EISENMAN, Peter, 1984 : The end of the Classical: the end of the beginning, the end of the end, in Perspecta 21.

VIRET Louis Phong

EISENMAN, Peter, 1984 : The end of the Classical: the end of the beginning, the end of the end, in Perspecta 21.

Dans ce texte EINSENMAN parle du DÉCONSTRUCTIVISME. Il compare ce procédé avec le modernisme, avec l’architecture moderne. Il montre que l’architecture moderne n’est pas ce qu’elle prétend être donc qu’elle n’est pas aussi libre qu’elle ne le prétend puisqu’elle utilise toujours les référents fondamentale comme le style industriel avec les matériels semblables à l’ouvrier ainsi que leur utilité social.

A travers ce déconstructivisme EINSENMAN cherche a reprogrammer notre perception de l’habitation moderne. Il ne s’agit pas de créer un style nouveau, ou de trouver une nouvelle cohérence ou même de s’appuyer sur un projet social utopique. Il s’agit d’une volonté de transgresser systématiquement les codes architecturaux que l’on connaît tous : centralité, fonctionnalité, hiérarchie…

Il suit le discours de JACQUES DERRIDA mais lui donne une icône l’icône de la révolution propre a l’architecture. Pour EINSENMAN l’architecture n’a pas encore effectuer sa révolution comme ses prédécesseurs, les autres discipline artistiques. Comme la révolution de l’art contemporain avec MARCEL DUCHAMP ou la révolution de la littérature avec Joyce. Ce deconstructivisme serait la révolution de l’architecture et apparaît comme une esthétique de la négativité.

Tout au long du texte EINSENMAN veut nous faire comprendre que ce deconstructivisme n’est pas de l’architecture moderne mais autre chose puisque ce procédé ne fait que rattraper son retard.

EISENMAN, Peter, 1984 : The end of the Classical: the end of the beginning, the end of the end, in Perspecta 21.