter (une idée, une action abstraite… ) sous une forme matérielle.
Matérialité : Caractère de ce qui est matériel, la spiritualité de l’âme. Matérialité d’un fait, d’un acte (opposé à motifs). Ce qui peut être vérifié caractère matérialiste de quelque chose «la matérialité brutale de notre civilisation s’oppose à l’essor de l’intelligence»
Matérialité : Caractère matériel.
Matérialité : qualité de ce qui est matière.
Matériaux : diverses matières nécessaires à la construction
Matière : Chose matérielle du latin matière substance ayant caractéristique de la matière et connaissable par les sens, qu’elles prennent ou non une forme déterminée. Matière première forme de base non élaborée, résultant d’opération d’extraction.
Maxwell : logiciel de rendu qui nous permet d’être un peu moins déçu du travail que l’on a passé la nuit à faire. What’else!
MEDIUM : (du latin MEDIUS qui est au milieu) Intermédiaire entre les hommes et les esprits/ liant en peinture. En urbanisme un lieu qui sert d’interface pour relier deux ou plusieurs entités, quartiers ou morceaux de ville.
Medium : un espace qui effectue la cohésion entre deux autres qui sont séparés. On peut qualifier nos boxes comme des media pour les espaces individuels.
Méduser : (de Méduse, nom propre) Familier. Frapper quelqu’un de stupeur : Sa réponse m’a médusé. Regard médusé des enfants.
Mélange : caractérise un ensemble d’éléments regroupés.
Mélange : Fait de mettre ensemble des éléments, des objets, ou des personnes de manière désordonnée dans le but de confronter les éléments.
Membrane : Cape mince de tissu organique, élastique et résistante, qui sépare deux activités ou enveloppe quelques organes. Peut être l’enveloppe d’un bâtiment.
Membrane : couche dont la fonction consiste a séparer et a protéger quelque chose de l’extérieur.
Membrane : fine couche servant de joint à deux milieu, à la différence de la peau la membrane sépare deux milieux à l’intérieur d’un milieu, par extrapolation la peau est une membrane entre le milieu «terre» et le milieu «corps».
Membrane : surface fine et continue faisant office d’enveloppe.
Membranes : surface fine et continue protégeant deux milieux, finesse, fragilité, translucide.
mémoire : Fonction qui permet les souvenirs. Elle peut être biologique ou informatique, collective ou personnelle.
mesure : Objet servant à quantifier, comparer et évaluer un espace, une durée ou autre.
Méta réalité : On considère la maison de l’architecture comme s’inscrivant dans le monde physique mais ayant été transformé à partir de l’énergie du monde virtuel. C’est un lieux ou la meilleure source d’information architecturale est sa propre réalité. On y retrouve l’apport du digitale non seulement dans sa constitution mais aussi dans les ouvrages de la bibliothèque et de la photothèque.
Métabolisme : ensemble des transformations moléculaires et énergétiques qui se déroulent de manière ininterrompue dans la cellule ou l’organisme vivant. C’est un processus ordonné qui fait intervenir des processus de dégradation et de synthèse organique.
Métaboliste : tendance architecturale japonaise des années 1960 lancée par Kisho Kurokawa mettant en avant une architecture modulaire et organique.
Métamorphose : (latin metamorphosis, du grec metamorphôsis) Changement d’un être en un autre, transformation totale d’un être au point qu’il n’est plus reconnaissable : La métamorphose d’Odette en cygne dans «le Lac des cygnes». Modification complète du caractère, de l’état de quelqu’un, de l’aspect ou de la forme de quelque chose : Quelle métamorphose ! Il était insupportable, il est devenu agréable. Changement de forme d’un individu, survenant après sa sortie de l’oeuf et constituant l’une des étapes de son développement normal. Transformation profonde que subit un insecte en passant de l’état larvaire à l’état nymphal et de celui-ci à l’état adulte ou imaginal.
METAPOLE/METAPOLIS : Territoires bâtis distendus, discontinus, hétérogènes, polynucléaires, où habite une communauté de vie. François ASCHER.
Méthane : nom du carbure d’hydrogène, gaz inflammable.
Méthanisation : Action de transformer en méthane.
Métropole : Ville pourvue d’un archevêché où réside un métropolitain, Ville principale, capitale régionale.
Métropole : ville principale d’un pays. Métropole est une grande ville; à la tête d’une aire urbaine importante.
Métropole : Ville principale d’une région ou remarquable dans un domaine particulier.
Métropole et métropolisation : En matière de stabilisation du vocabulaire quand il s’agit de parler de la «ville», le terme métropole présente une difficulté par sa dualité d’échelle : locale et mondiale. «Puisque l’individu est confronté pour vivre et travailler à ces deux échelles, il convient de définir la métropole comme un système urbain majeur d’échelle locale car liée au quotidien (tout ce qui peut être fait à peu près tous les jours) qui peut s’inscrire par son excellence à l’échelle mondiale. Une métropole serait alors un «espace urbain qui, tout en permettant la participation des acteurs aux processus d’échelle mondiale, reste une société locale» (Dagorn 2003). La notion de métropolisation serait plus récente que celle de métropole devenant un concept majeur pour rendre compte de l’évolution des territoires ( ASCHER 2003). Elle renvoie à un processus d’urbanisation, certes, variable selon les pays dont la l’aspect général serait, toutefois, spécifique à l’Europe. Ce processus se fonde tout d’abord sur le développement des moyens de transports et de télécommunication modifiant la mobilité des habitants et leur habitudes ne vivant plus à l’échelle d’un quartier ou d’une commune mais à celle d’un vaste espace urbain. Le résultat est la «dilatation» des agglomérations anciennes pour créer ces espaces urbains dont la densité urbaine globale diminue quand celle des unités urbaines des couronnes périurbaines augmente. L’urbain n’est plus continu mais discontinu dans lequel la limite ville/campagne n’existe plus. De nouvelles polarisations s’établissent perturbant le modèle radioconcentrique initial fondé sur l’agglomération motrice qui continue de croitre. Mais le processus de métropolisation reste bien cette captation, dans l’aire de fonctionnement quotidienne d’agglomérations motrices, de ces unités urbaines de leurs couronnes périurbaines parfois polarisées conduisant ainsi à une doubles croissance : interne (agglomérations), et externe (couronnes périurbaines) grâce aux nouvelles mobilités. La métropolisation résulte de ce type d’urbanisation mais également de logiques économiques dépendantes de l’économie internationale. C’est ainsi qu’en matière d’emploi, l’agglomération a perdu les emplois les moins qualifiés qui se regroupent dans certains pôles mais surtout dans les couronnes périurbaines les plus éloignés pour regrouper les plus qualifiés. La métropolisation reste bien une «concentration de valeur à l’intérieur et autour des villes les plus importantes» ( ASCHER 2003). Cependant, pour ASCHER (2003), il conviendrait de substituer le terme de «métapole» à celui de métropole qui renvoi à des images anciennes de la grande ville car la métropolisation produit un espace qui va au delà de la ville (agglomération) parfois à partir d’un réseau de villes proches créant également, à l’instar d’une grande agglomération initial, des aires urbaines de plus en plus peuplées, discontinues, hétérogènes et multipolaires ( ASCHER 2003).
Métropolisation : (Étymologiquement composé à partir du mot métropole, métropolis : ville-mère) est une dynamique spatiale contribuant à organiser le territoire autour de la métropole. Elle voit s’étendre la forme classique du tissu périurbain en reliant les principales agglomérations.
Métropolitain : Qui appartient à la métropole, territoire métropolitain «région. métro. zoreille»
Meute : Groupe d’animaux se groupant pour le même but. Erasmus se déplaçant par packs.
Mezzanine : élément ajouté sur z; plateau laissant passé la lumière.
mezzanine : Structure suspendue offrant une surface d’exploitation supplémentaire.
Microcosme : Groupe de personnes, objet ou lieu constituant une sorte d’univers.
MIKADO : jeu consistant à laisser tombé sur une surface plane, une vingtaine de baguettes de bois puis à les retiré une par une sans modifier l’équilibre du tout. Dessin semi aléatoire d’une structure, donnant l’impression que l’on est venu jeter des baguette d’acier sur 3 plans verticaux.
Milieu : Ce qui nous entoure, qui nous influence
Mille feuille : plusieurs couches, bandes, fines superposées, accolées les unes par rapport aux autres, et définissant l’espace intérieur.
Mimésis : imitation de la représentation de la réalité, création poétique par la production de simulacre humain, s’exprimant en leur propre nom.
Mimétisme : (grec mimeisthai, imiter) Particularité des espèces qui, en raison de leur forme et/ou de leur couleur, peuvent se confondre avec l’environnement ou avec les individus d’une autre espèce. Reproduction machinale, inconsciente, de gestes et d’attitudes des gens de l’entourage.
MINÉRAL : «Un minéral est une substance normalement inorganique, plus rarement organique, formée naturellement ou synthétisée artificiellement, définie par sa composition chimique et l’agencement de ses atomes selon une périodicité et une symétrie précises qui se reflètent dans le groupe d’espace et dans le système cristallin du minéral».
Minéral : aspect géologique de la chose comme une pierre précieuse (plus à l’état brut).
Minimal (espace) : réduire un espace à des fonctions premières et optimisées .
Minimal : langage architectural qui valorise la simplicité des formes et l’absence de détail perturbant l’image.
Minimal : mise en œuvre épurée des formes, matériaux, couleurs, … .
MINIMALISME : Recherche des solutions requérant le minimum de moyen et d’effort. Architecture minimaliste contemporaine caractérisé par une économie extrême des moyens mis en œuvre.
Minimum vital : Fonctions fondamentales réduites dans un espace minimum.
Mirage : illusion due à une perception altérée d’un objet .
MIRAGE : Illusion trompeuse, croire que tout va se régler sans décision, parfois autoritaire mais néanmoins nécessaire pour fixer un cap et se donner les moyens de l’atteindre.
Mise-à-jour : action d’adapter un élément à un nouvel environnement et à une nouvelle utilisation sans pour autant occulter ce qu’il était.
MITAGE : «Dissémination spontanée ou insuffisamment contrôlée de constructions implantées dans des zones rurales ou en périphériques».
MITTERRAND : Les archives de tous pays, en gardant la trace des actes d’hier et leurs cheminements éclairent mais aussi commandent le présent. Ceux qui exercent une responsabilité savent bien qu’on ne définit pas des orientations dans l’ignorance du passé.
Mixité : caractère d’un groupe composé d’éléments, de personnes ou d’activités de diverse provenance.
Mixité : Caractère d’un groupe, d’une équipe.
Mixité : caractérise quelque chose qui force le mélange, l’échange (espace privé/public ; vestiaire mixte).
Mixité : la mixité désigne la présence ou le contexte d’individus dans un groupe ou un concept donné; en sociologie, on parle de mixité sociale pour désigner le caractère hétéroclite d’une société.
mixité : Mélange de corps étrangers. Se mélanger a d’autres personnes qui n’ont pas les mêmes caractéristiques que vous.
Mixité : regroupement d’ethnie, de culture diverses au sein d’un même environnement dans l’idée de partage et d’échange. Terme malheureusement devenu politique, qui s’est éloigné de ses valeurs initiales.
Mixité sociale : la mixité sociale consiste en une zone géographique donnée, en ce que des personnes issues de catégorie . socioprofessionnelles différentes. Elle engendre des quartiers hétérogènes.
MIXITE SOCIALE : Quartier peuplé d’habitants distincts par leurs revenus, leurs origines ethnique ou religieuse. Doit être favorisé pour éviter la ségrégation et le communautarisme.
Mobile : qui implique un changement possible.
Mobilité : capacité à être mobile, à se déplacer
Mobilité : La mobilité (autre moyen de maîtrise de la distance) que Levy (2004) définie comme «la relation sociale au changement de lieu» afin de na pas la réduire au seul déplacement (au mouvement) dans un monde matériel mais à d’autres dimensions idéelles et virtuelles : les déplacements qui pourraient «avoir ou avoir eu lieu» par exemple. Pour les géographes, la mobilité reste l’ensemble des manifestations liées au mouvement des réalités sociales (homme, objets matériels et immatériels) dans l’espace, c’est-dire que ce concept englobant qu’est la mobilité ne se limite pas au déplacement physique effectif ainsi qu’à ses techniques (appelées le transport) mais concerne également les idéologies et les technologies (Lussault & Stock 2003). Pour chaque acteur, la mobilité est à la fois un processus avéré qui se traduit par des déplacements effectifs (grâce à des offres de mobilité : accessibilité technique, financière et sociale) mais également potentiels (Lussault & Stock 2003).
MOBILITE : «La mobilité est la capacité à être mobile, à se déplacer».
mode : mouvement de pensée général et dictée, vise à faire consommer, thème sur lequel beaucoup de personnes vont travailler sous différents angles pour en tirer un maximum de chose.
MODELER : action de donner une forme, un relief particulier.
Moderne : Actuel, contemporain ou récent. Qui bénéficie des progrès récents, qui correspondent aux goûts actuels.
MODERNE : de l’époque contemporaine, qui se conforme aux évolutions les plus récentes.
Modernisme : 1-mystification de l’architecture, où l’architecte apparaît comme un artiste, et la production architecturale comme une œuvre d’art. 2-Résultante du développement technique, grâce aux nouvelles possibilités offertes par les nouveaux matériaux comme le fer, l’acier, le béton, le verre, qui ont conduit à l’invention de nouvelles techniques de construction, aboutissant a de nouvelles formes.
Modernisme : utopie appliquée à l’idéalisation du capitalisme. «a unitary development in which the avant- gardes’ visions of utopia come to be recognized as an idealization of capitalism».
Modernité : «ce que l’on ne peut pas expliquer de façon spontanée» Michel Millet
Modernité : Caractère de ce qui est moderne.
MODIGLIANI : «ton devoir réel est de sauver ton rêve»
Modularité : caractère de tout ce qui a été conçu pour évoluer.
Module : Élément destiné a être répété.
Module : un même élément qui se répète plusieurs fois formant un ensemble.
Moiré : C’est la texture produite par la surimpression d’une trame, elle est visible sur les façades du bâtiment. La combinaison d’éléments pseudo réguliers produit des effets complexes et incertains qui mettent en évidence un comportement apparemment irrégulier.
Moiré : superposition de textures que ce soit sur des structures ou non.
Monofonctionnel : ex : lotissement résulte d’un découpage foncier souvent monofonctionnel, ce qui tend à les distinguer de la mixité d’usage de la ville ou d’un quartier ancien
Monofonctionnelle : ayant une seule fonction.
Monographie : Étude exhaustive d’un traité. Parcourir la vie d’une personne.
Monolithique : qui forme un ensemble homogène, rigide et sans contradiction.
Monotonie : (grec monotonia) Uniformité de ton, d’intonation, d’inflexion : Monotonie de la voix. Manque lassant de variété, de diversité : La monotonie d’un paysage. Qualité monotone d’une fonction ou d’une suite.
Monumental : caractérise un élément imposant, démesuré.
Morphologie : Correspond à tout ce qui est en relation avec la forme. Ce mot renvoie souvent à l’idée d’organisation corporelle des êtres vivants.
Morphologie : Étude de la configuration et de la structure externe (d’un organe ou d’un être vivant. Morphologie de la surface terrestre. Étude de la forme urbaine. Une approche, venue des géographes, qui appliquent à la connaissance architecturale, concept de site et de situation.
Morphologie : étude de la forme et de la structure externe des êtres vivants dans les différentes sciences biologiques.
Morphologie : Étude de la forme et de la structure externes des êtres vivants dans les différentes sciences biologiques. Synonyme de géomorphologie. Partie de la grammaire qui étudie les problèmes relatifs à la formation des mots ainsi qu’aux variations de leurs désinences. Étude de la quantité, de la forme, de la répartition et de la proximité des éléments d’une structure macro ou micrographique.
Morphologie : étude de la forme extérieure.
MORPHOLOGIE : étude de la forme, de la structure des êtres vivants.
Morphologie : étude de la forme.
Morphologie : Forme d’une surface la définissant comme ensemble
Mouvement : Action venant briser une linéarité.
Mouvement : déplacement/animation d’un objet ou d’un individu.
Mouvement : la ville, ou, l’homo urbanus.
mouvement : S’oppose à immobile et sous entend des actions, des déplacements, des animations. Le mouvement est un indicateur de présence de la vie.
Mowatt : cercle de Mowatt. Ensemble d’éléments permettant de hiérarchiser et d’annoncer le positionnement du concepteur vis-à-vis de chacun.
mue : Changement de peau ou d’habit qui a donc une influence sur l’image.
Mue : correspond à un renouvellement de la peau permettant un changement de forme et de taille.
Multiculturel : Qui relève de plusieurs cultures différentes.
Multifonction : ayant plusieurs usages, la maison de l’archi est un lieu multifonction de par la diversité de ses espace. Lieux de découverte, de travail, d’apprentissage, de calme, et d’échange.
Multimédia urbain : zoom sur une photo, objet multimédia, entre le mouvement et la staticité, le bâtiment devient un media qui informe sur l’évolution de l’architecture. .
Multiplication : accroissement de quantité. La volonté de monter nous à obliger d’effectuer une multiplication des plateaux. Il y a aussi multiplication des espaces, donc de «pixels».
Multiplicitée : différentes apparences pour différentes morphologies d’espaces. Chaque espace revêt un matériaux différent. La multiplicité c’est générer pas répeter. Différentes apparences pour différents usages (public, semi privé, privé) .
MUNFORD : «If it’s a monument, it’s not modern and if it’s modern, it’s not a monument».
mur : «un mur est un mur»
mur : «un mur n’est pas un mur»
Musique : la musique est l’art consistant à arranger et à ordonner des sons et des silences au cours du temps : le rythme est le support de cette combinaison dans le temps. La hauteur, celle de la combinaison dans les fréquences.
Musique : phénomène social propre à l’être humain. Consiste à produire, assembler et/ou enchaîner des sons dans le but d’émouvoir. La musique rassemble les individus et apaise les esprits.
Mutation : Changement, variation et transformation dynamique résultante d’un processus évolutif, de manière graduel ou non.
Mutation : Colonisation ou décolonisation du bâtiment. Changement d’aspect et/ou formel du bâtiment. .
Mutualisation : Fait de mutualiser, d’être mutualisés.
Mutualiser : Faire passer (un risque, une dépense) à la charge d’une mutualité, d’une collectivité.
Mystification : Fait d’attribuer un origine mystique a quelque chose, production, ou création -attribué une origine divine ou en rapport avec dieu a un objet, élément .
Mythe : Il transforme la culture en nature, l’histoire en essence. Le Mythe réuni dans un anachronisme, plein d’éléments, de typologies différentes, c’est la disparition de l’histoire.

NAPPE PHREATIQUE : Étendue d’eau souterraine que l’on rencontre à faible profondeur.
nature : «La nature, disions nous, est schématisée deux fois, à l’amont et l’aval du processus artistique, qui comprend par conséquence une double dénaturation, centrifuge : s’arracher au socle naturel, et centripète : y revenir pour l’artificialiser. Dénaturer la nature, par ruse ou par violence, telle est génériquement, la fonction de la culture. Mais, aux premiers âges de l’humanité, cette dénaturation se lit beaucoup mieux dans l’art que dans la technique. Les animaux ont été «domestiqués» par le premier avant de l’être par la seconde. On peut même se demander si l’homme les eut domptés réellement, s’il ne les avait dominés fictivement.» Alain Roger, Nus et paysages, page 40 et 42
Nature : à l’état brut
Nature : agglomérat de matière végétal.
Nature : Ensemble du monde physique qui n’a pas été transformé par l’être humain.
Nature : environnement primaire, état primitif ;constitué de végétaux, de minéraux et d’animaux, la nature est l’ensemble des éléments qui nous entourent mis à part les éléments artificiels produits de l’homme ; volonté de créer un espace naturel sans aucune impression d’artificialité, un paysage non maitrisé par l’homme.
Nature : la nature est un mot polysémique, qui à plusieurs sens fondamentaux, la composition et la matière d’une chose (ce qu’elle est, son essence)L’origine et le devenir d’une chose dans sa spontanéité et sa léthargie temporelle. L’ensemble des systèmes et des phénomènes naturels et humains sont aussi reconnus comme des composés de la nature.
Nature : la nature est un mot polysémique, qui à plusieurs sens fondamentaux, la composition et la matière d’une chose (ce qu’elle est, son essence)L’origine et le devenir d’une chose dans sa spontanéité et sa léthargie temporelle. L’ensemble des systèmes et des phénomènes naturels et humains sont aussi reconnus comme des composés de la nature.
nature : Tout ce qui ne connaît pas l’intervention actuelle ou passée de l’homme.
Nature artificielle : création, simulation d’un espace naturel.
Nature artificielle : maquillage.
Nature artificielle : S’inspirer de phénomènes et principes naturels, afin de créer, fabriquer.
Naturel Artificiel : Fusion avantageuse du naturel et de l’artificiel . Création d’une jungle citadine artificielle.
NATUROTHERAPIE : système médical complet et cohérent qui mise avant tout sur la stimulation des mécanismes naturels d’auto guérison du corps. Le médecin doit chercher les causes de la maladie, plutôt que de tenter d’en supprimer les symptômes.
Navel : nombril ; nombril esthétique autour duquel la critique architecturale a tendance a tourner -trace de l’ablation du cordon ombilical .
nécessité : «De nombreux bâtiment sont construits en périphérie des villes. Pour répondre à la politique de la ville, la programmation des équipements publics s’intensifie dans les quartiers «en difficulté». Les aménageurs pensent faire jouer à ces édifices un rôle structurant. Si ce rôle est effectivement en termes fonctionnels, il est inexistant sur le plan de l’édification urbaine. Nous sommes encore dans le schéma de l’urbanisme moderne où voiries et stationnement sont les seules motivations de l’aménagement extérieur. On livre écoles, piscines ou annexes de mairie sans les accompagner des espaces publics nécessaires, places ou parvis, qui devraient concilier fonctions automobiles, convivialités et urbanité des lieux.» Texte de Jean-Marc Lefebvre, La place dans l’espace urbain, Cahiers paysages N°5 déc. 1996, page 8.
néo-Marxisme : Retour à l’idéologie centrée sur la critique du fonctionnement économique et des modes de productions capitalistes.
néo-rationalisme : Le rationalisme est une façon de penser, dont réflexions et observations semblent à la fois logique, claire et compréhensible. Le néo-rationalisme est donc la réapparition de cette «philosophie».
NEO-REALISME : Une volonté de décrire la réalité telle qu’elle est, sans en occulter les problèmes et les injustices, avec un langage simple et direct conforme aux aspirations collectives.
Nervenleben : (néer. ) Vie des nerfs, vie nerveuse.
Neutralité : (latin neutralis, neutre) Situation d’un État qui demeure à l’écart d’un conflit international. État de quelqu’un, d’un groupe qui ne se prononce pour aucun parti ; caractère de leurs oeuvres, de leur attitude : Observer une neutralité absolue dans un conflit. Chimie et Physique, état, qualité d’un corps ou d’un milieu électriquement neutres. Droit, caractère qui s’attache à un impôt (neutralité fiscale) ou, plus généralement, à une loi de finances (neutralité financière) qui n’ont pas pour objectif de modifier les flux et les mécanismes économiques. Psychanalyse, attitude non directive de l’analyste à l’égard des opinions, des projets de son patient.
nevralgie : nf Douleur vive, sur le trajet d’un nerf.
névralgique : Adj. de névralgie point névralgique : point sensible.
New York : City of New York. Développement architectural au XXe siècle de l’architecture moderne. Début de l’ère des grattes ciels. Urbanisme et densification verticale.
Nihilisme : Doctrine rejetant toutes formes de vérité et de valeur intellectuelle.
Nomade : autogestion, nomadisme, toutes notions rejetées par les sociétés sédentaires hiérarchisée.
Nomade : se dit des peuples, des sociétés dont le mode de vie comporte des déplacements continuels. Qui se déplace fréquemment.
NOMINALISME : Doctrine philosophique selon laquelle le concept n’est qu’un nom accompagné d’une image individuelle.
Nonchalant : caractère d’un individu se déplaçant sans but précis et dont il s’agit de capter l’attention.
Norme : dictée de règle qu’il est possible de contourner. Données a prendre en compte. Éléments d’inspiration.
Norme : Règle de référence, pouvant être établie par compromis et qui a pour but d’être appliqué et généralisée
NOUE : «Sorte de fossé peu profond et large, végétalisé, qui recueille provisoirement l’eau».
Nourricière : qui procure de la nourriture.
Noyau central : matrice d’un projet; articulation primaire d’un projet; lien entre les différentes greffes.
Noyau central : partie principale et fondamentale dans un système structurel donné.
Noyau central : structure permettant de maintenir ou rigidifier un ensemble par une ossature reprenant tout les efforts.
Nuage : Caractère de ce qui invisible mais intouchable, à peine pénétrable. Permet l’union entre le monde analogique et symbolique. Permet de construire l’air. C’est un ensemble visible de particules d’eau très fines.

Oasis : caractérise un lieu, un espace bien délimité dont l’ambiance est calme, apaisante, tranquille, reposante, … .
Objectif : c’est un but, une finalité que l’on s’est fixé et qui se doit d’être réaliser au travers d’un projet.
Objectif global : objectif qui déborde le cadre strict du présent projet ; d’autres projets contribueront à atteindre cet objectif global.
Objectif opérationnel : objectif de mise en œuvre à accomplir pour atteindre l’objectif spécifique.
Objectif spécifique : objectif que la mise en œuvre du projet va permettre d’atteindre. Il répond à la question : pourquoi le maître d’ouvrage a-t-il besoin du projet ?
Obligatoire : qui a la force d’obliger. Une clause obligatoire. «loin d’envisager leur pouvoir par ce qu’il a de pénible et d’obligatoire, ils (les princes) n’y voient que le pouvoir de commander.»Rousseau Polysinodie
Oblique : En opposition avec les axes horizontales et verticales, inclinaison dynamique.
Oblique : opposé à l’horizontale, l’oblique créer un rapport dynamique avec le corps.
Oblique : pente, inclinaison.
observabilité et exposition : s’engager dans l’espace public, c’est se rendre observable à un public dont on ne connaît pas les membres (qu’est-ce qu’être «exposé» dans l’espace du public, comment s’y conduire ?) ;
OBSERVER : Prendre le temps d’examiner ce qui nous entoure.
Occupation du sol : C’est la couverture biophysique du sol d’un espace caractérisée par la nature des objets qui la composent : prairies, cultures, forêts, bâtis, routes… L’occupation du sol privilégie donc la nature des objets plutôt que leur fonction socio-économique.
Occurrence : événement fortuit, circonstance.
OCCURRENCE : Rencontre, circonstance fortuite. Agir selon l’occurrence. Faire des choix en fonction des rencontres.
Occurrences : l’occurrence d’un événement est son apparition dans le temps et/ou dans l’espace. Événement fortuit, circonstance. Apparition, présence d’une unité linguistique dans la classe linguistique.
Oeil : ce grâce a quoi nous avons un regard sur les choses.
Œuvres : création issu de l’aboutissement d’une idée, concept. Production artistique.
Oisiveté, loisir : ne rien faire, se laisser aller. La maison de l’architecture est aussi en parti un lieu de loisirs, de détente, chaque étage offre une fonction différente à l’appréhension de l’architecture.
ombre : Ombre dangereuse (si l’ombre d’un intouchable effleure le corps d’un brahmane, celui-ci devra se purifier. ) Roberto Casati, La découverte de l’ombre, livre de poche, page 120.
One shot : développement utilisé une seule fois. Un seul essai !
Onirique : l’adjectif onirique vient du grec «oneiros» qui signifie le songe ou le rêve.
Onirisme : état mental dans lequel on prend ses rêves pour la réalité.
Ontologie : En philosophie, l’ontologie (du grec o?, o????, participe présent du verbe être) est l’étude de l’être en tant qu’être, c’est à dire l’étude des propriétés générales de tout ce qui est. Dans la métaphysique de Christian Woff, l’ontologie est définie comme une sous partie de la métaphysique, la partie la plus générale par opposition aux trois disciplines de la «métaphysique spéciale», la théologie (Dieu), la psychologie (l’Âme) et la cosmologie(le Monde).
Opacité : Filtre visuel, cacher, limiter la vue.
Opacité : inverse de la transparence, filtre visuel.
Opacité : renvoi totalement la lumière, peut être obstacle visuel autant que miroir ou reflet.
Opaque : capacité a bloquer les rayon du soleil pour atténuer le rayonnement solaire.
Opaque : État de la matière qui s’oppose à la lumière. Élément empêchant la lumière de traverser.
Opérationnel : Qui concerne la stratégie des décisions. Qui peut être mis en service.
Opératoire : Qui concerne une opération .
Opiniâtre : caractère d’une personne qui affirme, soutient et persévère dans ses idées.
Opposition : c’est le reflet d’une différence, d’un contraste ou d’une résistance entre deux ou plusieurs éléments.
Oppressant : tension émotionnelle, inconfortable, et envahissante.
Oraliser : dire à haute voix.
Ordinateur : instrument électronique permettant d’effectuer des taches rapides en plus de temps qu’il n’en faut et des tâches longues de façon plus rapide.
Ordonnancement : Action d’ordonnancer.
Ordonnancer : disposer dans un certain ordre, agencer.
Ordonner : Mettre les éléments en situation, en relation entre eux et avec les autres, de manière à obtenir un «tout» rangé et fonctionnel. L’idée de calme en ressort.
Ordre : équivalent à un classement déterminant pour chaque élément une position.
Ordre : fait de trier, ranger un ensemble d’éléments afin d’arriver à une bonne organisation de ces derniers.
Ordre et chaos : La sensation de désordre transmet un doute. L’ordre est assimilé à l’avancement des exercices, au dessin structures géométriques.
Ordre et chaos : paradoxe entre règle et dérèglement, entre géométrique et aléatoire, entre nature maîtrisé ou sauvage .
Organique : qui se rapporte au monde du vivant.
Organisation : elle peut être du crime, mais en l’occurrence elle est temporelle : faire un planning c’est tenter de ne pas se laisser surprendre par l’échéance.
Organisation : manière dont les choses sont reliées.
Organisation : Répartition des efforts au sein d’un ensemble.
organiser : 1. Préparer dans un but et selon un plan prévis : organiser un voyage. 2. Donner une structure en vue de faire fonctionner : organiser un service.
Organisme : bâtiment a fonction définie constitué de plusieurs parties fonctionnelles.
Orientation : Signalétique permettant de répondre à une interrogation. Mais ce terme prend également en compte la notion spatial, cette notion permet de cadrer un objet pour lui assigner une fonction.
Orienter : Guider et diriger les déplacements, les espaces, les vues.
Orthogonisme : Principe de tracé urbain utilisant la configuration orthogonale dans la composition urbaine, et opposé au radio-concentrique.
Orthographe : les petites brises la glace. Les petites brisent la glace
OSSATURE BOIS : Système constructif utilisant le bois comme ossature.
Ostentation : fait d’agir pour se faire remarquer, étalage excessif d’une qualité, d’un avantage.
Ostentatoire : pièce d’orfèvrerie qui sert à exposer l’hostie consacrée, dans la religion catholique.
Ostentatoire : Qui révèle de l’ostentation : Un luxe ostentatoire.
Outrecuidance : confiance exagérée en soi, fatuité, impertinence.
Ouvert : architecture explicite et expressive, et surtout lisible par sa forme dynamique et flexible.
Ouvert : avoir l’esprit ouvert, être ouvert, accueillant.
Ouvert : La cour haute est un espace de transition qui est à semi-ouvert entre le privé et le public.
Ouvert : La disposition des volumes donne au projet une ouverture vers la place.
Ouvert : Les volumes qui composent le projet créent une forme ouverte vers la place. Cette ouverture forme un parvis attirant.
Ouvert : rapport avec l’extérieur dans sa forme la plus juste.
Ouvert : relié à l’extérieur par l’ouverture vitrée
Ouverture : Absence de matière semblable a une faille, dans un environnement matériel. Peu également caractérisé un état poussée d’une réflexion.
Ouverture : caractérise quelque chose d’orienté vers, d’ouvert sur quelque chose.
Ouverture : Fait d’être ouvert, réceptif c’est à dire avoir la possibilité de communiquer avec «l’extérieur».
Ouverture : Par opposition à fermé, fini, déterminé. Le plancher et les plis sont les seules fermetures visuelle, le plancher ne se termine pas vraiment, ce qui fait penser à quelque chose de non-fini et enfin la résille varie la transparence et brouille la lisibilité créant l’indétermination, le questionnement .
Ouverture : percée dans un volume. Largesse d’esprit.
Ouverture : Trou, percement, permettant le passage, la vue, l’évasion.
Ouvrir : créer des ouvertures sans forcément essayer de dissimuler l’activité intérieure.
Oxydé : marque et témoigne des interactions entre la matière et son milieu.
OXYMORE : La ville nature.

P. L. U. : C’est une procédure de planification de l’affectation des sols dite réglementaire. Un P. L. U. est établi à l’initiative des communes sur un territoire communal ou intercommunal. Il correspond à une volonté politique d’aménagement ; c’est un projet politique et non technique. Dans la hiérarchie des normes, un PLU constitue une synthèse d’orientations supra-communales (principes généraux des articles L110 et L122-1, dont il doit déterminer les conditions de mise en oeuvre, dispositions des lois Littoral et Montagne, D. T. A…) et intercommunales (Scot, P. N. R., V. M…). La commune, en tant que «collectivité publique est le gestionnaire et le garant dans le cadre de ses compétences du territoire français, patrimoine commun de la nation» se doit ainsi de respecter un certain nombre de règles de fond ; la décentralisation n’est pas l’indépendance». Depuis la loi Urbanisme et Habitat du 2 juillet 2003, le P. L. U. comprend cinq éléments : 1. un rapport de présentation ; 2. un projet d’aménagement et de développement durable (Padd) ; 3. des orientations d’aménagement (facultatives) propres à certains secteurs ou quartiers ; 4. un règlement constitué de 14 articles, dont 2 sont obligatoires, et des documents graphiques ; 5. des annexes informatives. En matière d’effets sur les conditions d’occupation des sols, seuls demeurent opposables le règlement et ses documents graphiques ainsi que les orientations d’aménagement qui sont facultatives. Mais le règlement et ses documents graphiques s’imposent en termes de conformité (la lettre doit être respectée) alors que les orientations d’aménagement s’imposent en termes de compatibilité (l’esprit doit être respecté). Le rapport de présentation n’a pas d’effets juridiques propres, mais doit être complet et suffisamment documenté (Jacquot & Priet 2004).
Pacemaker : Dispositif implanté dans l’organisme délivrant des impulsions électriques au cœur et permettant par exemple d’accélérer ce dernier lorsqu’il est trop lent.
pacemaker : Stimulation cardiaque et région du cœur où prend naissance l’excitation cardiaque.
Palier : palier d’étage, plate-forme, seuil, entrée, niveau
Palimpseste : parchemin manuscrit effacé sur lequel on a réécrit. On parle parfois de palimpseste pour un objet qui se construit par destruction et reconstruction successives, tout en gardant l’historique des traces anciennes.
Palimpseste : strate superposées. L’écriture sur l’écriture. A l’origine : manuscrit déjà utilisé, dont on fait disparaître les inscriptions pour y écrire à nouveau. On parle aussi de palimpseste lorsque l’on construit par destruction et reconstruction successive.
PANÉGYRIQUE : Discours à la louange de quelqu’un. Le panégyrique de Trajan par Pline le jeune. Eloge en général pris ironiquement.
PANORAMA : «Vue en largeur d’un espace physique».
Panorama : Vaste paysage que l’on peut contempler de tous les côtés.
Papier glacé : image idéalisée.
Paradigme : chemin de perception
Paradigme : Ensemble de principes généraux et d’orientations fondamentales s’appliquant à un secteur de la connaissance, à partir desquels le travail scientifique est conçu et réalisé (Bernard 2003).
PARADIGME : Ensemble des idées portant d’une première réflexion dont se déclinent toutes les autres.
Paradigme : système de représentation du monde
Paradigme : une représentation du monde, une manière de voir les choses. Un rail de la pensée dont les lois ne doivent être confondues avec un autre paradigme.
Paradoxe : L’architecture est à la fois perceptuelle et conceptuelle dans sa nature, elle est à la fois pyramide et labyrinthe.
Paradoxe : la contradiction entre deux faits. Le «flottement» de nos boites constitue un paradoxe visuel par rapport a la structure du réel.
Paradoxe : Situation dans laquelle deux éléments associés tendent à se contredire.
Paramnésie : sensation de déjà-vu, du grec «para» : à côté et «mnesis» : mémoire), faux-souvenir.
PARASITE : «En biologie, un parasite est un organisme vivant qui se nourrit, s’abrite ou se reproduit en établissant une interaction durable avec un autre organisme»
Parasite : élément qui n’existe qu’au dépend d’un autre.
Parasite : Ensemble de points dans l’espace
Parasite : Forme étrangère qui vient s’ajouter à une entité.
Parasite : organisme vivant qui se développe au dépend d’un autre organisme vivant, appelé hôte, dont il tire sa nourriture, et auquel il nuit mais sans le détruire.
Parasite : Organisme vivant qui vient se coller sur une entité et s’y développe à ses dépens (ex plantes grimpantes, lierre, jasmin)
Parcelle : partie d’un terrain d’un seul tenant, de même culture ou de même utilisation, constituant une unité cadastrale.
Parcours : Chemin pour aller d’un point à un autre. Chemin-circuit, course, itinéraire, trajet.
Parcours : Chemin pour aller d’un point a un autre. Parcours du combattant : chemin semé d’obstacles.
Parcours : Chemin prédéfini ou non permettant d’aller d’un point A à un point B. Le parcours est caractérisé par des étapes successives, des transitions, des barrières (contournements).
PARCOURS : chemin saturé d’interaction qui est occasionné par les flux de circulations, le bâti…
Parcours : circulation suivant un tracé, une envie…
Parcours : Enrichit le trajet, permet la découverte, la surprise, l’interrogation, amène les rencontres et situations inattendues.
PARCOURS : ensemble des étapes d’un trajet pour aller d’un point à un autre.
Parcours : la suite des éléments dans l’espace qui créent une circulation. A l’extérieur, on voit un parcours facile a lire et qui donne les plus courts accès aux logements.
PARCOURS : On qualifie un parcours par rapport aux éléments que l’on y rencontre tous le long.
Parcours : succession d’actions menées les unes à la suite des autre lors du passage d’un point A à un point B.
Parcours : succession d’éléments dans l’espace qui créent une circulation .
Parfum : odeur agréable : le parfum des roses. Composition industriel odorante : aimer les parfums . Ce qui éveille un doux souvenir, une idée agréable : un parfum de bonheur.
Parking : Parc de stationnement automobile.
Parole : Personnification du langage , détient une conscience et une hauteur de vue sur les sujets abordés.
Partage : action de diviser une chose en portions, en parties.
Partage : Fait de mettre en commun des biens, des idées…
Partage : le partage est une difficulté pour l’humain et l’animal car il ne possède pas entièrement l’objet, le lieu.
PARTAGER : Diviser quelque chose en plusieurs éléments distincts ; répartir, distribuer.
Partager : Donner <-> Recevoir.
Partager : Échange d’éléments entre deux personnes ou plus, dans un but d’enrichissement.
Partager : Faire profité les autres d’un acquis.
Partager : séparer en plusieurs morceaux, diviser les émotions, les habitudes, les repas… partager et se soucier des autres.
Participation : prendre part à.
Particularité : Singularité, détail, circonstance, voir déséquilibre.
Parvis : Place devant l’entrée principale d’une église, d’un grand bâtiment public.
Pascal : «il faut toujours tenir l’élève au dessus de sa tâche».
Passage : action, fait de passer.
Passage : lieu qui relie un point A à un point B, il peut se caractériser par un pont, un escalier, une voie, un couloir et il peut être emprunter par des piétons ou des véhicules de transport.
Passage : monde entre deux mondes
Passage : zone ou espace consacrer à l’action de passer, circuler sans l’idée d’arrêt. Lieu simplement traversé, l’idée du passage n’est pas une fin en soi, il peut s’assimiler à l’idée d’étape.
Passé : le passé est d’abord un concept lié au temps. Il est constitué de l’ensemble des configurations successives du monde et s’oppose au futur sur une échelle du temps centré sur le présent.
Passerelle : élément de raccordement.
Passerelle : petit pont très étroit réservé au piéton, pont léger établi entre un bateau accosté et le quai, support des projecteurs.
PASSERELLE : pont étroit pour les piétons (échelle humaine). Construction flottante et plate utilisé comme bâtiment de servitude.
Passerelle : Relie deux espaces, deux mondes, marque une transition en offrant des points de vue.
Passerelle : un cheminement entre deux espaces architecturaux séparés. Dans notre projet on cherche a faire disparaître ce lien.
Passion : «l’architecture doit être passionnante» Guy Debord. L’Internationale Situationiste appelle à des environnements fonctionnels et fascinants la création de différentes situations, la transformation ludique de l’espace quotidien, à l’inverse d’espaces purement fonctionnels.
Passion : Sorte d’émotion qui nous dépasse et que l’on subit, mais qui, si elle abonde dans le sens de nos convictions permet de mener à bien toutes actions.
Patchwork : Composition d’élément variés formant un ensemble, dont les différentes sources n’ont a l’origine aucun rapport les unes avec les autre.
patchwork : Ensemble composé d’éléments disparates.
Patchwork : ensemble d’éléments variés, mes habitants de tous pays.
Patchwork : utilisation de différents matériaux en parement de façade, (ensemble d’éléments disparates) .
PATRIMOINE : bien commun d’une collectivité, d’un groupe humain. Considéré comme un héritage transmis par les ancêtres.
Pause : Arrêt momentané d’un travail, d’une activité, généralement consacré au repos.
Pavillon : maison particulière de petite ou de moyenne dimension attenante à un terrain et située en particulier à la périphérie des grandes villes.
Paysage : étendue de pays qu’une personne peut observer. Agencement des traits, des caractères, des formes, d’un espace limité, d’un pays.
Paysage : étymologiquement le paysage est l’agencement des traits, des caractères, des formes d’un espace limité, d’un pays; portion de l’espace terrestre représenté à l’horizontale comme à la verticale par un observateur, il implique un point de vue.
Paysage : L’origine du sens apparaît en 1573 : «Etendue de pays que l’oeil peut embrasser dans son ensemble.» Mais, en matière d’espace, Lussault (2007) considère que «le paysage ne renvoie pas au même type de réalité spatiale que le lieu, le territoire, le réseau, mais s’avère plus en rapport avec le développement consacré au visuel». Plus précisément, le paysage «est donc une fraction d’espace arrangé qui en situation, devient un paysage pour un individu ou un groupe qui le regardent».
paysage : perception visuelle d’un territoire
paysage : Vue d’ensemble d’un pays ou morceau de pays. Le paysage est basé sur un critère esthétique et fait appel à des notions comme panorama et point de vue.
Paysager : qui a trait des paysages, au paysage. Aménager de façon à rappeler un paysage naturel. Jardins paysager ou paysagés.
Paysan : personne vivant du travail de la terre, péjorativement rustre.
Péage urbain : L’accès à certains services publics a toujours été payant. Mais aujourd’hui, c’est l’accès à l’espace public lui même qui tend à devenir payant, tout au moins pour ceux qui utilisent des automobiles : pour l’usage de voies autoroutière urbaines, de ponts, et bientôt peut être, comme dans certains pays étrangers, pour le simple accès au centre des villes. Ce dernier type de péage urbain dit «de régulation» (par opposition aux péages qui servent à financer des infrastructures spécifiques, ponts, tunnels, etc. ) a en fait commencé avec le stationnement payant qui généralement ne sert à financer ni une infrastructure, ni la gestion d’un équipement ou d’un service. C’est une taxe, souvent modulable, utilisée pour réguler le stationnement et plus largement les transports et la circulation. Elle vise souvent à dissuader l’usage de l’automobile dans certaines zones.
Peau : «l’épiderme, la peau, constitue la frontières entre deux mondes, deux strates, deux milieux. Sa fonction primaire est d’envelopper, et sers également de protection, de barrière. La peau donne la première image d’une personne, d’un lieux… C’est aussi de ce fait un des fondement du racisme où la couleur est assimilée à un rapport de supériorité.»
PEAU : c’est la première barrière de protection de l’organisme
Peau : couche extérieure d’un élément destinée à le protéger et à lui donner un aspect.
Peau : Enveloppe d’un bâtiment, pouvant être multiple et de tous matériaux, a souvent pour fonction de protéger le bâtiment contre son environnement.
Peau : enveloppe extérieure qui englobe un tout.
Peau : Enveloppe protectrice, exposée à l’extérieur.
Peau : Rapport direct avec l’extérieur. La peau d’un bâtiment délimite le lien entre l’interne et l’externe, mais n’englobe pas forcément tout le bâtit, du moment que la limite est clairement définit.
Peau : utilisation de différents matériaux en parement de façade, (ensemble d’éléments disparates). Une peau définit un «caractère» de zone a savoir public, semi privé, privé .
PÉDIATRIE : «La pédiatrie est une branche spécialisée de la médecine qui étudie le développement psychomoteur et physiologique normal de l’enfant»
Peer-to-peer : Mode d’échange de particulier à particulier ou l’un met à disposition son savoir, son matériel et ou d’autres viennent solliciter un prêt. Cependant un tel système garanti le contrôle du prêteur sur les biens .
Pensée : ensemble des processus par lesquels l’être humain au contact de la réalité matérielle élabore des concepts, les relie entre eux et acquiert de nouvelles connaissances.
Pensée singulière : ensemble des opinions, des idées d’une personne.
Pente : Proportion entre la distance parcourue verticalement et la distance horizontale nécessaire. La pente s’exprime donc en %. Une pente de 100 % correspond à un angle d’élévation de 45°.
PER : Plan d’établissement des risques.
Percement : Espace ou surface sur lequel on a enlevé de la matière.
Perception : l’espace qui nous entoure n’existe que par ce que nous le percevons.
Péremptoire : tranchant, décisif, qui ne peut être contredit.
PÉRENNE : Qui ne s’arrête pas. Qui dure. En construction, bâtiments solides qui traversent l’histoire et les modes sans se dégrader et sans perdre son utilité.
Pérennité : caractère de ce qui dure très longtemps.
Perforation : Percement(s) de petite taille.
Périphéries : Territoire limite de l’espace urbain, lieu d’évolution et d’expansion de la ville. Territoire flou en bordure de la ville. Ses limites sont difficilement définissables du fait de cette particularité d’évolution et d’expansion.
PéRIURBAIN : situé au voisinage immédiat d’une ville.
Périurbain : situé aux abords immédiats d’une ville, les commerces en périurbain.
Perméabilité : qui se laisse traversé ou pénétrer. Qui se laisse atteindre
Perméable : élément poreux, qui laisse passer, transpercer, transparaître, les éléments extérieurs comme l’eau, le vent, le soleil…… La tour est ouverte au soleil au vent aux intempérie, ses parois ne sont pas étanchées, c’est une zone de transition entre extérieur et intérieur .
Perméable : qui laisse rentrer ce qui est à l’extérieur.
Perméable : une architecture perméable de est capable d’absorber autant que d’émettre.
Personne : Homme ou femme
Personne : Homme ou femme. L’homme en tant qu’être moral : la morale repose sur le respect de la personne humaine. L’être, le corps, la vie de quelqu’un.
Perspective : D’après Eisenman, C’est une demande de l’œil et de l’esprit pour pouvoir s’orienter dans l espace architectural. Vision construite par l’esprit.
Perspective : Technique de représentation de et dans l’espace en fonction de lignes de fuite.
Perspective : vue contenant des lieux proches et éloignées, susceptible d’émouvoir.
Persuasion : dans l’architecture de communication, fait de convaincre le passant à l’aide de symbole.
Perte de repère : incohérence des repères perçus.
Perte de temps : faire quelque chose sans aucun but ni aucune rentabilité, se dit d’une action qui ne débouche sur rien.
Pertinence : qualité de ce qui est pertinent.
Perturbation : bousculer, interrompre l’habitude de, dévier de, modifier.
Perturbation + Flux : attirer le passant, le dévier de son trajet habituel.
Peter Eisenman : Rompre avec le rationalisme industriel Faire de l’architecture «moderne» aujourd’hui, pour Eisenman, n’a plus de sens. C’est de l’ordre du simulacre au sens de Baudrillard, «un signe commence à se reproduire ou à «simuler» une fois que la réalité qu’il représente est morte». car le système de valeurs représenté n’a précisément plus de valeur. «Les volumes platoniciens avec lesquels travaillait Le Corbusier ne sont plus adéquats pour rendre compte des phénomènes actuels. La symétrie n’est plus capable de dire ce que sont nos rapports à l’environnement, ce sont des choses du passé» écrit Eisenman. Pour Peter Eisenman, l’architecture n’est donc plus réductible à un ordre issu de la rationalité des sciences ou issu de l’imitation de l’ordre de la nature. Cette «déconstruction» s’appellera «décomposition» chez Eisenman et prendra assez vite l’aspect d’une contestation des modes traditionnels de conception et de réception de l’œuvre architecturale. Ce processus de décomposition entend déstabiliser trois relations. D’une part celle entre l’architecture et son système de représentations, ses signes. D’autre part celle entre l’objet architectural et le processus de conception, enfin la relation ultime entre l’architecture et l’homme.
Peur : État mental causé par la manifestation d’une donnée inconnue, que l’on ne maîtrise pas.
Phagocyté : 1. détruire par phagocytose : «les globules blancs phagocytent les bactéries». 2. absorber et neutraliser à la façon des phagocytes.
Phagocyte : du grec «phagein» : manger et «kutos» : cellule, cavité. Cellule de l’organisme capable d’effectuer la phagocytose.
Phagocytose : processus par lequel certaines cellules absorbent les particules étrangères puis les digèrent (processus de défense de l’organisme).
phallocentrisme : d’apres Diana I Agrest, les femmes assimilent le sexe comme un rapport de force. Supériorité de l’homme
Phare : repère sécurisant.
PHASAGE : «Taches, et/ou conditions à remplir avant d’appliquer les programmes sous forme de phase».
Phasage : le phasage a pour but d’organiser l’intervention de tous les corps de métier les uns après les autres tout en minimisant l’impact des travaux sur l’environnement extérieur.
Phase : Chacun des aspects successifs sous lesquels apparaissent la Lune et certaines planètes au cours d’une révolution synodique, selon leur position dans l’espace par rapport à la Terre et au Soleil.
Phénomène : Ce qui apparaît, ce qui se manifeste aux sens ou à la conscience (C. N. T. R. L. ).
Phénoménique : Qui concerne les phénomènes ou qui appartient à la catégorie de l’expérience, du monde sensible (C. N. T. R. L. ).
phénoménologie : Correspond aux phénomènes observés, à leurs relations intrinsèques ainsi qu’à leurs réactions vis-à-vis du contexte donné.
PHÉNOMÉNOLOGIE : étude philosophique des phénomènes, qui consiste essentiellement à les décrire et à décrire les structures de la conscience qui le connaît.
Phénoménologie : Science de l’étude des phénomènes. Philosophie qui consiste à comprendre l’essence des choses par la conscience. Tout d’abord pour Fichte, c’est la doctrine de l’apparition, dans le concept, ou la phénoménalisation, du savoir absolu (le savoir du savoir). La phénoménologie est une partie essentielle de la doctrine de la science parce que sans elle, le savoir absolu n’aurait pas d’existence. Décidé à dépasser l’interdit Kantien de connaître les choses en elles mêmes, l’en soi, Hegel publie l’ouvrage dialectique «Phénoménologie de l’esprit». Kant montré qu’il n’est pas possible d’accéder aux choses mais que l’homme ne pouvait en avoir que des représentations. Hegel cherche à démontrer le contraire en s’appuyant sur la dialectique : chaque connaissance permet de voir naître une autre connaissance qui, sous un aspect contradictoire, est en fait le prolongement de la première. Il prend ainsi la métaphore de la fleur qui est à la fois la négation du bouton et son prolongement, de même pour le fruit vis à vis de la fleur. La pensée de Hegel aura beaucoup d’influence au XIXème, notamment sur . Husserl soutient qu’il est impossible de dissocier l’objet et la conscience, car cette dernière est toujours «conscience de quelque chose». Dans son analyse, l’objet ne provoque pas une simple représentation imaginaire dans la conscience, mais y fait bel et bien surgir toute une subjectivité liée à un vécu, à une expérience. Pour Martin Heidegger la vision phénoménologique d’un monde d’êtres doit être déviée vers l’appréhension de l’Être en tant qu’être, comme une introduction à l’ontologie mais qui reste une ontologie critique face à la métaphysique. C’est la «phénoménologie existentielle».
photoshopus grimpus : plante cybernétique, qui pousse toute l’année et dans tous les climats, applicable par tampon sur n’importe quelle matière, elle ne nécessite aucun entretien.
Physionomie : (latin physiognomia, du grec phusiognômonia) Ensemble des traits du visage ayant un caractère particulier et exprimant la personnalité, l’humeur : Une physionomie renfrognée. Ensemble des caractères, des aspects particuliers qui distinguent une chose d’une autre : La physionomie de Paris a changé. Allure générale, grandes lignes d’un processus, d’un phénomène : La physionomie du scrutin a été connue dès 20 heures.
Phyto : grec : plante / remedium : latin : rétablissement de l’équilibre
Phytominage : récupération des métaux dans les plantes dépolluées.
Phytoremédiation : est la dépollution des sols, l’épuration des eaux usées ou l’assainissement de l’air intérieur, utilisant des plantes vasculaires, des algues (phycoremédiation) ou des champignons (mycoremédiation), et par extension des écosystèmes qui supportent ces végétaux. Ainsi on élimine ou contrôle des contaminations. La dégradation de composés nocifs est accélérée par l’activité microbienne.
Phytoremédiation : utilisation des plantes (et écosystèmes) pour la dépollution des sols, récupération des eaux usées, assainissement de l’air intérieur.
PHYTORESTAURATION : exposition à la lumière de cellules irradiées par l’ultra-violet entraînant une augmentation de la fraction des cellules survivantes.
PIC de la MIRANDOLE : «on ne peut rien voir de plus admirable dans le monde que l’Homme» (De dignitate hominis).
Pickle : boite de conserve : référence a la culture populaire américaine cf (Andy Wahrol boite de soupe Campbell) – boite contenant produit comestible pouvant être conservé jusqu’à une date de péremption éloigné si il n’y a pas eu ouverture de la boite.
Pièce : Donner un fonction a un espace.
Pièce : espace muré ou cloisonné.
Pièce : lieux dédié a une ou plusieurs fonctions.
Piéton : personne qui va à pied, par rapport à celle qui est motorisée.
PILOTIS : «Les pilotis désignent l’ensemble de pieux traditionnellement en bois enfoncés dans le sol et destinés à soutenir une construction hors de l’eau ou au-dessus».
Pittoresque : «On a vu qu’au XVIII e siècle, l’influence du jardin sur la ville, se concrétise à l’échelle du site. Depuis les promenades publiques jusqu’aux plans d’embellissement, les compositions végétales régulières se multiplient en périphérie de la ville. Dans le même temps se développent les théories du pittoresque qui s’opposent parfois violemment aux règles classiques du XVII e siècle. On sait l’influence décisive des peintres paysagistes, celle d’Hubert Robert notamment ; «ce peintre assemble et dispose sous l’aspect favorable à son attention les objets qu’il choisit dans la nature», commente Watelet mais, si la composition d’un tableau est figée, «le spectateur des scènes pittoresques d’un parc au contraire en change l’ordonnance en changeant de place…On a donc plus de raisons d’appeler scènes théâtrales que tableaux les dispositions méditées dont on embellit les nouveaux parcs». Le jardin se met à l’heure du naturel, de ‘artifice et de l’émotion. Il constitue un vaste champ d’expérience où se développent les projets et les réalisations les plus novatrices et les plus fantaisistes. La nature «imprègne le jardin urbain», dans les parcs botaniques, on découvre les herbes, on admire les essences rares et exotiques ; dans les propriétés privées se développe un art de la mise en scène très élaboré : grottes, fabriques, cabinets, cascades et passerelles entretiennent l’illusion de fusion avec l’ordre ou peut être davantage le désordre naturel. On développe ces artifices de rêve dans les parcs de loisirs de l’époque, Vauxhall et guinguettes : on exploite les répertoires de l’enchantement pour la mise en scène des grandes fêtes civiques de la fin du siècle.» Caroline Stefulesco, L’urbanisme végétal, page 118.
Pixel : Espace, zone.
Pixel : le zoom intense d’une image laisse apparaître les pixels, composants par accumulation de la photo. C’est cette accumulation d’idées, matérialisé par les pixels, qui composent l’architecture.
PIXELISATION : définir le plus petit élément d’une image en couleur considéré comme unité, le pixel.
Pixelisation : système composé de forme similaire créant un effet grâce à son assemblage, à ses couleurs et peut être sa superposition.
Pixelisation : moyen de rendre flou suivant la distance d’observation, nouvelle inspiration pour les architectes pour les revêtements de leurs projets.
place : 1. Espace occupé part quelqu’un ou quelque chose : meuble qui prend beaucoup de place 2. Emplacement occupé par un voyageur : réserver un place dans le train. 3. Rang obtenu dans un classement : avoir une bonne place dans une épreuve. 4. Charge fonction occupée : prendre sa place 5. Large espace découvert dans une agglomération : faire le tour d’une place
Place : lieu de passage commun favorisant rencontre, mélange, partage, … .
Place publique : Espace public dont la position urbaine est généralement centrale et dont la fonction est d’accueillir le public. C’est un lieu de rencontre, d’échange.
PLACET : (latin il plait) Demande par écrit pour obtenir justice, solliciter une grâce ou une faveur.
Plaisir : C’est la pratique de l’espace, il se produit lorsque l’architecture est démantelée et privé de ses règles. C’est un sujet anachronique ou simultanéité et contradiction participe au profond hédonisme de la culture
Plaisir : Émotion, sentiment de satisfaction. Avoir du plaisir lors de la création d’un projet est essentiel.
Plaisir : état de contentement qui crée chez quelqu’un la satisfaction d’un besoin, d’un désir…
Plaisir : Sentiment que toute personne se doit de viser dans tout ce qu’il entreprend.
Plan d’epanelage : document graphique qui définit l’enveloppe des volumes susceptibles d’être construits.
PLANTES CERATOPHYLLUM : «Ceratophyllum est un genre de plantes de la famille des Ceratophyllaceae».
PLANTES HYDROPHILES : Plantes adaptées adaptée aux milieux très humide.
Plastique : qui a le pouvoir de donner la forme. Relatif à l’art de donner une forme esthétique à des substances solides.
PLATEAU : c’est un plan polygonale ou ayant une forme aléatoire il peut être avec des formes courbes ou des droite. Ses fonctions peuvent être diverses comme couvrir, supporter et il est possible de l’aménager le tout donne une ambiance, un effet.
Plateau : plan pouvant avoir divers formes et pouvant avoir divers fonction comme couvrir, supporter, soutenir…
Plateau : Surface plane, horizontale et indépendante.
Plateaux : grande plaque complète horizontale.
Plateaux : grande plaque complète horizontale. Éléments similaires pouvant changer de configurations selon les besoins et fonctions. Parties servis du projet.
Plateaux : plans horizontaux disposés différemment spatialement
Plateaux : Plateaux ou plateforme, support ou encore sol; les différents niveaux s’ouvrent sur des terrasses, les plate formes se prolongent.
Plateaux : Structure, surface servant de support ici au atelier.
Plateaux : Système de strates qui divisent l’espace construit.
Plateaux/Plates-formes : répartition horizontale de plusieurs éléments.
Plate-forme : Surface plane plus ou moins exiguë, raccordée par des passerelles à l’élément principal.
Plates-formes : plateaux définis sur z.
Plein : espace entièrement occupé.
Plein/vide : alternance entre la présence et l’absence de matière
Plein/vide : matière et absence de matière.
Plein/vide : notion fondamentale en architecture, puisque c’est la présence ou l’absence de matière qui crée le rythme, la fréquence mais plus généralement l’harmonie esthétique du bâtiment mais aussi ses jeu d’ombre et de lumière ;souvent lié aux percements de l’édifice cette structure ajouré offre des rapports de plein et de vide aléatoire et des jeu d’ombre et de lumière dynamique.
Plein/vide : opposition entre matière et absence de matière, liberté et occultation visuelle.
Pliage : Création de plusieurs plans en rabattant un plan sur lui-même selon une droite.
PLU : Plan local d’urbanisme.
Plug and Play : Achetez, déballez, fixez, profitez !
Plug and play : Espace, zone. Possibilité de rajouter ou enlever des espaces, de les connecter au bâtiment mère.
Pluralisme of need : pluralisme des besoins : fait qu’il y a différente sorte de besoin dans un même projet architecturales, ses besoins varient en fonctions usagers de ce projet, a l’exemple des revenus, du type de famille, du mode de vie… Différents besoins en fonction des différentes envies.
Pluralité : être multiple mais sans ressemblance.
Plus : plus y’en a moins, moins y’en a plus ! À rapprocher de l’adage souvent proféré par les juges aux prévenus : «moins vous êtes cru, plus vous êtes cuit !»
Poésie : art d’évoquer les sensations, les impressions, les émotions les plus vives en particulier par les vers.
Poète : rêveur, idéaliste, songeur
Point cardinal : une des quatre principales directions d’une boussole sur un plan : NSEO
Polarisation : Le centre ancien des agglomérations n’assure plus qu’un nombre limité de fonctions car les structures urbaines sont de plus en plus multipolaires. Mais il est nécessaire de polariser mieux encore l’espace métapolitain pour bénéficier d’économies d’échelle et de transports et pour axialiser, autant que possible, les déplacements. François ASCHER, Les nouveaux principes de l’urbanisme, édition l’aube poche, page 236
POLDER : «Un polder est une étendue artificielle de terre dont le niveau est inférieur à celui de la mer»
Pôle : Partie du tissue urbain que l’on délimite par rapport aux fonctions des bâtiments.
Politique de la ville : politique de réhabilitation des grands ensembles envisagée au sens large (social+ spatial + insertion dans la ville)
POLLUTION : «La pollution désigne la dégradation d’un biotope par l’introduction, généralement humaine, de substances chimiques ou organiques».
Pollution : Les premières grandes pollutions semblent avoir été induites par la révolution industrielle. La pollution désigne la dégradation d’un biotope par l’introduction, généralement humaine de substances chimiques ou organiques, gênes ou radiations altérants de manière plus ou moins importantes le fonctionnement d’un écosystème.
pollution : re-fabriquer la Nature «Là encore la relation nature et technologie peut s’avérer paradoxale. Plusieurs phases de traitement sont néces saires pour purifier une eau usée. Une des étapes, le traitement biologique, consiste à mettre en contact l’eau et une culture de bactéries qui, privées d’oxygène, absorbent et dégradent la matière organique en suspension dans l’eau.» AA’E Archibooks, Construire l’environnement ?, page 63
Polymorphisme : capacité à prendre diverses formes en fonction des nécessités.
Ponctuation : Action, manière de ponctuer, de marquer les divisions d’un texte, les phrases d’exclamations, de gestes. Système de signes graphiques servant à marquer les pauses entre phrases ou éléments de phrases, à noter certains rapports syntaxiques, à traduire certaines nuances affectives. Ouverture, ronde ou en fente transversale, de la paroi des cellules végétales lignifiées, permettant des échanges chimiques entre cellules voisines. Art ou manière de ponctuer un morceau de musique.
Ponctuation : structure l’espace-temps.
Pont : ouvrage par lequel une voie de circulation franchit un cours d’eau, une voie de circulation ou une dépression.
Pont : Pont, on relie deux territoires le projet en lui même et la place qui s’ouvre devant lui .
PONTON : pont flottant.
pop lanDscapes : paysages populaire : site de construction de l’ architecture pop a la différence de paysages servant essentiellement de décor . Constitue une des rares trace contemporaines de l’aspect symbolique et communicatifs de l’architecture. Paysage considérés comme populaire, lié a la culture populaire .
Populo : bas peuple, foule.
Porosité : état de ce qui est poreux. Ensemble des interstices d’une roche ou d’un autre matériau.
POROSITÉ : état de ce qui est poreux. Pour un produit ou un matériau : rapport du volume des vides au volume total. Poreux : qui laisse le liquide passer par les pores.
Porosité : État de ce qui est poreux. Rapport du volume des espaces du sol non occupés par des éléments solides au volume total du sol.
porte : «Les portes se distinguent de toutes les composantes ordinaires du paysage. On les remarque, on les cherche, elles balisent notre regard. On sait qu’on devra en passer par là. Les portes coïncident avec les limites et fonctionnent stratégiquement avec elles. Une porte seule, dans le vide, apparaît comme le point unique du franchissement. Passage approprié, naturel ou tactique. Désormais enfouie sous le sable, l’enceinte invisible du temple de Denderah se révèle à l’émergence d’une porte épargnée par la ruine, ouvrant sur le désert. Le désert est partout, c’est pourtant là qu’il commence. La porte le dit. Elle forge un territoire mental dont nul ne peut franchir les limites sans éprouver un sentiment de transgression. Les portes organisent l’espace et marquent le temps. L’incitation au passage oblige ensemble le corps et l’esprit. L’un s’acquittant du mouvement, l’autre du sentiment d’accéder à l’inconnu.»
porte : … Bis Repetita «Il y a des portes que les hommes et les chiens se frayent à travers l’épaisseur d’une végétation. Elles sont marquées par un usage à la fois indiscutable et surprenant, à la manière des sentiers bibliques où marchent encore les ânes de Palestine. On ne comprend pas d’emblée leur existence parce qu’elles semblent percer le vide entre les sources invisibles d’une préci pitation. On est seulement surpris par la trace d’une urgence ou celle, plus évidente, d’une obstination. On peut s’engager sur les chemins qui les traversent. Et mesurer ainsi l’ampleur d’une routine (petite route habituelle) dont on ignore tout. Les portes végétales partagent avec celles que l’on construit à dessein l’essentiel d’une fonction jugée depuis toujours géographiquement correcte. Oui c’est bien ici que l’on passe au plus court, au plus commode. Ce trou dans la haie, cette «porte», correspond à la meilleure façon d’atteindre le versant inconnu du chemin, l’autre côté. Cependant la végétation sollicite un marquage attentif. Si par hasard, les hommes et les chiens ne venaient plus y passer, l’herbe envahirait les sentes se refermeraient et bientôt, avec la pluie et le vent, les Parfums d’urine serraient dissous et les bois lustrés que les mains agrippent retrouveraient la rugosité d’un liège épais. La nature offre peu de cicatrices durables sauf, peut être, dans les déserts abandonnes par elle, là où les éléments s’organisent pour conserver à nos yeux l’image immuable d’une porte dont l’usage oublié, ou purement imaginaire, s’érige, monumentale, en mythe.» Portes végétales du livre de Gilles Clément, Les Portes, page 16
Porte : lieux de passage, d’échange entre pièce, espace de transition, espace tampon.
PORTE A FAUX : «Une installation est dite en porte-à-faux lorsqu’un élément est soutenu par une partie qui est elle-même au-dessus du vide».
POS : Plan d’occupation des sols.
POSER : Placer, atterrir. S’inscrire dans un site sans s’y intégrer.
Positionnement : Action de se placer à un certain endroit, afin de mieux cadrer. Se positionner de diverses manières, à différents endroits pour voir ou ressentir différentes choses .
Positionnement : placement qui se veut réfléchi et cohérent avec le lieu d’implantation.
POST-FONCTIONNALISME : une dialectique entre les typologies humanistes et la fragmentation des formes. Le Post-fonctionnalisme ne signifie pas que le bâtiment ne doit pas avoir de fonction, mais que la forme ne doit pas nécessairement représenter la fonction.
POST-MODERNISME : Courant architectural caractérisé au premier abord par le retour de ; l’ornement, de la composition hiérarchisée, des symétries, et de références aux ordres d’architecture
Post-modernisme : mouvement artistique mêlant formes préexistantes, pastiche, parodie et humour.
Posture : La posture que l’architecte adopte face aux situations de la vie détermine l’architecture qu’il va produire (Lipsky & Rollet 2009).
POSTURE : maintien du corps.
POUILLON : «Tout artiste agissant, a, dans sa mine de plomb, son pinceau, son burin, non seulement ce qui rattache son geste à son esprit, mais à sa mémoire. Le mouvement qui paraît spontané est vieux de dix ans ! Trente ans ! Dans l’art, tout est connaissance, labeur, patience, et ce qui peut surgir en un instant a mis des années à cheminer» Les pierres Sauvages.
Pouvoir : L’une des trois trinités (sex / money / power) qui fait croire que l’homme à une position sociale importante
PPR : Plan de prévention des risques.
Pragmatique : qui considère la valeur concrète des choses, la pratique.
PRAIRIE : terrain enherbé qui peut être pâturé par le bétail ou fauché afin de conserver l’herbe sous forme de foin d’ensilage.
Praxis : En philosophie, terme désignant l’activité transformatrice en tant qu’elle est relativement distinguée de la théorie. Activité en vue d’un résultat, opposée à la connaissance d’une part, à l’être d’autre part .
Pré verdissement : plantations effectuées bien avant que les constructions ne soient livrées pour offrir des espaces verts prêts à l’usage.
Pré-babelienne : avant la confusion des langues, punition divine de la mégalomanie d’un dictateur fou, l’humanité travaillait en commun. Se
PRÉBENDE : Revenu attaché à un titre ecclésiastique (chanoine). Revenu attaché à une situation lucrative.
Précarité : état de ce qui est précaire, c’est à dire qui n’offre aucune garantie de durée, qui est incertain, sans base assurée, révocable.
Précision : On a pensé de préciser les formes géométriques entourées le site et la commercialisation. Ça nous a donner une solution de l’intériorité et l’extériorité.
présence : (idem) matérialisation physique ou psychique de la réalité
présence : 1. Fait, pour une personne, une chose, de se trouver dans un lieu : faire acte de présence. 2. Fait de s’imposer par son talent, sa personnalité : avoir de la présence. En présence (de quelqu’un, de quelque chose) : ceux-ci étant présents, présence d’es prit : promptitude à dire ou à faire ce qu’il faut.
Présence : agent de la réalité
Priorité : antériorité dans l’ordre du temps, priorité de date, droit, établi par des règlements de passer avant l’autre.
Prisme : polyèdre dont les bases sont 2 polygones égaux aux côtés parallèles. Les faces latérales sont des parallélogrammes (aspect). Jeu de lumière, décomposition de la lumière.
Privé : sans fonction public ex : homme privé relatif à un simple particulier, intime : la vie privée
Problématique : dont l’existence, la vérité, la réussite est douteuse, qui fait problème. En philosophie, chez KANT, proposition qui exprime une simple possibilité : jugement problématique.
Processus : Ensemble d’activités corrélées ou interactives qui transforment les éléments d’entrée en éléments de sortie (norme iso 9001 : 2000). Ces éléments sont soit des objets matériels (perçus comme des flux logistiques à des fins d’évaluation) soit des informations (voir processus pour le système d’information dans ce cas), soit les deux. L’approche d’un processus permet d’identifier et de maîtriser les interfaces entre les différentes activités. L’utilisation d’une approche peut conduire à élaborer une cartographie des processus qui permet de représenter à travers les liens entre les différentes unités.
PROCESSUS SOCIO-SPATIAL : mouvement de transformation des rapports sociaux à l’espace et à la nature supposant un projet de meilleure habitabilité du territoire
Procréer : donner vie
Profiteur(se) : «celui ou celle» qui tire profit d’une situation de par son implantation, son positionnement ou son orientation.
Profondeur : distance du fond par rapport à la surface, à l’ouverture. L’une des trois dimensions d’un solide. Ou grand savoir, grande pénétration d’esprit : profondeur des idées ou impénétrabilité : la profondeur des mystères.
Programme : énoncé par le maître d’ouvrage des caractères et des fonctions précises auxquels un édifice projeté devra répondre.
Programme : Liste de tâches à accomplir
Programme court : formule de laverie où le linge est lavé à l’eau tiède simplicité et efficacité.
Progressif : Caractère évoluant au fil du temps et/ou de l’espace selon une transition douce.
Projet : mise en pratique de l’égoïsme
Projet : Réponse à une consigne architecturale, à une fonction et à un site puis à un concept
Projet : Un projet est une architecture en devenir dans la tête de son concepteur (Lipsky & Rollet 2009). «L’édifice est la représentation du projet qui l’a précédé.» (Boudon 2003).
Projet urbain/projet d’aménagement : Le projet urbain est un outil de maîtrise de développement des villes : il propose un cadre d’action à grande échelle ; il ne se substitue pas aux outils traditionnels de la planification mais les mets en cohérence transversalement et constitue un document de référence pour tous les acteurs de la «ville». Le projet d’aménagement décline sur un site donnée l’articulation /programmation urbaine, organisation d’ensemble de la «ville», aménagement foncier ; définit les conditions d’implantation d’un programme déterminée : règles d’occupation du sol, traitement des espaces publics.
Promenade : «Qui dira assez la beauté de Paris en toutes saison, pendant les dimanches d’été, les nuits d’hiver quand les rues redeviennent sauvages, des routes. Aucune ville au monde n’est bâtie comme elle l’est avec se luxe inouï d’espaces clairs. Toute une partie est à l’égal de Versailles dans la répartition des monuments. C’est en été que le fleuve apparaît dans sa pleine beauté, avec ses ombrages, ses jardins, les grandes avenues qui en partent ou qui longent, les pentes des collines douces qui surplombent de partout, de l’Etoile, de Montmartre, de Belleville. Le plat de la ville n’est qu’au Louvre suite à la Concorde. Et dans les îles.» Marguerite Duras, La vie matérielle, Folio page 57
Promenade : Action de se promener ; trajet fait en se promenant : Faire une promenade à la campagne. Lieu aménagé dans une ville pour qu’on s’y promène : La promenade des Tuileries. Lieu en dehors d’une ville où l’on peut aller se promener : Il y a, dans cette forêt, de jolies promenades.
Promenade : action de se promener. Lieu aménagé pour les promeneurs.
Promenade : action de se promener. Lieu aménagé pour les promeneurs «promenade des anglais à Nice»
Promenade : fait de se promener. Suivre un itinéraire, ou marcher sans but.
PROMENADE ARCHITECTURALE : «Promenade ou voyage à travers la visite d’une oeuvre architecturale utilisé comme un dispositif de révéler l’âme du bâtiment».
Promenade verte : Coulée verte, espace vert aménagé et protégé dans le cadre d’un plan d’urbanisation. Vocation de corridor biologique, élément d’un réseau écologique, réseau de déplacement doux.
Promiscuité : Assemblage d’individus très différents dont la réunion à un caractère très disparate ou au contraire aux biens séance promiscuité du voisinage
Promiscuité : la notion de promiscuité désigne la proximité physique d’êtres vivants dans leur environnement, elle peut être le facteur de stress ou d’épidémie.
propice : «(… ) : la sédentarité, par les besoins accrus qu’elle entraînait, aurait fini par conduire les groupes natoufiens à défricher et à semer. L’idée que les natoufiens aient été plus ou moins sédentaires a d’abord été largement acceptée. Elle a même été généralisée par rapport aux propositions initiales de Perrot. En travaillent sur ce thème, les théoriciens ont fait valoir que la vie sédentaire a probablement levé les contraintes qui forcent une population mobile à espacer les naissances. D’où multiplication des hommes. De là des besoins grandissant auxquels on aurait tenté de répondre en intensifiant la chasse et la cueillette. Puis les groupes auraient dû se scinder quand leur territoire n’aurait plus été en mesure de les nourrir. De cette façon, des terres de plus en plus marginales auraient été colonisées où il aurait fallu implanter des céréales qui n’y poussaient pas à l’état naturel. Ainsi seraient nés les premiers champs.» François Valla, L’homme et l’habitat, page 25
Proportion : rapport d ‘échelle équilibré, dépend de l’échelle déterminée. Cet élément est bien proportionné, ça dépend par rapport a quoi .
Proposition : donner la possibilité de, offrir, peut être un partage. Un projet propose, ici, une interaction avec un monde asiatique issu de la culture manga. Mais proposer n’est pas imposer.
Propre : net sans tache et soigné .
PROSPECTIVE : Étude des causes qui accélère l’évolution de l’architecture dans le monde moderne et ses conséquences à plus ou moins long terme.
protecteur : élément provoquant le sentiment de sécurité
Protection : Action de protéger, de défendre quelqu’un contre un danger, un mal, un risque
Protection : la meilleure façon de protéger le patrimoine, c’est de le renouveler. Le bâtiment renferme les données liée au patrimoine architectural dans la bibliothèque et dans la photothèque; il se renouvelle dans les ateliers, les bureaux, la salle de conférence et la salle d’exposition.
Protection : La protection du bruit… La protection du flux des gens… La protection de l’environnement. . Protéger l’intimité…
Protubérance : amas ponctuel de matière tendant à déformer un objet . Les protubérances sont dans notre cas formées par le végétal ;c’est lui qui assure une certaine déformation de cette objet paraissant, sans cela, trop rigide.
Proverbe chinois : «Le paysan prie qu’il pleuve, le voyageur qu’il fasse beau et les Dieux hésitent.»
Proxémie : Mot forgé et popularisé par E. T. Hall pour désigner une branche nouvelle de l’ethnologie, qui étudierait prioritairement la manière dont l’homme, dans les diverses sociétés structure inconsciemment son micro-espace. Il ne s’agit pas seulement la façon dont l’homme se situe (écarts) dans les rencontres quotidiennes mais aussi d l’organisation de l’espace domestique ou de travail.
proximité : disposition très rapprocher de deux espaces .
Proximité : non loin l’un de l’autre – position très rapprochée.
Proximité : voisinage immédiat, du latin proximus=proche
Proximité : voisinage, être prêt de, facile à accéder.
Public : en sociologie le public désigne l’ensemble des personnes qui s’intéressent à une œuvre intellectuelle, littéraire, artistique.
Public/Privé : accessible à l’ensemble de la communauté/ empêcher quelqu’un de posséder un lieu.
Public/Privé : Distinction d’espaces ouverts à tous, et d’espaces réservés (ex staff, vip… )
Public/Privé : espaces réservés au privé ou au public
Publicité : diffuser une information, faire connaître à tous, un événement, un fait.
Publicité : Publicité, l’environnement du projet est considéré comme agressif car il est surchargé d’informations.
PUIT ARTÉSIEN : «Un puits artésien est un puits où l’eau jaillit spontanément»
Puit de lumière : dispositif architectural visant a capter, canaliser et diffuser la lumière.
Pull de grand-mère : jeux de techniques, de textures, de formes et de couleurs, rassemblés autour d’un même objet.
Pull de grand-mère à motif : Assemblage de tressage de différentes couleurs, définissant un dessin (voir pixel).
Pureté : But expressif . Sans superflus
Pyramide : nature de l’espace, la dématérialisation de l’architecture, elle est un fond, c’est la preuve du pouvoir de l’architecture et de ses limites. C’est toutes les catégories identifiable des entités et de leur concepts mais dans le vide de la connaissance conceptuelle.
PYROTECHNIQUE : «Science de la combustion des matériaux et de ses effets».

QUADRILLAGE : Disposition en carrés contigus, généralement utilisé dans la création des villes pour implanter les rues et les parcelles constructives (camp romain, bastide, New York).
Quartier : division administrative ou géographique d’une ville
Quartier : division administrative ou géographique d’une ville; exemple à N. Y. : Manathan, Bronx, Queens, à Paris : le Latin, le Marais, Défense.
Quartier : Partie d’une ville. Cantonnement
Quartier : Un morceau d’un tout.
Quartier : un quartier est une division administrative ou géographique d’une ville. Secteur, partie d’une ville.
Questionnement : fait de s’interroger.
Questionnement : réflexion face à une situation.
Quidam : l’inconnu. L’usager (ou vecteur) anonyme de la ville. Une force fluctuante et incertaine de déplacement et de dérive.
Quotidien : «Je le répète. Il faut le répéter beaucoup. Le travail d’une femme, depuis son lever jusqu’à son coucher, est aussi dur qu’une journée de guerre, pire que la journée de travail d’un homme, parce qu’elle, doit inventer son emploi du temps conformément à celui des autres gens de sa famille et de ceux des institutions extérieures.» Marguerite Duras, La vie matérielle, Folio page 57
Quotidien : De chaque jour.

Râler : produire des râles d’agonie, protester, grogner. «L’essentiel, c’est de râler, ça fait bon genre» Mélodie en sous-sol 1963 Henri Verneuil dialogue Michel Audiard
Ramification : division d’un végétal.
Rapidité : efficacité dans la réalisation d’une action, vitesse.
rassembler : 1. Réunir mettre ensemble des personnes ou des choses. 2. Concentrer : rassembler ses idées
RATIO : Rapport entre 2 grandeurs.
RATIONALISME «éclairé» : «La forme implique l’architecture comme instrument de connaissance».
Rationaliser : Organiser un système de manière logique ou mathématique .
Réaction : Action d’un ensemble en réponse à un événement
Réaction : Confrontation de 2 éléments qui entraîne la naissance d’un 3ème. Le soulèvement de l’amphithéâtre par exemple .
Réaction : résultat, étonnement lors de l’entrée dans l’atrium.
RÉALISME : c’est prendre la réalité pour la transformer politiquement. Ce n’est pas imposer aux habitants un nouveau mode de vie mais leur offrir les typologies qu’ils attendent, […] ce n’est pas crée du sens incompréhensible par le plus grand nombre mais se servir du sens commun.
RÉALISME SOCIALISTE : «c’est un procédé artistique dont l’essence consiste à refléter de manière véridique et historiquement concrète, la réalité prise dans son développement révolutionnaire. Par le caractère historiquement concret et véridique de sa représentation de la réalité, il doit contribuer à la transformation idéologique et à l’éducation des travailleurs dans l’esprit du socialisme» La définition proposée par le «Petit Dictionnaire d’Esthétique» (Moscou 1965) est «créer un nouvel humanisme».
Rebois Didier : architecte DPLG. Chercheur au laboratoire GERPHAU. Secrétaire général d’Europan.
Recherche : action permettant d’approfondir ses connaissances en vue de produire.
Recomposition : un projet de bazar urbain parle de «recomposition de coeur d’îlot.» Pour ce type de travail «l’apport des habitants a été crucial pour déterminer finement les problématiques locales». Reste que dans notre cas nous devons nous en passer !
Reconversion : Donner une fonction contraire ou différente à un objet de façon à provoquer une réaction chez l’individu.
Récupération des eaux pluviales : système qui stocke les eaux pluviales pour l’utiliser après de manière collective ou individuelle.
RÉCURRENT : Qui revient en arrière, comme si le passé se répétait. Image qui reste en mémoire sur la rétine.
Recyclage : action de récupérer des déchets dans un nouveau cycle de production (recyclage des papiers et cartons)
RECYCLAGE : Procédé de traitement des déchets.
Recycler : Soumettre un produit à une opération de recyclage : Recycler du papier.
Redécouverte : Réalité acquise depuis toujours, ou une remise en question d’un jour nous fait percevoir cette réalité autrement.
Réduction : Tout objet doit être réduit à l’état de matière. Il devienne historicité et potentiel.
Référence : C’est un élément, un outil, un procédé que l’on va reprendre pour soutenir ou renforcer une thèse.
Réfléchir : penser longuement… !!!
Reflet : représentation ou image virtuelle d’un objet a travers ou part un autre.
RÉFRACTAIRE : «Qui résiste à, insoumis. Qui résiste à de très hautes températures».
Refuge : «Notre but est maintenant clair : il nous faut montrer que la maison est une des plus grandes puissances d’intégration pour les pensées, les souvenirs et les rêves de l’homme. Dans cette pensée, les souvenirs et les rêves de l’homme. Dans cette intégration, le principe liant, c’est la rêverie. Le passé, le présent et l’avenir donnent à la maison des dynamismes différents, des dynamismes qui souvent interfèrent, parfois s’opposant, parfois s’excitant l’un l’autre. La maison, dans la vie de l’homme, évince des contingences, elle multiplie ses conseils de continuité. Sans elle, l’homme serait un être dispersé. Elle maintient l’homme à travers les orages du ciel et les orages de la vie. Elle est corps et âme. Elle est le premier monde de l’être humain. Avant d’être «jeté au monde» comme le professent les métaphysiques rapides, l’homme est déposé dans le berceau de la maison. Et toujours, en nos rêveries, la maison est un grand berceau.» Gaston Bachelard, La poétique de l’espace, page 26.
Regard : «Les anciens construisirent Valdrade sur les rives d’un lac avec des maisons aux vérandas entassées les unes au dessus des autres et des rues hautes dont les parapets à balustres dominent l’eau. De sorte qu’en arrivant le voyageur voit deux villes : l’une qui s’élève au dessus du lac et l’autre, inversée, qui y est reflétée. Il n’existe ou n’arrive rien dans l’une des Valdrade que l’autre Valdrade ne répète, car la ville fut construite de telle manière qu’en tous ses points elle soit réfléchie par son miroir, et la Valdrade qui est en bas dans l’eau contient non seulement toutes les cannelures et tous les reliefs des façades qui se dressent au dessus du lac mais encore l’intérieur des appartements avec les plafonds et planchers, la perspective des couloirs, les glaces des armoires. Les habitants de Valdrade savent que tous leurs actes sont à la fois l’acte lui-même et son image spéculaire, laquelle possède la dignité particulière des images, et interdit à leurs consciences de s’abandonner ne serait ce qu’un instant au hasard ou à l’oubli.» Italo Calvino, Les villes invisibles, points, page 66
Regard : Doctrine rejetant toutes formes de vérité et de valeur intellectuelle.
Régénération : reconstitution d’une partie détruite.
Régionaliser : Tendance à favoriser les caractères régionaux, à l’autonomie des régions.
Régionalisme : politique dont l’objectif est de garantir un certain degré d’autonomie aux régions (notamment par la décentralisation). Tendance à promouvoir les intérêts, la culture, les traditions, etc., d’une région.
Régionalisme : style approprié à une région.
Régionalisme : Tendance à favoriser les caractères régionaux, à l’autonomie des régions.
Régionalisme critique : moment architectural qui consiste à prendre en compte des éléments tirés des particularités (climat, lumière, topographie) d’un endroit particulier.
Regroupement : action que réalisent plusieurs personnes en se présentant toute en un même lieu. Peu également avoir une notion plus abstrait lorsque nous traitons des idées, des convictions, des exigences…
Réhabilitation : action de rénover une habitation. Changement d’affectation d’un bâtiment ou d’un édifice à l’occasion de la réalisation de travaux.
Rehausser : Dupliquer un bâtiment, et placer le double au dessus du premier .
Rejet : refus de garder en son sein un ou des éléments extérieures.
Relativisme : notion de vrai et de faux dans chaque société
Relativisme : système analytique permettant de définir des extrêmes
RELIANCE : «Acte de relier ou de se relier».
Reliance : acte de relier ou de se relier. reliance vécue : état de reliance.
Reliance : créer ou recréer des liens / établir ou rétablir une liaison. On peut parler de mise en reliance d’espace. Opérer des reliances c’est aussi inventer de nouvelles figures.
Reliance : par le développement de liaisons, résoudre des problèmes liés à la ville.
Reliance : penser la ville dans un enjeu de système de reliances des pratiques, des gens, …
Relier : Matérialiser les flux, et venant joindre les points d’impact de façon aléatoire générant nos réseaux .
RELIURE : Lier de nouveau. Assembler coudre les feuillets d’un livre. Faire communiquer. Etablir un lien entre le présent et le passé.
Remédiation : repenser, travailler en modification plutôt qu’en destruction : remédier à une situation semble bloquée.
RÉMINISCENCE : rappel à la mémoire d’un souvenir qui n’est pas reconnu comme tel. Souvenir qui apparait à l’esprit sans que les pensées antérieures à cette apparition, ni les objets observés durant ou avant l’apparition du souvenir n’y semblent rattachés
RENATURATION : «Action consistant à rétablir les caractéristiques naturelles ou considérées comme telle dans un écosystème»
Renaturation : action consistant à rétablir les caractéristiques naturelles ou considérées comme telle dans un écosystème.
Rencontre : (de rencontrer) Fait de rencontrer quelqu’un, de se trouver en sa présence sans l’avoir cherché : Faire une rencontre inattendue. Entrevue, conversation concertée entre deux ou plusieurs personnes : Une rencontre de chefs d’État. Compétition sportive : Une rencontre de rugby. Engagement, combat imprévu entre deux détachements ennemis en mouvement : Une rencontre qui a fait deux morts. Duel, combat singulier : Convenir des conditions de la rencontre. Fait, pour deux choses, de se rencontrer, d’entrer en contact ou en collision : La rencontre de deux cours d’eau. Au billard, choc de billes venant de directions opposées.
RENCONTRE : c’est le fait pour deux choses de se retrouver en contact et de débuter des échanges.
Rencontre : hasard, circonstance qui fait trouver fortuitement une personne ou une chose, choque de deux corps, ou combat imprévu de deux troupes adverses en mouvement
Rencontre : Interaction entre plusieurs éléments, objets ou personnes.
Rencontre : Phénomène de socialisation permettant de connaître d’autres personnes et d’échanger des idées.
Rendu : Ce qui, dans une oeuvre d’art, est vigoureusement exprimé : le rendu d’un dessin, d’une photographie.
Rendu du projet : ensemble d’éléments rendus permettant une compréhension la plus exhaustive possible d’un projet.
Renouvellement urbain : réhabilitation, restructuration de la ville existante.
Rénovation : modernisation, remise à neuf.
Repère : caractérise quelque chose qui permet de ne pas s’égarer. Quelque chose de connu.
Repère : Ce qui permet de reconnaître quelque chose dans un ensemble, de localiser quelque chose dans le temps ou l’espace
Repère : Élément facilement identifiable servant à retrouver son chemin, à savoir où l’on est, à s’orienter.
Repère : élément marquant par rapport auquel il est possible de se situer.
Repère : élément permettant de se situer.
Répétition : Action de dupliquer un élément, le reproduire plusieurs fois.
Répétition : Caractère vagabond, approximation par des détours, inventions personnelles, émancipation du particulier face à la totalité. La répétition en photographie Logements au Danemark Espace Exemple, type d’espace. Faire plusieurs fois la même chose = copier-coller.
Répétition : fait de retrouver plusieurs fois un même élément .
Représentation : Fait de représenter. Image, signe qui représente. Processus par lequel une image est représentée au sens
Répression : D’apres Diana I Agrest : le corps de la femme est réprimée de la société, mise a l’écart. Manière d’empêcher la propagation d’un élément, d’une action, d’une idée, jugé néfaste.
Requalification : Nouvelle qualification. (Qualification : (latin scolastique qualificatio) Attribution d’un titre, d’une qualité : La qualification de faussaire est exagérée. Appréciation, sur une grille hiérarchique, de la valeur professionnelle d’un salarié, en fonction de sa formation initiale, de son expérience professionnelle, de la nature de son travail et de son niveau de responsabilité. Fait de satisfaire à un ensemble de conditions pour pouvoir participer à une épreuve, droit de participer à la phase ultérieure de la compétition. Détermination de la nature juridique d’un acte, d’un rapport de droit, afin de résoudre un conflit de lois ; détermination de la nature du fait incriminé et du texte qui le sanctionne. Classement des faits d’un procès civil dans les cadres juridiques qui leur correspondent.
Réseau : «Les structures sociales qui émergent aujourd’hui, à base de liens faibles et très nombreux, et entre des organisations et des individus souvent éloignés les uns des autres, sont de type réticulaire (1). La société est structurée et fonctionne comme un réseau, ou plutôt comme une série de réseau interconnectés qui assurent une mobilité accrue des personnes, des biens, des informations. C’est la généralisation de cette mobilité qui rend obsolètes les structures aréolaires (2) anciennes fondées sur des processus de «diffusion» limitée dans l’espace et sur des aires de mobilité restreintes. Cette organisation en réseaux fonde une nouvelle solidarité de fait, au sens d’un système d’interdépendances entre les individus. Après la «solidarité mécanique» de la communauté villageoise, et la «solidarité organique» de a ville industrielle, émerge donc une troisième solidarité, la solidarité «commutative» qui met en liaison des individus et des organisations appartenant à une multiplicité de réseaux interconnectés.»
Réseau : Dans le cadre de sa théorie intégrée de l’espace des sociétés, Lussault (2007) a introduit une troisième espèce d’espace qui est l’inverse de l’aire : le réseau. C’est un espace caractérisé par la discontinuité d’une métrique topologique et la connexité et non plus la contiguïté. Par ailleurs, quand l’aire «forme un tout limité, et cette limitation est constitutive de cette espèce d’espace», le réseau renchérit cet auteur «forme un tout illimité, ce qui s’avère une autre différence fondamentale» puisque le réseau est un espace ouvert, illimité certes, mais pas infini.
Réseau : dispositif spatial qui assure la circulation de matières, de biens, de personnes, ou d’informations.
Réseau : Ensemble de circulation unis par des lieux
Réseau : mise en lumière des flux, des interfaces
Réseau : multitude d’entités formant un tout.
Réseau relationnel : Ensemble des liens sociaux établis entre différentes personnes.
Réseaux : ensemble d’un certain type d’infrastructure .
Réseaux : ensembles de lignes ou de relations aux connexions plus ou moins complexes, …Certains réseaux son matériels, ils forment l’ensemble de treillage de l’espace qui assure la vie et la survie des agglomérations. D’autres sont immatériels et s’expriment par des relations et des flux, d’informations, des services, …
Résidentialisation : terme utilisé pour définir la volonté de redonner une échelle et n aspect de résidence aux parties communes des logements collectifs.
Résidu : partie qui subsiste .
Résilience : capacité à dépasser son traumatisme.
Résilience : capacité à retrouver sa forme initiale (se régénérer) ; capacité à dépasser son traumatisme.
RÉSILIENCE : Caractéristique mécanique qui définit la résistance au choc d’un matériau. Aptitude d’un individu à se reconstruire et à vivre de manière satisfaisante en dépit de circonstances traumatiques.
Résilience urbaine : recréer de la ville où il fait bon vivre ensemble sans pour autant tout démolir et reconstruire.
Respect : sentiment qui porte a traiter quelqu’un ou quelque chose avec de grands égards, une profonde déférence. Respect filial respect des lois.
Respiration : avoir un moment de calme, de répit éprouvé une sensation de soulagement
Respiration : désigne les échanges gazeux (absorption et expiration)
RESPIRATION : fonction par laquelle les cellules vivantes oxydent des substances organiques et qui se manifeste par des échanges gazeux.
Respiration : lieu de récupération personnelle.
Respiration Dans le langage courant la respiration désigne l’échange gazeux (rejet dioxyde de carbone CO2, et absorption d’oxygène O2)
Respiration urbaine : un vide communiquant, une trace du vide, une oasis, au delà des mots, un souffle en milieu urbain. Une réalisation, concrétisation du vide de fonction, mais pas vide de sens. Ouverture sur le vide, le repos.
Responsabilité : devoir de répondre de ses actes en toutes circonstances et conséquences comprises, capacité de pouvoir prendre des décisions.
Ressenti : vient de la phénoménologie, de la perception, «c’est dans l’épreuve que je fais d’un corps explorateur voué au choses et au monde, d’un sensible qui m’investi jusqu’au plus individuel de moi-même et m’attire aussitôt de la qualité à l’espace, de l’espace à la chose et de la chose à l’horizon des choses, c’est-à-dire à un mode déjà là, que se noue ma relation avec l’être» Merleau-ponty
RESSENTIR : Éprouver les effets de ce qui nous entoure.
Ressources : moyen d’action.
RÉTENTION : «Action de retenir, de réserver.»
RETENUE COLLINAIRE : Les retenues collinaires sont des ouvrages de stockage de l’eau. Elles peuvent être assimilées à des micro-barrages.
Retenue collinaire : réserve artificielle d’eau, qui peut être assimilée à un micro-barrage.
réticulaire : qualifie un élément qui renvoie à un réseau.
Retranscription : adaptation et application à une échelle différente d’une observation, d’un concept, ou d’un événement.
Réunir : Organiser l’espace de façon à favoriser la proximité de différente activité ou différent type de personne
Rêve : fait de laisser aller librement son imagination, idée chimérique.
Révélation : moment ou tous les éléments mis en corrélation prennent leur sens.
Revendiquer : Réclamer ses droits, son dû
Réversibilité : Possibilité de revenir, lorsqu’une situation ou une organisation nouvelle prend fin, à une situation ou une organisation antérieure viable.
Réversibilité : Qualité de ce qui est réversible. Caractère d’une pension, d’une rente viagère ou d’un usufruit qui, au décès de leur titulaire, seront reportés sur un autre bénéficiaire. Propriété d’une transmission de mouvement pouvant également fonctionner si on permute les rôles des éléments d’entrée et de sortie.
Réversible : qui peut revenir en arrière. Révocable, métamorphosable, mutable, changeable.
Revitalisation : redonner de la vie, de l’énergie, du dynamisme, de la vitalité.
Rhétorique : Art de bien parler, technique de la mise en oeuvre des moyens d’expression (par la composition, les figures), poétique et théorique.
Rhétorique : Fonctionne avec la structure même de l’élément, permettant une symbiose avec la chose, une «dimension amoureuse». Règles définies qui permettent une richesse dans la composition.
Rhizome : tige pérennante, souvent souterraine, allongée et horizontale, ou oblique d’une plante s’étendant habituellement à la surface du sol, ou dessous, souvent gonflée de réserves, capable de produire de nouvelles plantes à partir de ses bourgeons.
Rhizome : tige souterraine des plantes vivaces qui porte des racines adventives et des tiges feuillées aériennes
RHIZOME : tige souterraine émettant à chaque printemps des racines et des tiges aériennes.
Rhizome : Tige souterraine vivace, généralement à peu prés horizontale, émettant chaque année des racines et des tiges aériennes.
Ripisylve : forêt riveraine, du latin «ripa» : rive et «sylva» : forêt.
Risque naturel : Exposition à un événement naturel brutal et destructeur de la vie humaine et de biens matériels. Effets à moyen ou long terme : La sécheresse qui dans certain cas entraîne des famines qui apparaissent quelques mois après l’accident climatique.
RITUEL : exécuter de manière précise et habituelle. Ensemble des rites d’une religion. Ensemble des règles, d’habitudes.
Roland Barthes : «dans le mythe, l’histoire s’évapore»
Roland Castro : «Nous sommes un pays accabler par notre patrimoine l’esprit d’entreprendre n’existe pas. Nous sommes d’une culture de vielle tradition urbaine trop méfiante.» Architecte Français né le 16 octobre 1940 à Limoges
Rompre/Rupture : (latin rumpere) Littéraire, casser quelque chose d’un coup en deux ou plusieurs morceaux : Rompre un morceau de bois d’un coup sec. Enfoncer quelque chose, le faire céder sous l’effet d’une forte pression : Le fleuve menace de rompre ses digues. Faire cesser quelque chose, en empêcher la continuation : Rompre un équilibre. Interrompre des relations, y mettre fin : Rompre une amitié. Dénoncer un engagement, le considérer comme nul : Rompre un contrat. Littéraire, habituer quelqu’un à quelque chose, l’y expérimenter : Cela les avait rompus au maniement des armes. Provoquer la dislocation d’un front ennemi par une action offensive. Arrêter la fermentation d’une pâte levée en la retournant et en la fractionnant. Modifier une couleur en y mêlant sa complémentaire ou une teinte voisine de celle-ci. / : (bas latin ruptura, du latin classique rumpere, briser) Fait, pour quelque chose, de se rompre, sous l’effet d’un effort excessif ou trop prolongé ou d’un choc : Rupture d’une digue. Fait, pour un état, une action, d’être interrompu brusquement : La rupture des négociations entre deux États. Action de considérer comme nul un engagement, un acte public ou particulier : Rupture de fiançailles. Rupture des relations diplomatiques. Cessation soudaine et marquée de l’accord, de l’harmonie qui existait entre des éléments : Rupture de rythme. Fait, pour des personnes, de cesser d’entretenir des relations : Une scène de rupture. Matériaux, état à partir duquel un solide se sépare en parties disjointes. Militaire, ouverture d’une brèche dans le dispositif défensif de l’adversaire. Pathologie, solution de continuité, déchirure d’un organe qui n’est pas produite par un instrument tranchant.
Rotule : point de liaison sur lequel s’articulent deux éléments.
Route : Voie carrossable destinée à la liaison entre les localités et à la desserte des zones rurales. Les chaussées romaines étaient pavées. Les routes médiévales n’étaient pas revêtues. Depuis le XIX les routes ont été revêtues dans les pays développés. La largeur de la chaussée doit être de 5m pour les petites routes rurales, 6 à 7m pour les routes à 2 voies (pistes) de 3, 5m par piste pour les routes les plus importantes. L’emprise total 9m pour les petites routes rurales et 12m pour les routes 2 pistes.
Rowe Colin : Architecte des années 50. Né en 1920 en Grande Bretagne. Architecte et historien de l’art, mais essentiellement théoricien.
Rucher : endroit où se trouvent en ensemble de ruches.
Ruches : espace ou règne une intense activité, et ou chacun semble avoir une tache parfaitement définies .
Rue : du latin ruga, voie bordée de maisons ou de murailles. Éléments essentiels de toutes les cultures urbaines, sauf dans le cas de «villes neuves» où elles suivent le tracé romain? Les rues médiévales sont généralement sinueuses et suivent la topo. Comme en témoigne le toponyme (rue des bouchers, des fourreurs, des tanneurs, de la vannerie… ), elles sont souvent spécialisés dans les activités. La rue c’est aussi ça
Rue : Espace public qui sert de ramification
ruelles et passages : «Plus étroites que les rues, un certain nombre de voies ne jouent qu’un rôle de desserte locale (elles n’ont d’autres fonctions que de permettre l’accès aux riverains) voire de desserte secondaire (elles desservent l’arrière de parcelles traversantes ). en fait, elles constituent souvent aussi pour ceux qui les connaissent un réseau «discret» où la circulation automobile est limitée voire absente. Ces passages, sentes, venelles, ruelles, traverses, carrey-roux, traboules, allées, etc., n’appartiennent pas a tous, du point de vue juridique, au domaine public; comme autant de voies privées utilisant les mille artifices de la copropriété, ils sont d’autant plus soustraits à la continuité des espaces publics que leur accès se fait souvent par un portail, un porche sous un bâtiment, un rétrécissement qui marque sans ambiguïté leur statut. (… )» Philippe PANERAI, David MANGIN, Projet urbain, Édition Parenthèses, page 62
rues principales/rues commerçantes : «(… ) C’est oublier qu’un commerce vit non seulement de sa clientèle régulière, mais aussi de celle, occasionnelle, que lui procure l’implantation sur une voie de passage. C’est oublier que les habitants préfèrent une concentration de commerces où leur choix peut s’exercer. Cette voie de passage existe souvent avant l’urbanisation, c’est la route qui devient rue principale ou grand’ rue. Elle peut être créer en même temps, c’est la rue qui relie le nouveau quartier au centre ancien, à la gare, à la ville proche… La localisation de cette ou de ces rues dès les premiers travaux du lotissement constitue un problème important. Une ville en effet n’est pas un organisme fini, figé. Une ville nouvelle, même encore inachevée, possède déjà sa propre histoire, celle de sa construction. Intégrer les rues principales dans une réflexion qui ne porte pas seulement sur la perfection du schéma achevé mais sur sa capacité de fonctionner dès l’ouverture des premiers chantiers (avec éventuellement des installations provisoires) est un des moyens de travailler avec le temps. L’histoires des villes montre que les alignements commerciaux sont toujours situés sur les traces les plus anciens. (… )»
Ruine : (latin ruina, de ruere, faire tomber) Processus de dégradation, d’écroulement d’une construction, pouvant aboutir à sa destruction complète ; état d’un bâtiment qui se délabre, s’écroule (seulement dans en ruine) : Un château qui tombe en ruine. Édifice détruit, délabré, écroulé : Ils ont acheté une ruine à la campagne pour la retaper. Désagrégation, destruction progressive de quelque chose, qui aboutit à sa disparition, à sa perte : La ruine d’un État. État de quelqu’un, d’un groupe qui a perdu tous ses biens, tout son avoir : Un joueur qui court à la ruine. Cause de l’anéantissement, de la perte, de la disparition de quelque chose : Ce scandale a été la ruine de son avenir. Familier, personne usée physiquement ou intellectuellement : Une artiste âgée qui n’est plus qu’une ruine.
Ruine : Bâtiment désaffecté sur lequel on peut constater une effervescence de la nature qui a repris le dessus.
Ruine : bâtiment en apparente décomposition, bâtiment sur lequel la nature a reprit ses droits.
Ruissellement : action de ruisseler. Écoulement par gravité à la surface du sol.
Ruissellement : Fait de ruisseler. Écoulement instantané et temporaire, diffus ou concentré, des eaux sur un versant à la suite d’une averse (ou de la fusion nivale).
RURBAIN : relatif au développement des villages proches des grandes villes.
Rusticité : caractère rustique.
RUSTIQUE : En architecture ORDRE RUSTIQUE qui utilise des bossages bruts, d’aspect brut ou vermiculés.
Rustique : qui est champêtre, qui appartient aux manières de vivre de la campagne.
Rythme : action de répéter une action de façon périodique.
Rythme : phénomène répétitif suivant un schéma logique déterminant une cadence anticipable.
Rythme : répétition chronique. Les portes fenêtres.
Rythme : Répétition d’un phénomène. Cadence générée par un ou plusieurs éléments.
Rythme : répétition, suit une logique de composition.
Rythme : répétition, suite, succession l’utilisation de plusieurs matériaux en façade permet un certain rythme.
Rythme : succession d’élément obéissant a une logique et suivant une certaine répétition.
Rythme : Succession d’éléments forts, de pauses et de ponctuations qui permettent de mettre en cadence une architecture, une musique… de la rendre vivante.
Rythme/Rythmer : (latin rhythmus, du grec rhuthmos, cadence) Retour, à des intervalles réguliers dans le temps, d’un fait, d’un phénomène : Rythme des saisons, des marées. Élément temporel de la musique, dû à la succession et la relation entre les valeurs de durée : Suivre le rythme en dansant. Succession de temps forts et de temps faibles, mouvement dans une oeuvre littéraire, un film, etc. : Un film dont le rythme est trop lent. Cadence à laquelle s’effectue une action, un processus : Des livraisons qui continuent à un rythme normal. Ordre, équilibre d’une oeuvre plastique ou architecturale résultant de la proportion et de l’agencement de ses parties : Rythme d’une composition. Retour régulier, dans la chaîne parlée, d’impressions auditives analogues, créées par divers éléments linguistiques. En prosodie, retour à intervalles réguliers des temps forts et des temps faibles, dans un vers, une phrase musicale, etc. / : Donner à un texte un certain rythme, par le travail de l’écriture : Rythmer une strophe. Marquer le rythme d’un morceau de musique, d’un texte, etc. : Rythmer un air avec son pied. Marquer, constituer les temps qui organisent la structure interne d’une durée ; scander : Ces événements qui rythmaient sa vie.

S. I. G. : Un système d’information géographique permet l’organisation et l’analyse de données géoréférencées.
S’accorder : Avoir la capacité d’entendre et de se faire entendre.
S’alimenter (l’esprit) : étapes importante visite de musées, lecture, visionnage de films
S’animer : Devenir vif, être plein de vie, d’animation : le débat commençait à s’animer; dés huit heures du matin, les rues s’animent.
S’appartenir ; ne plus s’appartenir : ne plus être libre.
S’articuler : 1. Se joindre, être uni par une jointure mobile : le tibia s’articule sur le fémur. 2. Se succéder dans un ordre déterminé.
S’installer : Prendre possession d’un lieu prévu à cet effet pour profiter d’une vue, d’une ambiance
S’intégrer : Qui a la capacité de se fondre dans le paysage.
S’organiser : 1. Arranger son travail, ses affaires de façon efficace. 2. Prendre forme.
Sampler : copier une référence comme base d’un projet.
Sampler : Inspiration, ou copie d’un élément pour créer un projet.
Sampler : On s’inspire dans ce projet du musée de Singapour de RSie(n) pour sa peau grillagé et électrifiée qui réutilise la pollution de la ville pour se créer une deuxième peau. ON reprend aussi la galerie souterraine servant de connexion aux tours de l’école d’architecture de Porto par Siza.
SAUVAGE : en agriculture, se dit de certaines plantes, de certains fruits qui poussent naturellement, sans qu’on prenne soin de les greffer ou de les cultiver.
Savant : personne qui a des connaissances très étendues dans un domaine scientifique et qui contribue à les faire progresser.
Scanning : tranche successive scannant un corps, ce processus permet une vision tant intérieure qu’extérieure et à intervalles quelconque.
Scénario et stratégie : Le scénarios dépendent du type de vision adoptée, les stratégies dépendent des attitudes face aux avenirs possibles (Goux-Baudiment 2000).
Schéma de cohérence territoriale (SCOT) : Document d’urbanisme appelé, selon la loi la loi de solidarité et renouvellement urbain( SRU) du 13 décembre 2000, modifié par la loi urbanisme et habitat du 2 juillet 2003 a remplacé le schéma directeur à partir du 1er juin 2001. Il a pour objectif d’être le principal outil d’organisation et de mise en cohérence, à l’échelle du bassin de vie, du projet politique et urbain défini par les élus. Par rapport au schéma d’aménagement directeur du SCOT défini en champ d’action plus large, puisqu’il incorpore dans le schéma d’aménagement de l’espace, les préoccupations sociales, économiques et environnementales. Comme l’ensemble des documents prévu par la loi SRU le SCOT doit déterminer les conditions permettant d’assurer : L’équilibre entre le renouvellement urbain, un développement urbain maîtrisé, le développement de l’espace rural, la préservation des espaces agricoles et forestiers et la protection des espaces naturels et des paysages tout en respectant les objectifs du développement durable. La diversité des fonctions urbaines et la mixité sociale dans l’habitat urbain et rural. Une utilisation économe et équilibrée des espaces naturels, urbains, périurbains et ruraux, la maîtrise des déplacements et de circulation automobile, la préservation de l’environnement (eau, air, sol et sous sol, écosystème, espaces verts, milieux, sites et paysages, réduction des nuisances sonores, sauvegarde du patrimoine, etc. ).
Schéma directeur : Document d’urbanisme, en général inter-communal, qui fixe le plus souvent à l’échelle d’une agglomération ou d’une unité géographique (vallée pays), à moyen et long terme (une génération) les orientations d’aménagement de l’espace, et en général le choix de l’usage du sol, la nature et le tracer des grands équipements d’infrastructure. Il doit localiser les espaces destinés à l’urbanisation et les espaces à préserver de celui-ci (espaces agricoles, espaces boisés, etc. ) et définir une 1er phase de réalisation permettant de fixer des intentions à moyen terme dans la perspective des orientations à long terme qu’il a fixé. Il tient compte de l’équilibre à respecter entre l’existence des risques naturels prévisibles et des risques technologiques. Il fixe la capacité d’accueil des espaces urbanisés ou à urbaniser en tenant compte de l’équilibre entre emploi et habitat et des moyens de transport. Contenu du dossier du schéma directeur : Un document graphique, généralement au 1/10000e ou 1/25000e selon l’étendue du territoire concerné, qui localisait les espaces urbains à réaménager ou restructurer, les espaces à urbaniser, les espaces naturels à protéger, les grands équipements de superstructure et d’infrastructure. Un rapport de présentation qui exposait les hypothèses sur lesquelles se fondait le schéma : il en expliquerait et justifiait les choix d’aménagement arrêtés; des annexes variées, selon la nature et la difficulté des problèmes qui se présenteraient dans le territoire considéré. Le schéma directeur obligatoire dans les agglomérations de plus de 100000 hab et dans les zones fragiles(littoral, montagne) le gouvernement s’est orienté vers une autre solution : remplacer le schéma directeur par un schéma de cohérence territoriale de portée plus large et rendre plus difficile l’ouverture à l’urbanisation des zones d’urbanisation futures (AU). La loi de solidarité et renouvellement urbain du 13 décembre 2000 a prévu des modalités transitoires pour le passage du schéma directeur au schéma de cohérence territoriale (SCOT)
Schéma directeur : le schéma directeur doit annoncer les grands principes d’implantations en intégrant toutes les données liées au site.
Schématisation : sélection dans la détermination des problèmes à résoudre. Résumer à l’essentiel
SCOLASTIQUE : Écoles du Moyen Age et leurs méthodes d’enseignement, fondé sur la tradition et l’emploi du syllogisme.
SCOT : Schéma de cohérence et organisation du territoire.
Scot : Schéma de cohérence territoriale. C’est une autre procédure de planification stratégique qui a pour objet de définir les grandes orientations à long terme (20 ou 25 ans) de l’aménagement des espaces qui se traduit également par un document prospectif. C’est un outil de mise en cohérence et de suivi des politiques publiques qui constitue le point de passage de toutes les politiques sectorielles. L’aire urbaine pourra constituer «la référence autour de laquelle les élus seront incités à engager une réflexion commune» (Circulaire UHC/PS/18 N° 2001-63 du 6 septembre 2001). Mais à la différence d’une D. T. A. qui relève de l’État, le Scot est de nature strictement intercommunale. Seul le document d’orientations générales avec ses documents graphiques est opposable aux documents de planification sectoriels (P. L. H., P. D. U., S. D. C. ), aux documents d’urbanisme (P. L. U., carte communale, P. V. ), à certaines opérations foncières et d’aménagement (Zad, Zac, lotissement, réserves foncières > 5ha…) (article R122-5) qui doivent être compatible avec le Scot (R122-1). Mais le Scot appartient à la catégorie des actes juridiques «prospectifs» ; il n’est donc pas en principe opposable aux demandes d’autorisation d’occupation du sol (lotissement, P. C…). Toutefois, dans le cadre de l’article R. 122-3 (2°) et de la délimitation d’espaces naturels, le Scot peut être défini à l’échelle du PLU, c’est-à-dire une échelle égale ou supérieure à 1/5 000 et pourra ainsi être opposable aux demandes d’autorisation d’occupation du sol. Il ne s’agira alors plus de compatibilité mais bien de conformité.
Scotch : permet la réparation d’une déchirure, d’une faille. Couramment utilisé dans l ‘expérimentation, pendant l’élaboration d’un prototype ou d’une tentative vouée à moult modifications, il permet la liaison non définitive de deux éléments.
Scriptural : qui concerne l’écriture.
Sculpture : (latin sculptura) Art de sculpter. Oeuvre du sculpteur : Exposer ses sculptures. Ensemble d’oeuvres sculptées : La sculpture romane languedocienne. Action de sculpter un matériau : La sculpture du bois est délicate. Forme taillée, façonnée dans un matériau : Les sculptures d’un meuble. (sculpter : (latin sculptum, de sculpere) Tailler la pierre, le bois, etc. , avec divers outils, en vue de dégager des formes, des volumes d’un effet artistique : Sculpter le marbre en taille directe. Créer une oeuvre d’art à trois dimensions par tout procédé, y compris le modelage : Sculpter une ronde-bosse, un relief. Orner quelque chose de sculptures : Sculpter un meuble. Façonner, modeler quelque chose comme l’aurait fait un sculpteur : La mer avait sculpté les rochers. )
Se ballader : se promener, errer, flâner, marcher, sortir… aller d’un point à un autre par un cheminement, un parcours.
Se fondre dans le paysage : Ajouter un bâtiment qui dégage le sentiment d’y être depuis longtemps. Qui tend vers l’invisible.
Se rassembler : Se réunir, se grouper
Se restaurer : action de mangé afin de subvenir à un besoin en nutriment.
Seconde peau : Deuxième protection, a fonctionnalité généralement différente de la première (thermique, esthétique, sonore… )
Seconde peau : enveloppe secondaire, couche pelliculaire, dédoublement des façades.
Seconde peau : enveloppe secondaire, couche pelliculaire, dédoublement des façades. La seconde peau peut être garde corps si il y a circulation dans l’interstice ainsi crée dans la façade.
Seconde peau : protection généralement contre l’extérieur une «1ère peau»
SECTEUR AGROALIMENTAIRE : «Le secteur agroalimentaire est un secteur d’activité correspondant à l’ensemble des entreprises des secteurs primaire et secondaire qui participent à la production de produits alimentaires finis».
SECTEUR TERTIAIRE : Secteur d’activité économique.
Séculaire : Qui a lieu tous les siècles / Qui date de plusieurs siècles.
Sécurité : sensation d’être en sécurité, indispensable au bien être. Dans l’excès elle peut se transformer en replis sur soi.
Sédentaire : dont l’habitat est fixe, par opposition à nomade.
SEDENTARITé : «La sédentarité, est, d’une manière générale, un mode de vie caractérisé par une fréquence faible voire nulle de déplacements»
SÉDIMENT : Un sédiment est une particule de taille et d’origine variable, détachée de sa matrice originelle par des phénomènes d’érosion et transportée par la gravité
Séduction : charme déployé pour éveiller l’intérêt.
Séisme : tremblement de terre pouvant déclencher un tsunami.
Sémantique : Science des signes du point de vue des signifiés.
Semi privée : décrit un lieux appartenant a la communauté.
Semi privée : Lieu à la fois personnel et partagé. Au sein d’une communauté existe de nombreux espaces possédant à la fois un caractère privée et collectif.
Semi privée : possibilité de connecter de nouveaux espaces. Espace destiné au collectif mais pas au public.
Sémiologie : Au sens étendu : science des signes en général, parlés ou non parlés ; au sens restreint : science des signes du point de vue des signifiants.
SÉMIOLOGIE : Étude du développement et du rôle des signes culturels dans la vie des groupes. Théorie générale des signes (on dit parfois sémiotique).
SÉMIOLOGIE : théorie, science générale des signes. Partie de la médecine qui s’occupe des signes cliniques ou symptômes, des maladies.
Sémiotique : Signes formés par la relation entre l’objet, et son sens, le signifiant, et le signifié.
Sens : ce que quelque chose signifie, ensemble d’idées que représente un signe, un symbole.
Sens : direction de parcours.
Sens : ouïe, odorat, vue, toucher, goût.
Sensible : capacité a ressentir plus facilement les choses.
Sensible : qui fait appel aux sens.
Sensible : souvent employé à défaut pour qualifier autrui, se méfier de ces personnes. D’après
Sensualité : «sensibilité» tempérament, goût d’une personne.
Séparation : desemboitement de choses qui étaient liée entre elles.
Séparation : distance virtuelle ou physique entre deux personnes, espaces
Séquence : (bas latin sequentia, succession, du latin sequi, suivre) Suite ordonnée d’opérations, de phases, d’éléments, etc. Suite d’unités linguistiques ordonnées conventionnellement. Dans une installation automatique, suite d’opérations indépendantes se succédant dans un ordre préétabli. Suite de plans formant un tout du point de vue de la construction du film. Succession d’images constituant une sorte de narration. (Ce genre est pratiqué par certains artistes conceptuels et certains photographes, tel Duane Michals. ) Succession chronologique typique, concernant les roches d’une formation géologique, les minéraux d’une roche, ou les différentes phases d’un même phénomène géologique. Réunion d’au moins trois cartes de même couleur et qui se suivent sans interruption.
Séquence : Élément composant une suite ordonnée.
SEQUENCE : Rapport qui s’établit entre l’individu et l’architecture dans la façon de se mouvoir, de se déplacer ou encore de rencontrer…
Séquence : Succession d’éléments. Notion de rythme.
Séquence : un des éléments d’une série ordonnée.
Séquence : Utiliser l’enveloppe d’un bâtiment de façon saccadé afin de suggérer un espace ouvert sur l’extérieur.
Sérendipité : c’est le fait de réaliser une découverte inattendue au cours d’une recherche dirigée initialement vers un objet différent de cette découverte. Concept utilisé en recherche scientifique (artefact)
Sérendipité : «Le fait de réaliser une découverte inattendue chargée initialement vers un objet différent de cette découverte».
Sérenpidité : faire des trouvailles par hasard au gré de son cheminement.
SERRE : «Une serre est une structure qui peut être parfaitement close destinée en général à la production agricole».
Serre : abri à paroi de verre ou de plastique destiné à protéger les plantes du froid ou à faire pousser des plantes hors saison.
Serre : une serre est une structure généralement close destinée à la production agricole.
Service : corrélation des notions suivantes : utilité, confort.
Servomécanisme : Permet de réaliser seul une série d’action. Système assurant l’asservissement d’un mécanisme.
seuil : «Toutes les formes de seuil sont là pour marquer le lieu par lequel on passe d’un espace à un autre. La porte ouvre sur le mystère, elle a une valeur dynamique car elle matérialise le passage et elle invite en plus à le franchir. La qualité du traitement de ce seuil témoigne de l’accueil que l’on réserve à l’hôte comme à l’usager quotidien. Le végétal participe à la composition des seuils de la ville.» Caroline STEFULESCO, L’urbanisme végétal, page 118
Seuil : entrée d’une pièce ou d’une maison. Limite où l’on peut constater un changement. Endroit où commence un lieu. Dalle ou pièce de bois placée en travers en bas de l’ouverture d’une porte.
Seuil : sert la cause et la conséquence d’une limite, d’un état, d’un phénomène. Moment, lieu, élément décisif d’appréhension, le seuil introduit un langage, une dictée spatiale et/ou temporelle.
Seuil : transition entre deux espaces.
Sfumato : effet d’atténuation de l’horizon par vapeurs
Signal : perception par la distinction.
Signalétique : repère normé. Parcours tracé. Élément directionnel. Dernière chance de sortir d’un bâtiment .
signe : «un signe commence à se reproduire ou à simuler une fois que la réalité qu’il représente est morte»
Signe : élément se rapportant à un contexte
SIGNE : indice, manque, représentation conventionnelle de quelque chose.
Signe : la production du signe comme définition du repère
Signifiant : Partie du signe qui est matérialisée, perceptible (visible, audible… ).
Signification : Avoir un sens.
Signifié : Partie du signe qui est «cachée», immatérielle.
SILLON AGRICOLE : «Trace créée à la suite du passage d’une charrue».
Silo : ensemble de grands réservoirs verticaux pour stocker des céréales, par extension stockage vertical de voitures.
Simplicité : La simplification criante signifie l’architecture fade. Facile à regarder, facile à comprendre, plus compliquer à faire.
Simultanéité : Caractère de ce qui est simultané : Simultanéité des mouvements des bras et des jambes.
Singulier : différent de.
Site : du latin situs=situation, paysage considéré du point de vue de son aspect pittoresque. Configuration propre du lieu occupé par une ville, et qui lui fourni les éléments locaux de vie matériel et les possibilités d’extension. (ravitaillement en eau, nature du sol, matériaux de construction).
Site : Élément primaire de la réflexion du projet, que l’on se doit de mettre en valeur, en se servant de ces qualités et en les mettant en valeur, à travers un dialogue qui permet un aller retour entre ces deux éléments.
site : Lieu défini, avec ses caractéristiques et des repères géographiques précis permettant sa localisation. Ensemble de «choses» géographiques et historiques accumulées. / Vittorio Gregotti
site : manuscrit sur lequel sont inscrits signes, mots, phrases.
Site : Support de la conception architecturale. N’est pas seulement l’espace d’implantation en architecture, c’est aussi un contexte contenant différents paramètres (social, économique, … ).
site : zone matérielle et spatiale propre à recevoir un système de vie, d’expression et de mort
Situationnisme : «Vivre sans temps mort et jouir sans entrave».
Social : qui concerne la société, raison sociale, signature sociale, qui concerne l’amélioration des conditions des travailleurs : avantage sociaux, politique sociale
Société de consommation : abrutissement de la société, tendant a la perte d’opinion du peuple pour une culture de masse. Société actuelle, poussant a la consommation de masse, et a une uniformisation des comportements humains suivant les modèles occidentaux .
Socle : (italien zoccolo, du latin socculus, diminutif de soccus, socque) Massif uni ou mouluré servant à surélever soit un ou plusieurs supports (colonnes, pilastres, etc. ), soit une statue ou un groupe. (Mouluré, le socle est un piédestal. Le socle allongé d’un édifice prend le nom de soubassement et, s’il porte une colonnade, de stylobate. ) Ensemble géologique de grandes dimensions appartenant au niveau structural inférieur, souvent induré par métamorphisme et granitisation et sur lequel, après pénéplanation, repose en discordance une couverture sédimentaire. (Les massifs anciens arasés et les boucliers constituent les deux grands types de socles. ) Petite pièce de bois, de la hauteur de la plinthe, servant de base aux montants de chambranle. En ébénisterie, base, en saillie, des meubles à bâtis et panneaux. Base stable, assise solide : Avec ce score, la droite s’est reconstitué un socle électoral.
Sol : couche superficielle de l’écorce d’une planète. Surface plane aménagée pour le séjour, la circulation…
Sol de superposition, empilement : À la manière de la formation d’une ville le projet peut superposer les sols. Ainsi a-t-on tenté de recrée la lecture de cet superposition dans le projet .
Solaire : relatif au soleil et à l’énergie fournie par le soleil, qui fournit de l’énergie à parti du soleil.
Soleil : prise en compte de l’ensoleillement dans le projet
Sommeil : effet ressenti par tout individu au bout de plusieurs heures d’éveil. État de non activité d’un individu, indispensable pour un bon équilibre physique et mental.
Son : sensation auditive perceptible à l’ouïe.
Sonorité : musicalité d’un lieu.
SOULAGE : «C’est ce que je fais qui m’apprend ce que je cherche».
Soumettre quelqu’un à un recyclage : On l’a recyclé en informatique.
Sous espace : Espace restreint à l’intérieur d’un autre, ayant ces propres caractéristiques.
Sous sol : le bâtiment se développe en dessous du niveau de la place ; le sous sol correspond à l’espace de liaison entre les deux tours.
Souvenir : survivance dans la mémoire d’une sensation, d’une impression, d’une idée, de quelqu’un… .
Spectacle : ensemble de ce qui se présente au regard, à l’attention, et qui est capable d’éveiller un sentiment.
Spirale : Courbe plane qui décrit des révolutions autour d’un point fixe. Courbe qui tourne autour d’un axe, forme un enroulement.
Spirale : l’évolution dans la structure se fait en spirale, brisant la non progression du cercle.
Spontané : de manière non prévue.
SPONTANÉ : Qui s’exécute de soi-même et sans cause apparente. En architecture bâti sans plan d’urbanisme préalable, aux grés des particuliers et des événements individuels.
Spontanée : peut se dire d’une pratique, des usages. Par exemple, les tracés hamiltoniens en sont une illustration.
Sprawl : littéralement «tartinage» -> ici : étalement urbain.
Squelette : charpente osseuse du corps de l’homme et des animaux.
Standard : modèle de base à sa propre duplication
Stardust : poussière d’étoiles/sensation de rêves : tape a l’oeil architectural dans la dimension orthogonale mais pas valable en plan. Groupe de 3 dj’s house 1998, the music sounds better with you.
Stationnement : consiste en une immobilisation d’un véhicule, mise à l’arrêt
Stationner : S’arrêter momentanément dans un lieu.
Stefan Zweg : «Mais toute ombre en dernier lieu, est partout aussi fille de la lumière et seul celui qui a connu la clarté et les ténèbres, la guerre et la paix, la grandeur et la décadence, a vraiment vécu».
Stockage : c’est le fait de garder des éléments en un lieu en attendant leur utilisation.
STONES + STONES 2 + 2 = 4 : Oeuvre conçue et réalisée in situ à Paris à la galerie Daniel Templon en janvier 1987. Ensemble de cinq oeuvres autonomes et dissociables ; elles peuvent être exposées séparément, le titre de chaque oeuvre étant le texte spécifique. Proposition linguistique écrite sur un mur. Peinture murale grise et bleue à exécuter sur place; les mots sont peints en gris et le signe + en bleu. Dimensions totales de la réalisation de mars 1989 au Centre Georges Pompidou : 3, 57 m x 15, 07 m. Hauteur des lettres : 20 cm environ
STORY-BOARD : Suite de dessins correspondant chacun à un plan et permettant, lors de la préparation d’un film, de visualiser le découpage (scénarimage).
Strate : couche qui forme un plan distinct d’un ensemble.
Strate néo-moderne : Espace urbain naît, ces dernières décennies, d’une volonté de modernité mal réfléchi.
Stratégie : Organisation, réflexion et planification d’un ensemble d’action permettant une efficacité optimale.
STRATÉGIE URBAINE : La stratégie urbaine a pour objectif d’ anticiper une évolution. De planifier des opérations sur un secteur urbain.
Strates : couche géologique constitutive d’un terrain.
Strates : plusieurs couches d’informations sortant du sol.
STRATIFICATION DU SOL : «En géologie, la stratigraphie étudie la disposition des roches en strates»
Structural : Désigne tout arrangement soumis à des règles linguistiques (Fages 1968).
Structuralisme : quantifier l’homme en analysant ses échanges, ses sentiments, ses pensées, ses faits et gestes.
STRUCTURALISME : Tendance commune à plusieurs sciences humaines visant à définir un fait humain en fonction d’un ensemble organisé et rendre compte de ce dernier à l’aide de modèles mathématiques.
STRUCTURANT : structurer, hiérarchiser, ordonner, organiser.
Structurant/Structure : Qui permet la structuration, qui la favorise, la détermine (latin structura, de struere, construire) Manière dont les parties d’un tout sont arrangées entre elles : La structure d’une plante. La structure d’un discours. Organisation des parties d’un système, qui lui donne sa cohérence et en est la caractéristique permanente : Structure d’une entreprise. Organisation, système complexe considéré dans ses éléments fondamentaux : Les structures administratives. Anthropologie, modèle abstrait élaboré à partir de la réalité empirique de la société, d’un groupe social, qui n’existe que dans les relations unissant les divers éléments composant cette société, ce groupe. (Cette conception est celle de Lévi-Strauss et du courant dit «structuraliste». ) Architecture, constitution, disposition et assemblage des éléments d’un bâtiment, et plus spécialement des éléments actifs qui forment son ossature. Chimie, disposition spatiale des atomes, des molécules ou des ions dans les espèces chimiques considérées dans leurs divers états physiques. Économie, ensemble des caractères relativement stables d’un système économique à un moment donné (par opposition à conjoncture) . Géologie et Géographie, arrangement géométrique d’origine tectonique qui s’observe à l’échelle microscopique (microstructure) jusqu’à l’échelle régionale (mégastructure), par exemple du micropli au pli couché d’échelle kilométrique. Agencement, les uns par rapport aux autres, des minéraux constituant la roche. Linguistique, manière dont les unités linguistiques s’agencent entre elles en un système ordonné de règles qui décrivent à la fois les unités et les relations qu’elles entretiennent entre elles. Mathématiques, relation(s) dont est muni un ensemble. Musique, synonyme de forme. Pédologie, caractéristique physique essentielle d’un sol, qui correspond au mode d’assemblage des particules constituant le squelette du sol, liées entre elles par les ciments, ou colloïdes organiques (matières humiques) et minéraux (hydroxydes et argiles) . Pétrole, ensemble géologique d’une forme déterminée, qui rend possible l’accumulation d’hydrocarbures. Psychanalyse et Psychologie, ensemble d’unités psychiques liées par des relations. Technique, ensemble des pièces d’un ensemble supportant les efforts principaux et formant l’ossature sur laquelle sont fixés les autres éléments (carrosserie, fuselage, etc. ) .
Structure : Composant élémentaire de tout objet définissant sa stabilité, ou pas.
Structure : de quelle manière est former le site, les fonctions des bâtis
Structure : Ossature d’une construction
Structure : Pouvoir d’une structure. Structurer un mouvement. Acquérir une structure, organiser les différentes parties.
Structure lisible : la structure prend sa forme par le mouvement des plaques selon les lois de la statique.
Style : Façon de créer, critères d’ornements
Style : Manipulation esthétique et historique génératrice de renouveau en architecture. (avant l’architecture moderne)
Style éclectique : mouvement artistique visant à mélanger les caractéristiques de différentes tendances.
SUBJECTILE : Ce qui supporte une couche de peinture. Mur, menuiserie, sol, plafond etc.
Sublime : Notion qui provoque en nous un négatif délice.
SUBSTANCE : ce qu’il y a d’essentiel dans un ouvrage, dans un acte… Ce qui est en soi et pour soi ! Ce qu’il y a de permanent dans les choses qui changent.
Substrat : le substrat est une base matérielle, un support, un socle si ce n’est un terreau ou une assise qui permet de recevoir un quelconque élément scriptural ou autre, organique, pour lui assurer pérennité ou développement. C’est ce sur quoi s’exerce une action.
SUBSTRAT SUPPORT APPORT : la problématique de l’aménagement menée au travers du respect de l’existant peut se poser en ces 3 termes
Subterfuge : ruse, moyen détourné. «Le diable est encore le meilleur subterfuge pour disculper Dieu.» Freud
Subtile : (latin subtilis) Qui a une grande finesse d’esprit et de l’ingéniosité : Un négociateur subtil. Intelligence subtile. Qui manifeste une habileté poussée parfois jusqu’à l’excès : Recourir à de subtiles arguties. Qui est difficile à comprendre, à saisir, du fait de son caractère ténu, délicat : Nuance de sens très subtile. Littéraire. Se dit d’une chose matérielle légère, qui s’insinue facilement : Un parfum subtil.
Suburbain : proche d’une ville. Qui dessert la banlieue d’une ville en parlant d’un transport collectif, d’une voie…
SUBURBAIN : qui est tout près de la ville.
Suburbanité : espace sur urbanisé, dense et construit, construction dense, concentré.
SUBVERSIF : Qui est de nature à troubler ou à renverser l’ordre social ou politique. L’architecture contemporaine est subversive en oubliant les codes anciens.
Subversif : qui est insurgé, qui peut être susceptible de menacer l’ordre établi.
Subversif : qui tend à menacer, à provoquer ou à renverser l’ordre établi. «Le meurtre suppose et couronne la récolte : celui qui ignore le désir de tuer aura beau professer des opinions subversives, il ne sera jamais qu’un conformiste». Cioran.
Subversion : vient du latin «subvertere» : renverser. Elle désigne un processus par lequel des valeurs et principes d’un système en place sont contredits ou renversés.
SUGGÉRER : Faire penser à quelque chose sans que ceux-ci soit identifiable au premier coup d’œil.
Suggérer : Utiliser judicieusement les ouvertures d’un édifice afin de ne pas tout dévoiler dans le but de susciter de l’intérêt.
Superposition : addition verticale de couches, de blocs.
Superposition : résultat de l’action d’empilement ou de mise en étage : à savoir mettre des éléments les uns sur les autres.
Surprise : 1. Étonnement : montrer de la surprise. 2. Événement inattendu : se dérouler sans surprise. 3. Cadeau ou plaisir inattendu que l’on fait à quelqu’un : faire une surprise agréable par surprise : à l’improviste, en prenant au dépourvu.
Surprise : découverte inattendue dans la déambulation.
Surprise : État émotionnel engendré par un manque d’anticipation, de visibilité, de clarté et par la volonté d’innover, d’émouvoir, de choquer, de déranger ; on est surpris quand on est pas habitué, pas formaté …Le but était de concevoir une signalétique dans la ville, il donc un bâtiment surprenant qui suscite l’émotion(bonne ou mauvaise).
Surprise : Intrigue, déconcertement produits par un effet inespéré, imprévu ou inhabituel. Brise la linéarité de la réalité urbaine.
Surprise : intrigué, expérience discontinue et non linéaire de la réalité contemporaine. Le projet se découpe de façon surprenante dans la ligne d’horizon.
surprise : 1. Étonnement : montrer de la surprise 2. Événement inattendu : se dérouler sans surprise. 3. Cadeau ou plaisir inattendu que l’on fait à quelqu’un : faire une surprise agréable. Par surprise : à l’improviste, en prenant au dépourvu.
Sur-urbanité : espace sur-urbanisé, dense et construit, généralement des nouveaux ensembles.
Sur-urbanité : qui concerne la périphérie d’une ville. Sur-urbanisation : processus d’extension des phénomènes de banlieue au détriment des espaces ruraux péri-urbain.
Suspendre : Maintenir dans les airs à une certaine hauteur du sol. Cesser temporairement une action. Se déconnecter d’un élément.
Suspendre : on pourrait surélever les circulation, voire même les implantations humaines. Probablement que dans ce cas une partie du bâti serait suspendu.
SYLLOGISME : Les architectes sont des menteurs (majeure) or vous êtes un architecte (mineure) donc vous êtes un menteur (conclusion.
Symbiose : association étroite et harmonieuse entre des personnes ou des groupes de personnes, vie en communauté du bâtiment.
Symbiose : Corrélation parfaite des éléments entres eux.
Symbiose : fusion, union de plusieurs choses l’architecture est une association d’une multitude d’éléments, d’idées, bien représentée par cette maison de l’architecture.
Symbiose : le symbiose est une association intime et durable entre deux organismes d’espèce différente.
Symbiose : Les deux bâtiments sont unis dans le cadre d’un même projet, s’enrichissent de leur disposition et développent un sentiment particulier lorsqu’on s’en approche.
Symbiose : Les deux tours sont unies dans le cadre d’un même projet, s’enrichissent de leur disposition et développent un sentiment particuliers lorsqu’on s’en approche.
Symbiose : union étroite. Association de deux êtres vivants dans laquelle chacun tire un avantage, souvent vital.
Symbiose : vie en accord.
Symbole : représentation concrète de quelque chose d’abstrait.
Symétrie : la publicité de l’espace procéderait de la possibilité de rapports symétriques ;
Symétrie : Le fait de retrouver des éléments similaire de part et d’autre d’un axe ou point.
Symétrie : un état d’équilibre visuel produit par la correspondance d’éléments positionnés de façon équivalente par rapport a un axe. Les cubes représentent l’axe.
SYNAPSE : (grec SUN avec et APTEIN joindre) Point de contact entre deux cellules nerveuses. En urbanisme pourrait s’appliquer à un lieu où convergent différents quartiers et qui servirait à les unir.
SYNCHRONISATION : Action ce coordonner deux éléments, édifices.
SYNCRÉTISME : Système philosophique ou religieux qui tend à fondre plusieurs doctrines différentes. Perception globale, diffuse et confuse qui serait celons certains psychologues la première perception de l’enfant.
Synergie : C’est la combinaison des multiples énergies qui donne la synergie du projet.
Synergie : Différents efforts se répondent; c’est la combinaison de multiples énergies qui donne la synergie au projet; les portes à faux suscitent cette impression d’efforts.
Synthèses/totalité : réunion de plusieurs éléments formant dès lors un tout, une entité à part entière.
Synthétique : résultante d’une opération de synthèse, substance non naturelle il est utilisé dans le projet comme matériaux synthétique le corian, matière plastique.
Synthétique : Tout ce qui se réfère à l’abstrait et le concis, l’hybride et la technologie, le singulier et le pluriel.

Tabasser : passer à tabac, battre violemment.
Tablette : Édifice avec une couverture de préférence praticable. Une partie du toit du bâtiment est praticable .
TABULA RASA : Tout supprimer ce qui existe avant de faire un projet qui ne tient pas compte de l’histoire locale mais aussi générale de l’architecture et de l’urbanisme.
Tachycardie : Palpitations dues à une diminution de la pression sanguine entraînée par un manque de sommeil répété.
Talweg : Ligne de fond d’une vallée, dans une vallée drainée, le talweg est le lit du cours d’eau. En météorologie : zone de basse pressions prolongeant une dépression.
Tatou : forme associée à celle du tatou, qui peut se mettre en boule dans un mouvement de contorsion, ou bien développer sa carapace étrange composée de plusieurs disques.
Technique : structure, stabilité sont gérées grâce à l’utilisation répétée du système poteaux/poutres.
Technoscience : évolution actuelle de la science, de plus en plus technique, visant plus à la domination du monde qu’à sa compréhension.
Tectonic : la tectonique est un détail significatif qui enregistre une critique du modernisme de corporation stéréotypé à travers duquel on peut avoir une lecture des volontés architecturales. (ensemble des noms rapportés aux différentes partie d’un bâti, elle permet le dialogue entre les différents corps de métier, pose les bases d’un langage commun. )
téléologique : apte à déterminer une fin
téléologique : apte à synthétiser une vie avant de l’avoir vécu
Temple : Endroit d’isolation et de méditation
Tempo-Extensor : Machine mythique, dont l’existence est évoquée dans les plus anciens manuscrits d’architectes, permettant d’éloigner les dates de rendu et dont rêvent les étudiants.
TEMPORALITÉ : «La temporalité est le caractère de ce qui existe dans le temps» .
Temporalité : Correspond au caractère du temps qui passe.
Temporalité : Évolution du bâtiment a travers le temps. Évolution a travers le temps. Modification du bâtiment au fil du temps et des saisons. (vieillissement des matériaux, changement des végétaux).
TEMPS : Denrée rare dont on espère tous pouvoir profiter plus l’an prochain….
Temps : durée dans laquelle se déroule une série d’événement, d’action. Élément précieux dont les étudiants en architecture manque terriblement.
Temps : Espace et concept essentiel ou se déroule des événements et se développe des existences
Temps : Est une négation perpétuelle. C’est à dire qu’il faut sans cesse remettre en cause ce qui a été fait avant. Est un facteur primordiale de la vie quotidienne. Il paraît extensible parfois, mais ne l’est pas du tout lorsque on en manque…
Temps : on nous parle du temps comme d’une donnée essentielle du projet architectural contemporain, c’est-à-dire que nous devons rendre le projet le plus rapidement possible. Mais pour qui, pourquoi travaille-t-on si vite ?
Tènement : réunion de terres ou de bâtiments sur un seul tenant.
TÈNEMENT DE TERRAINS : Réunion de terrains composant un ensemble.
Téralogie : Science qui a pour objet l’étude des anomalies et des monstruosités des êtres vivants. Téralogie expérimentale (par action sur l’embryon d’un animal)
Terrain vague : espace interstitiel, vaste terrain obsolète, on le considère aussi comme une zone de friction; le site du projet entre difficilement en rapport avec la place située 7m au dessus de lui. Le bâtiment fait le lien entre ces deux zones.
Terrain vague : Espace urbain interstitiel. Constitue un territoire propice à l’exploration des perspectives d’une ville nouvelle.
Terrasse : Élément d’architecture qui est ajouté au bâti. En tant qu’espace non habitable, la terrasse peut être en greffe sur une façade ou en marquage au sol.
Terrasse : Lieu de vie, de rassemblement, ouvert sur l’extérieur, offrant divers point de vue en fonction de sa hauteur et de son orientation.
Terrasse : salle a manger, salon d’extérieur, extension de la maison, espace extérieur.
Terrasse : Surface en plein air propice à la contemplation, ou l’on savoure l’ensoleillement et les courants d’air.
Terrasse : Terre-plein d’une levée de terre réalisé pour mettre de niveau (horizontal) un terrain en pente, généralement maintenue par un mur de soutènement et bordée par un garde corps
Terre argileuse : qui tient de l’argile. L’argile est une roche sédimentaire, composée pour une large part de minéraux spécifiques.
TERRE BATTUE : Façon de damer la terre afin d’obtenir un matériau suffisamment dense pour être utilisé comme revêtement de sol.
TERRITOIRE : étendue de la Terre sur laquelle vit un groupe d’humain. Sens figuré, lieu que quelqu’un s’approprie dans son travail, son domicile, …
Territoire : Un territoire et un espace «de représentation et d’effectuation d’un pouvoir» (Lussault 2007).
Tetris : action de ranger des éléments afin qu’ils disparaissent.
Texture : Les textures des édifices sont l’ultime cape de matière intégrale. La texture est la phrase de la masse, son ultime cri avant le plein et qui est inséparable d’elle.
Théorie : courant d’idées basé sur des connaissances précises.
Thierry Verdier : «Le rôle de l’art : c’est poser autrement une question, l’art c’est le plus court chemin d’un homme à un autre.»
Think Tank : laboratoire d’idées, capacité d’analyse et de réflexion.
THOMAS D’AQUIN : «Pour comprendre il faut aimer et pour aimer il faut comprendre»
Timbre : Prononciation : tin-br’ Étymologie : Provenç. espagn. et portug. timbre ; bas-lat. tymbrys, tambour et casque ; du lat. tympanum, tambour, comme diacre de diaconus. Après le sens de tambour, timbre a pris celui de tout ce qui sonne, cloche, etc. ; de là le timbre fêlé. Par une autre dérivation il a signifié un casque à cause de la forme, puis une pièce d’armoiries, et enfin le timbre qu’on appose sur des actes.
Tisser : verbe transitif (ancien français tistre, du latin texere) Entrelacer régulièrement les fils, la trame et la chaîne d’une matière textile : Tisser du lin, de la laine, du coton. Fabriquer un tissu par l’opération du tissage : Tisser un plaid. Construire quelque chose en formant un réseau de fils, de fibres, de brins : L’araignée tisse sa toile. Élaborer quelque chose, l’agencer habilement en ordonnant divers éléments : L’auteur a subtilement tissé son intrigue.
Tissu urbain : Pour PANERAI et al. (1999), la définition la plus simple du tissu urbain serait : «La superposition ou [… ] l’imbrication de trois ensembles : le réseau de voies ; les découpages fonciers ; les constructions.»
Toilettes : lieu transitoire consacré aux défections vers leur retour à la terre
TOITURE TERRASSE : Forme de toiture plate autorisant l’accessibilité sur la couverture du bâti.
Tokyoïde : forme de ville en référence à Tokyo forme en toile d’araignée.
TOPOGRAPHIE : c’est une déformation continu ou ponctuelle du sol.
Topographie : caractérise la forme, le relief d’un site.
Topographie : Description de la topographie d’un lieu.
Topographie : organisation du sol selon différents niveaux et inclinaison.
Topographie : technique de représentation sur un plan des formes du terrain, avec les détails des éléments naturels ou artificiels qu’il porte. Disposition, relief d’un lieu.
Topographies opérantes, topologie : concerne les déformations (plis ou autres) créant des mouvements stratégiques les replis formés par la bande dirigent le public ou créent des écrans utilisés ensuite .
TOPONIMIE : étude étymologique des noms de lieux. Ensemble de noms de lieux d’une région.
TOPOS : notion de lieu (valeur du lieu)
Torneados : Structures verticales produite par des tournoiement de tour successifs. Trajectoires dynamiques de rotation différentielles avec mouvements complets d’inflexion et de variation. Maille a géométrie variable et irrégulière en hauteur. .
Totalité : La totalité est un concept équivoque, qui possède une importance centrale en ontologie et en métaphysique, mais aussi en sciences sociales puisque sa compréhension est centrale dans la polémique entre le holisme et l’individualisme méthodologique, ce dernier considérant qu’il n’y a de totalité qu’abstraite (la «Société» ne serait que la collection des individus la composant et n’aurait d’autre existence que celle-ci). «L’architecture en tant que totalité n’existe plus aujourd’hui et que par conséquent, il faut la produire dans la tête du concepteur par acte de pensée» Herzog et De Meuron
Totem : animal, végétal ou objet considéré comme l’ancêtre mythique et le protecteur d’un groupe social ou d’un individu.
Totem : attribut d’appartenance à un ensemble.
tour : «La beacon Tower, la plus petite en surface, est sans doute la structure la plus importante de Dreamland. «Elle s’élève à plus de 107 mètres au-dessus d’un parc spacieux et constitue l’élément dominant autour duquel s’articule le projet d’ensemble (… ). C’est la structure la plus frappante et la plus repérable à des centaines de mètres alentour (… ). Lorsqu’elle est illuminée par plus d’un million d’ampoules électrique, elle est visible sur une distance de plus de 50 kilo mètres. La tour renferme deux ascenseurs et elle offre au sommet un superbe panorama sur la mer et une vue d’ensemble de l’île.» Rem KOOLHAAS, New York délire, Page 61.
TOWNHOUSE : Jusqu’à aujourd’hui je disais «maison de ville» mais même les allemands disent «townhouses» alors il faut bien que la langue évolue, mais pour les idées je continuerais à défendre l’utilité et le confort de ces maisons mitoyennes que j’aime et qui font de la densité agréable à vivre.
Trace : marque d’un passage
Trace : nom féminin (de tracer) Suite d’empreintes laissées sur le sol par le passage de quelqu’un, d’un animal, d’un véhicule : Relever des traces de pas dans une allée. Marque laissée par une action quelconque : La porte garde des traces d’effraction. Très faible quantité d’une substance : Déceler des traces d’albumine dans les urines. Littéraire. Ce qui subsiste de quelque chose du passé sous la forme de débris, de vestiges, etc. : Des traces d’une civilisation très ancienne. Marque physique ou morale faite par un événement, une situation, une maladie, un coup : Cette aventure a laissé des traces profondes en lui. Aux Antilles, sentier en montagne. Mathématiques, en géométrie descriptive, intersection d’une droite ou d’un plan avec l’un des plans de projection. Psychologie, ce qui subsiste dans la mémoire d’un événement passé.
trace : résultante physique du trajet
Trait d’union : Signe graphique en forme de petit tiret, que l’on met notamment entre les éléments de certains mots composés ou entre le verbe et un pronom postposé. Ce qui a un rôle de conciliation, d’intermédiaire ou de liaison entre des personnes ou des choses. Synonyme de coupure.
TRAJET : On qualifie un trajet par rapport au point de départ et d’arrivé.
Trame : Axes verticaux et horizontaux chacun espaces d’une même valeurs qui permettent d’établir un quadrillage servant de repère sur un site .
TRAME : Chaîne d’un tissu. Trame viaire, ensemble des rues d’une ville qui se croise pour former un réseau de communication entre les îlots.
Trame : Composition géométrique de la structure.
Trame : composition géométrique réglant le dessin.
Trame : Lignes génératrices d’un projet qui se répètent de manière régulière.
Trame : Outils d’aménagement urbain. La trame instaure une règle, une conduite à suivre, elle dicte un chemin, délimite des zones de constructions.
Trame : Volume réglé par une composition isométrique et répétitive de la matière.
Tramway : chemin de fer électrique destiné au transport urbain et suburbain des voyageurs et implanté en totalité ou en partie sur la chaussée des rues empruntées. Véhicule qui circule sur ces voies.
Tramway : chemin de fer urbain.
TRANSCENDANT : Qui excelle en son genre. Caractère de ce qui se situe hors d’atteinte de notre action ou même de notre pensée. KANT affirme la transcendance de la chose en soi par rapport à la connaissance humaine.
TRANSDISCIPLINALITé : «Posture scientifique et intellectuelle. Elle a pour objectif de comprendre la complexité du monde moderne et du présent»
Transdisciplinarité : interdisciplinarité : qualités des changes et des relations entre les différentes disciplines du savoir.
Transdisciplinarité : posture scientifique et intellectuelle elle a pour objectif de comprendre la complexité du monde moderne.
Transect : Le transect est une pratique artistique contemporaine qui consiste à marcher de manière rectiligne entre 2 points choisis. L’arpentage, l’expérience de la ville laisse alors percevoir des gradients, des subtilités, des sensations nouvelles.
transect : Pratique artistique urbaine consistant à marcher de manière rectiligne entre deux points choisis dans la ville
Transect : une ligne virtuelle ou physique que l’on met en place pour étudier un phénomène où l’on comptera les occurrences. Cet échantillonnage (systématique ou aléatoire peut donner lieu à l’utilisation de quadras)
Transept : nef transversale qui coupe à l’angle droit la nef principale d’une église et lui donne la forme symbolique d’une croix.
Transfert : action d’amener une force (force qui, à l’origine est verticale, due à la gravité), jusqu’au sol par l’intermédiaire de matière, d’atome ; Cette force peut être transférer verticalement mais peut aussi changer de direction ; Le transfert de charge est nécessaire puisque c’est cette action qui assure l’équilibre d’un bâtiment . La maille structurel agissant comme une coque transfert les charges verticales( issu des poutres au sommet de la tour ) pour conduire cette force au pied de la tour ;cette force ne descend pas linéairement mais est répartit dans la maille ;celle-ci prend donc de multiple direction dans 3 plans, mais son sens est invariant .
Transfert : relatif au déplacement ; d’un endroit à un autre, d’un support à un autre.
Transformation : changement d’une chose en une autre.
Transgression : relative au fait d’enfreindre un élément réglementé (limite, loi, ordre). Désobéissance.
Transition : état de passage intermédiaire entre deux parties distinctes.
Transition : nom féminin (latin transitio) Littéraire. Passage d’un état à un autre : Une brusque transition du chaud au froid. État, degré intermédiaire, passage progressif entre deux états, deux situations : Passer sans transition de l’enthousiasme à la fureur. Passage graduel d’une idée ou d’un développement à un autre : Cette remarque me servira de transition. Physique, changement d’état d’un système quantique (atome ou molécule) . Les transitions radiatives, stimulées ou spontanées, s’accompagnent de l’émission ou de l’absorption de photons, et correspondent donc à des raies du spectre d’émission ou d’absorption du système considéré.
Transition : Un passage ni dedans ni dehors. A l’entrée des logements se trouve un espace de transition qui à demi-couvert par la terrasse entre public et privé.
Transitoire : qui ne fait que passer, qui ne dure pas. Intérimaire. Qui remplit l’intervalle d’un état de choses à un autre.
Translucide : État intermédiaire de diffusion de la lumière. Élément traversé par la lumière avec une transmission partielle et modifiée de l’information.
Translucide : Jeu d’opacité de transparence d’un matériaux laissant passer la lumière et permettant de distinguer des formes.
Translucide : laisse partiellement filtrer la lumière, hiérarchise les vues.
Translucide : laisse partiellement filtrer la lumière, hiérarchise les vues. Échange entre deux milieux.
Translucide : qui laisse passer la lumière et permet de distinguer des formes.
Translucide : se dit d’un matière qui laisse transparaître les formes et matières quelle recouvre.
Translucide : Sur les façades, on voit un mélange des différents matériaux qui empêchent la lisibilité des fonctions. Les éléments translucides laissent passer la lumière mais gardent l’intimité.
Transparence : Corps se laissant traverser par la lumière. Qualité recherchée pour les façades (ouvertures) d’un bâtiment.
Transparence : espace facilement formulable, à travers les façades vitrées, on distingue les espaces internes et on en devine l’usage.
Transparence : La transparence est créée par des grandes verrières pour donner maximum de luminosité. Elle permet une vue libre.
Transparence : laisse complètement passer la lumière, permet au regard une vue libre.
Transparence : laisse complètement passer la lumière, permet au regard une vue libre. Selon le matériau, la transparence peut offrir la liberté au visuel et ainsi bloquer toutes les nuisances acoustiques.
Transparence : permet au regard de passer au travers
Transparence : Permet une vision plus ou moins traversante d’un objet doté d’un certain degré de transparence.
Transparence : possibilité de voir et d’être vu au travers d’une matière aux atomes invisibles Par l’emploie de verre pour étancher les plateaux intérieurs et grâce à une structure ajourée, l’édifice est transparent ce qui permet au visiteur d’observer la ville et son architecture.
Transparence : Qualité d’une substance (…) qui laisse passer les rayon lumineux. A travers quoi il est possible de voir.
Transparence : une lecture simple du bâtiment. Le regard traverse le bâtiment.
Transparent : élément qui clos un espace en permettant de tout voir au travers.
Transparent : État de diffusion maximale de la lumière. Élément traversé par la lumière avec une perte minime d’information.
Transparent : Qui crée l’illusion de vide.
Transpersonning : frontière matérielle, ou pas, ayant comme attribut celui de laisser passer les gens dans tous les sens (inspiré des matières poreuses, ex : sachet de thé).
Transport : action ou manière de transporter, de porter d’un lieu dans un autre.
Transsexualité : d’après Diana i Agrest, l’homme cherche a posséder les mêmes caractéristiques que la femme ( Procréer … ) = ambiguïté des genres . volonté de posséder les mêmes attributs du sexe opposés.
Transversal : vecteur qui s’oppose aux vecteurs majoritaires. Contraire de longitudinal.
Transversalité : nom féminin Caractère de ce qui est transversal. ( transversal : (latin médiéval transversalis, du latin classique transversus) Qui est disposé en travers de quelque chose, perpendiculairement à sa largeur ou à sa hauteur. Se dit d’une voie qui coupe à angle droit une autre voie plus importante. Se dit d’une ligne ferroviaire qui ne rayonne pas autour de Paris. Figuré, qui recoupe plusieurs disciplines ou secteurs. )
Travailler : un truisme !
Traversant : espace que l’on parcours qui mène d’un lieu à un autre .
Traversant : espace unique, sans partition .
Traverser : 1. Passer à travers, d’un coté à l’autre : traverser une forêt. 2. Pénétrer de part en part : la pluie a traversé mes vêtements. 3. Être en travers de quelque chose : des allées traversent le jardin. 4. Passer par : traverser des temps difficiles. 5. Se présenter à l’esprit d’une façon inopinée et fugitive : idée qui traverse l’esprit.
Traverser : passer à travers d’un côté à un autre, pénétrer de part en part, être en travers de quelque chose, passer par vivre pendant.
Traverser : verbe transitif (latin populaire *traversare, du latin classique transversare, remuer en travers) Aller d’un bord, d’une extrémité à l’autre d’un espace : Traverser la Manche. Traverser la rue. Une ride traverse son front. Pénétrer un corps, un milieu de part en part : La pluie a traversé la toile de tente. Se trouver, vivre dans une période, une situation qui durent : Nous traversons une crise économique. Se présenter à l’esprit d’une manière inopinée ou fugitive : Un souvenir m’a traversé l’esprit. Littéraire, subsister par-delà les siècles : Son nom a traversé l’histoire.
Traverses de chemin de fer : pièces de bois ou de métal mise en travers de certains ouvrages pour les maintenir assemblés.
Travestissement : action de se déguiser, de transformer son physique ; quand la structure, la technique se transforme en dame nature…
TREILLIS (génie civil) : «un treillis est un assemblage de barres formant une triangulation.»
TREILLISSER : «Garnir de treillis de bois ou de métal».
Trémie : Trou traversant un ou plusieurs plancher, et permettant diverses communications entre ces éléments ( lumière, oral, visuel…).
TRÉMIE : Une trémie est un espace réservé dans un plancher pour laisser passer un escalier, un ascenseur, une cheminée, etc… .
Triangle des Bermudes : zone de l’océan atlantique qui serait le théâtre d’un grand nombre de disparitions de navires, d’avions, de nombreuses légendes existent à propos de cette zone.
Triangulation : utilisation de triangle pour stabiliser une surface.
Triompher : Action, ou sentiment de maîtrise sur une situation ou un événement.
Trolley : Trolleybus, autobus à moteur électrique alimenté par un trolley aérien.
Tropisme : excitation d’un élément vivant, par l’intermédiaire d’un stimuli provenant de son environnement extérieur.
Trou noir : Espace de la ville ou de l’architecture qui commença à se désertifier et se transformant en un fluide continu. Se retrouve beaucoup dans l’espace urbain. Trou noir dans le paysage Ambiance Lieu de découverte et de désordre. Se réfère à la qualité d’un lieu. Exemple d’ambiance.
Tsunami : ras de marée, catastrophe -> mort et tragédie
Tumeur : développement incontrôlé de tissu corporel
Tuteur : support guidant la croissance d’une pante.
Twoness : dualité : Ce qui est double, composé de deux éléments distincts
Typologie : classification par type.
Typologie : Ensemble des éléments permettant une classification.
Typologie : Partie de la psychologie qui étudie les divers type humains, considérés somatiques et mentaux. Science qui vise à élaborer des types à partir d’ensembles, constitués par le regroupement de données ayant en commun certains traits caractéristiques.
Typologie : Système de classification des individus en types physiques et/ou psychologiques où, le plus souvent, des correspondances sont établies entre des types physiques et des types psychologiques, les premiers étant supposés prédéterminer les seconds. Classification des langues qui s’appuie sur la comparaison de leurs caractéristiques internes que l’analyse synchronique permet de dégager. (Elle s’oppose à la classification génétique [familles de langues] ou à des classifications qui font appel à des critères extralinguistiques, comme la proximité géographique [langues amérindiennes, par exemple] ou le degré d’évolution des sociétés. ) Système de classification d’un ensemble de données empiriques concernant un phénomène social en types distincts.
Typologie : type de façade ou de construction faisant référence à des caractéristiques locales ou de style, s’applique également à la rue ou au quartier.

Ubiquité : faculté d’être partout à la fois sous toutes les formes que peut présenter l’architecture, cette dernière est devenue un élément omniprésent.
UKASE/OUKASE : (Ukaz en Russe, publié) Décision autoritaire et impérative. Le prix de l’énergie se comporte comme un oukase en imposant un changement de mode de vie.
Un comme un singulier : comme l’individualité plurielle diversifiée et plus complète qu’une individualité repliée sur elle même . Diversité de formes et liaison font du projet une individualité plurielle .
Un espace dynamique : donne envie de se laisser aller au gré des forces.
un jeune dynamique : qui n’hésite pas a se lancer dans des projets.
Uniforme : Éléments identiques ou perçus comme tels, sans inégalités, similitude, ne varie pas.
Unité : groupe d’éléments identiques formant un ensemble.
Unité : nom féminin (latin unitas, de unus, un seul) Caractère de ce qui est un, unique : L’unité et la pluralité. Caractère de ce qui est considéré comme formant un tout dont les diverses parties concourent à constituer un ensemble indivisible : L’unité du moi. Caractère de ce qui est commun à plusieurs, qui est identique pour plusieurs personnes : L’unité de pensée. Unité de vue. Qualité de ce qui est homogène, non composite : L’unité architecturale d’un édifice. Nombre un, à la base de la formation des autres nombres : Le nombre peut être défini comme une collection d’unités. Chacun des objets d’une collection, d’une production en série : Assiettes vendues à l’unité. Chaîne produisant 50 unités par jour. Grandeur prise comme étalon de mesure des grandeurs de même espèce : Les unités monétaires des différents États. Élément de base d’un ensemble de caractère structuré : La cellule, unité fondamentale des organismes vivants. Structure organisée, cohérente au sein d’un ensemble plus vaste : Unité de production. Unité de recherche. Géologie, subdivision des différentes catégories stratigraphiques (ère, période, époque et âge) . Industrie, groupe d’appareils, dans une usine, capables de réaliser une opération industrielle indépendamment des autres installations de cette usine. Informatique, partie d’un ordinateur effectuant une tâche donnée. Marine, appellation donnée à des bâtiments de la marine nationale, quelle que soit leur importance. Métrologie, grandeur particulière prise comme terme de comparaison avec des grandeurs de même espèce. (Les nombres qui résultent de ces comparaisons donnent les mesures de ces grandeurs. ) Militaire, formation militaire constituée de façon permanente dans les armées de terre et de l’air. (On dit aussi unité organique, unité aérienne. ) Statistique, unité statistique, fait élémentaire à étudier.
Université : établissement d’enseignement supérieur dont l’objectif est la production du savoir (recherche) et sa transmission.
Urbain : Autre «mode contemporain d’organisation spatiale» qui maximise «simultanément le contact topographique (coprésence), le contact topologique matériel (déplacement) et le contact topologique immatériel (télécommunications)».
Urbain : qui appartient à la ville.
urban renewal : renouvellement urbain : fournisseur de travail au architecte durant les deux dernières décennies, et maintien des restes du mouvement moderne maintenant obsolète et dangereux socialement. Changement, variation dans le paysage urbain au fil du temps .
URBANISATION : mouvement oscillatoire rapide. Mouvement périodique d’un système matériel autour de sa position d’équilibre.
Urbanisation : phénomène démographique se traduisant par une tendance à la concentration de la population dans les villes.
Urbanisme (statut épistémologique) : Merlin (2007) définit le statut épistémologique de l’urbanisme qu’il présente comme une praxis (une action) mais également comme une pratique («un exercice d’application, d’exécution, une manière de faire, une confrontation aux réalités, d’où naît l’expérience, nourrie par les hésitations, plus que la connaissance»), ce qui explique «la rivalité des prétentions [des autres disciplines telles que l’architecture ou la géographie] visant à l’annexer».
Urbanisme architectural : «Ce n’est plus l’architecture qui doit se conformer à un style de ville, c’est la ville ou plutôt «l’urbain» [… ] qui doit littéralement être architecturé. L’enjeu n’est plus de produire une image de la ville à travers une production architecturale qui serait typiquement urbaine («maisons de ville», ordre contigu, composition de façades et autres critères chers à la typologie et à l’architecture des années 1970), il est de concevoir l’architecture comme un moyen de générer la ville ou l’environnement urbain non seulement dans sa forme, mais aussi et avant tout dans son évolution et sa dynamique propre. Le bâtiment est moins conçu comme une oeuvre en soi (pouvant faire l’objet d’une analyse stylistique) que comme un medium.» (Amphoux 2004)
Urbaniste : personne qualifiée dans l’utilisation des données de l’urbanologie en vue de l’aménagement rationnel des villes et des campagnes. L’urbaniste est le spécialiste de la localisation et de l’implantation des établissements humains de toute nature, et par la suite, de la conception et de l’application des plans d’urbanisme et d’aménagement du territoire.
Urbanité : Caractère proprement urbain d’un espace en matière de couplage densité/diversité des réalités sociales coprésentes (matérielles, immatérielles en y incluant les humains) (Lussaut 2003).
Urbanité : le fait de vivre en ville ; politesse que donne l’usage du monde.
URBANO ARCHITECTURAL : «Relatif à l’urbain et à l’architecture Concilier les 2 disciplines».
Urbano-architectural : relatif à l’urbain et à l’architecture, conciliée les deux disciplines.
Urbatecte : inventeur de ville, dessinateur habile, écrivain de talent, travailleur infatigable.
Usage : destination, fonction de quelque chose, emploi que l’on peut en faire.
Usage : Madec prétend que «tant que l’architecture restera enfermée dans sa tour d’ivoire, considérant l’usage comme une contrainte, il y aura incompréhension entre la profession et la société.»
UTOPIANISM : Idées, opinions, et objectifs d’une utopie
Utopianisme (D’après C. Rowe) : Il définit par là les utopies urbaines et architecturales du début de la deuxième moitié du 20ème siècle prônant la construction de bâtiments collectifs au milieu d’îlots et ne prenant pas en compte les espaces.
Utopie : c’est une chimère, une construction purement imaginaire. La réalité n’enthousiasme guère, alors un glissement s’opère, faisant de l’utopie un projet irréalisable, voir irréaliste.
Utopie : construction imaginaire et rigoureuse d’une société qui constitue pour celui qui la réalise, un idéal. Projet dont la réalisation est impossible, conception imaginaire.
Utopie : Idéal. Conception d’un projet qui paraît irréalisable.
Utopie : nom féminin (de Utopia, mot créé par Thomas More, du grec ou, non, et topos, lieu) Construction imaginaire et rigoureuse d’une société, qui constitue, par rapport à celui qui la réalise, un idéal ou un contre-idéal. Projet dont la réalisation est impossible, conception imaginaire : Une utopie pédagogique.
Utopie : Se décoller du site, et concevoir une ville idéale, en repensant les programmations, les proportions, les circulations …
Utopie : Une utopie désigne une réalité difficilement admissible. Qualifier quelque chose d’utopique consiste à le disqualifier et à le considérer comme irrationnel. La distance entre l’utopie et la réalité dépend de la vision, de la représentation et de la méditation.
Utopie : une utopie est une chimère, un élément de rêve, une idéologie.
Utopies : Monde Idéal et intemporel

Vaisseau : Navire dans lequel on retrouve un microcosme fonctionnel
Vanité : 1. Caractère de ce qui n’a pas de sens, futilité, qui est vain. 2. Orgueil. 3. Catégorie particulière de nature morte dont la composition est vide, vaine, la vie humaine précaire et de peu d’importance.
Vases communicants : principes de complémentarité entre deux zones entraînant des flux entre elles.
Végétal : Rappel a l’homme d’où il vient, en perpétuel évolution marque le temps et les saisons.
Végétation : ensemble de plantes qui poussent.
Végétation : ensemble des plantes. La végétation entoure le parcours et termine sur le cour de Louis Blanc.
Végétation : la végétation est l’ensemble des plantes sauvages ou cultivées, qui poussent sur une surface donnée de sol, ou dans un milieu aquatique.
Véhémence : impétuosité, mouvement violent. «cet orateur a de la véhémence, il a une éloquence mâle, vigoureuse, accompagnée d’une action vive.»
Vendre : c’est le fait d’inciter des individus a dépenser leur argent pour un produit par une argumentation forte et séduisante.
Venelle : Intervalle, entre deux murs marquant les limites séparatives de deux fonds, qui peut servir de passage (Pérouse de Montclos 2007).
Venelle : petite rue, ruelle
VENELLES : Petites rues étroites autorisant les flux en situation de densité urbaine.
Venelles : ruelles étroites, généralement pour les piétons
Venelles : ruelles étroites, généralement pour les piétons.
Verbaliser : Exprimer ou extérioriser (quelque chose) au moyen du langage.
Verdier Thierry : «Nous ne sommes pas là pour faire de l’architecture. Nous sommes là pour être architecte.»
Verger : lieu planté d’arbres fruitiers.
Verger : Parcelle plantée d’arbres fruitiers. Ensemble des plantations d’arbres fruitiers d’une région, d’un pays.
Verger : terrain planté d’arbres fruitiers.
Verre : Matériau donnant la transparence au bâtiment.
Verre : matériaux donnant la transparence au bâtiment au niveau des façade donnant sur l’espace entre les deux tours.
Verstand : (néer. ) Intellect, vie intellectuelle. Raison Sagesse.
Vert : le vert désigne la couleur du spectre de la lumière visible situé entre le bleu et le jaune. Aussi : «se mettre au vert»
Vertèbre : chacun des os courts constituant la colonne vertébrale.
Vertical : Qui est perpendiculaire à l’horizontal.
Verticalité : Composition d’un projet et traitement d’un espace selon des lignes ou des plans verticaux (du sol vers le ciel).
Verticalité : espace composer selon une progression toute en hauteur, les éléments se superposent.
Verticalité : suit le sens de la gravité terrestre
Vertige : Sensation donnant à une personne l’illusion que son corps ou que les objets environnants sont animés d’un mouvement, sensation existant dans les ateliers entourés d’arbres.
Vêture : Couvrement, parement. Système d’isolation de façade constitué d’éléments préfabriqués comprenant un isolant et une plaque de parement, à fixer sur l’extérieur du mur.
Vide / Plein : «Opposition entre le contenant et le contenu.»
Vide / Plein : Alternance d’ensembles dans laquelle la matière existe, et d’ensembles dans laquelle elle n’existe pas.
Vide / Plein : le site du projet apparaît sur les cartes comme un vide traversé d’une route . La création du projet n’entraverai pas la pérennité du site puisse qu’il a été créé de façon à relier l’espace haut et l’espace bas (livraisons), son impact sur le site est moindre.
vide : Absence de matière.
Vide : Ensemble caractérisé par une absence de substance
VIDE : espace ou il manque quelque chose.
Vide : Nos villes ont grandi et ont occupé tout ce qui était le plus confortable. Ce qui reste est pour le moins plus conflictuel. Si nous ne voulons pas occuper ces espaces résiduels, c’est à nous d’inventer des lieux nouveaux, voire même de les corriger.
Vide : se dit d’un contenant qui ne contient rien
Videotape : cassette vidéo : nouveau médium, nouvelles techniques d’analyse urbaine, pour transmettre le dynamisme architecturale et l’expérience séquentiels des vases paysages. – ancêtre du DVD
Vides urbains : Espaces vident dans le tissu urbain. Délaissé, parfois oubliés, ils sont néanmoins un excellent support urbanistique et architectural.
Vie : le projet doit prendre en compte la vie qu’il va accueillir et celle qu’il a accueillie.
Vie : Opposé à l’inerte et de statique. Toujours en rapport avec le concept d’évolution et de mouvement. Voir la vie fourmiller en façade.
Vie sociale : relation d’ une personne envers d’autres personnes. Son comportement agit sur le comportement des autres, et vise versa.
Vigilance et inattention apparente : c’est un espace de vulnérabilité demandant une perpétuelle veille (sollicitations sensorielles), tout en faisant preuve d’inattention vis-à-vis d’autrui ;
ville : «On peut définir les villes comme des regroupements de populations ne produisant pas elles-mêmes leurs moyens de subsistance alimentaire. L’existence des villes suppose donc, dès leur origine, une division technique, sociale et spatiale de la production, et implique des échanges de natures diverses entre ceux qui produisent les biens de subsistance et ceux qui produisent des biens manufacturés (artisans), des biens symboliques (les prêtres, les artistes, etc. ), le pouvoir et la protection (les guerriers).» François ASCHER, Les nouveaux principes de l’urbanisme, page 13
Ville : agglomérat de matière à habiter; microcosme humain où il est possible de satisfaire ses besoins primaires et plus encore.
VILLE : agglomération importante, s’oppose à village, dont les habitants exercent en majorité des activités non agricoles.
Ville : Ensemble de ramifications
Ville : La ville constitue une des réponses à la question de la distance qui s’est traduite par la coprésence. La vile s’inscrit dans les trois phases d’urbanisation successives associée à la coprésence puis à la mobilité, conduisant à la transition : de la cité à la ville puis à l’urbain. Au début est la cité, caractérisée par la prégnance de la coprésence, qui constitue une entité discrète au sein d’un espace et d’une société agraire qui l’entourent. Puis les remparts des cités disparaissent au XVIIIème siècle pour que la ville naisse et s’accroisse mais la ville reste marquée par un principe de continuité bâtie et de densité qui la démarque encore de la campagne quand la mobilité progresse mais que la coprésence demeure. Enfin, aujourd’hui, dans cette troisième phase d’urbanisation, «la ville est présente en majesté et l’urbain, en puissance». Il faut même aller plus loin puisque la discontinuité spatiale bouleverse l’ordre traditionnel de la ville qui n’existe plus maintenant parce que l’urbain s’est substitué à la ville.
Ville : la ville est une unité urbaine, étendue et fortement peuplée dont les habitations doivent êtres à moins de 200m l’une de l’autre par opposition au village. Il s’y concentre la plupart des activités humaines : habitat, commerce, industrie, éducation, politique, culture. Les principes qui gouvernent la structure et l’organisation de la ville sont l’urbanisme ou encore l’économie urbaine.
Ville : Lieu construit et habité ou la société règne
Ville contemporaine : Est la ville moderne mal pensée, niant à la fois la ville traditionnelle et le projet original de modernité. Est une fragmentation de l’espace urbain, chaque fragment étant différentiable par différents paramètres (structurel, économique, physique, … ).
Ville durable intégrée : La durabilité relève d’une approche globale et qualitative (Cavin & Bourg 2010).
Ville durable technologique : La durabilité est d’ordre technologique (Cavin & Bourg 2010).
Ville nouvelle : Ville créée de toute pièce dans les années 60-70 à proximité de grande agglomération dans le but d’organiser la périurbanisation et d’éviter l’étalement urbain.
Ville patchwork : La forme de la ville traditionnelle se réfère à un paysage multiple. C’est un processus à échelle mondiale, dans lequel la ville se réfère à une enceinte pour se manifester comme une combinaison de coupons multiples et fragmentés. Peut être lié aux habitants provenant de multiples ethnies.
VINCI : «L’amour me distrait».
Virtuel : Monde parallèle impalpable
vision : 1. Perception visuelle; vue trouble de la vision. 2. Action de voir. 3. Manière de voir de concevoir quelque chose : une vision du monde très personnelle. 4. Perception imaginaire d’objets irréels; hallucination : avoir des visions.
Vision futuriste : vision de l’esprit construite par l’intermédiaire d’images de référence, de films de livres de BD . . cette vision est subjective, abstraite faite de clichés véhiculés par la société vison futuriste=projection idéaliste, utopiste ? Est-ce qu’une vision futuriste ne serait pas tout simplement une vision de la nature, un retour à l’âge primaire, le dénie de tout objet artificiel ?
VITRUVE : «On ne construit pas contre le climat mais avec».
Vivre : exister, être en vie ! Vivre des émotions et les transmettre.
VIVRE : Manière d’interagir avec ce qui nous entoure.
Voile : élément plein en deux dimensions, un plan.
Voile : élément protecteur qui masque entièrement ou partiellement des vues extérieures .
Voile : Élément visant a cacher entièrement ou partiellement quelque chose / cf écran .
Voile : Habille, occulte, mystifie, enrobe, masque, suscite le désir et la curiosité.
Voile : protection visuelle grâce à un jeu sur la transparence. Relation possible entre l’interne et l’externe.
Volume : espace défini en trois dimensions
Volume : espace fermé.
Volume : le volume d’un objet mesure «l’extension dans l’espace» qu’il possède dans les trois directions en même temps,».
Voûte : «Les frondaisons constituent des voûtes qui définissent des espaces intérieurs aux caractéristiques parfois très architecturales. Elles forment un couvert qui tempère les excès de chaleur ou de luminosité.» Caroline Stefulesco, L’urbanisme végétal, page 70
Voyage : Découverte, excursions, visite. Parcours, circuit pour se rendre d’un lieu à un autre. Culture… Connaissance… Curiosité…
Voyeurisme : Défaut que l’on retrouve chez l’humain, dont la curiosité exacerbée le pousse à espionner l’intimité de l’autre. (ex espionner les voisins, Big Brother… )
Voyeurisme : Né de la curiosité des gens. Peut-être une conséquence à un habitat mal conçu. Le voyeurisme dans une émission de télé réalité Loft story.
Vue : C’est un aménagement effectuée dans une construction ou dépendant d’une construction, à partir duquel son propriétaire peut jeter un regard sur le fonds voisin.
Vue : cadrage d’un élément du paysage.
Vue : cadrages, perception de certains lieux, courbes du sol perceptible…
Vue : ce que l’on peut voir à partir du point où l’on se trouve.
Vue : l’œil est l’organe de la vue mais la perception visuelle nécessite l’intervention du cerveau (cortex visuel). La vue est le sens qui permet d’observer et d’analyser l’environnement par la réception et l’interprétation des rayonnements lumineux
Vue : mise en valeur d’un espace extérieur par rapport à un autre
Vue : mise en valeur d’un fragment de paysage ou autre .
Vues : différentes façons de voir un projet, un site.

Walter de Maria : artiste américain 1935, oeuvres détournées de leur sens originel. Les exposer dans un musée, les réduirait à de simple oeuvre…
Wireless Fidelity : Connexions sans fil.

Xénographie : (v. grec pour «étranger» et «écrire») est la coutume, d’origine étrangère dans l’écriture à prendre, mais dans la langue de prononcer. Sont des exemples de mots sumériens, l’akkadien reçu un autre débat. De récents exemples sont les débats en japonais, chinois et allemand débat abréviation du latin et de l’esperluette (&) et en tant que. En anglais, sont ceux d’écriture encore plus de l’allemand. Ainsi, les abréviations latines Anglais lu : eg (en latin : exempli gratia : «par exemple») se lit «for instance» ie (latin : id est : «c’est à dire») se lit «that is».
XL : Face a l’ampleur des bâtiments environnants, notre bâtiment peut paraître relativement petit, malgré ses sept étages. A une autre échelle, il paraîtrait peut-être XL.

YéTI : Abominable homme des neiges, le yéti est un monstre poilu, oui, tres poilu, qui terrorise les habitant de la montagne(moi je ne vois pas pourquoi, il a quand même sauvé tintin une fois…. ) Bâtiment toufu, presque poilu, faisant peur à la population.

Zac : La zone d’aménagement concertée est une procédure d’aménagement. La Zac est une procédure d’initiative et de compétence publique permettant à la collectivité (directement ou par le biais d’un aménageur) d’acquérir des terrains, de les aménager, et de revendre les terrains équipés à des constructeurs en incorporant dans le prix de vente le coût des équipements publics. Elle s’accompagne ainsi d’une politique foncière, d’une démarche d’urbanisme, d’une programmation des équipements publics de nature à permettre la réalisation de quartiers nouveaux ce que l’autre procédure d’aménagement qu’est le lotissement ne permet pas.
ZAC : Zone d’action concertée.
Zapping : Possibilité de modifier le bâtiment en déplaçant enlevant ou rajoutant des éléments générant une nouvelle image.
zeitgest : Esprit d’un âge, un tout pensant qui contiendrait toutes les valeurs d’une période historique.
zeitgest : Grand manitou.
Zig-zag : Déformation de la ligne.
Zig-zag : déplacement non linéaire .
zig-zag : Trajectoire plus ou moins aléatoire, formant une suite de lignes brisées et tendant à suivre une droite.
Zone : Espace possédant des caractéristiques homogènes, délimité par un(des) changement(s) de ces caractéristiques.
Zone : Surface définie par des limites fictives ou par une matérialisation démarquée au sol.
Zone aquatique : Zone dont le sol est inondé durant la plus grande partie de l’année : mares, étangs, lônes…
Zone humide : Zone dont le sol est hors d’eau durant la plus grande partie de l’année : marais, forêts alluviales, prairies humides…
Zoom : Agrandissement de quelque chose, rapprochement ce projet est en quelque sorte un zoom sur l’architecture laissant apparaître les éléments de bases, matérialisé par les pixels.
Zoom : Le projet est une sorte de zoom sur l’architecture qui ferait apparaître les pixels (éléments constituants d’une photo) de l’architecture. Le bâtiment offert a voir (dans l’image) les éléments de base de l’architecture. .
Zoom : Permet de s’approcher visuellement sur quelque chose, à l’aide d’un appareil photographique, de jumelles, ou d’un clic de souris sur un écran. En architecture, faire un zoom sur un élément peut s’appeler «détail».
Zumthor Peter : Architecte suisse né le 26 avril 1943 à Bâle. Accent sur les sensoriels de l’expérience architecturale.
Zut ! : cmd Z.