VENTURI, Robert, 1966 : Complexity and contradiction in Architecture : Selections from a forthcoming book, MoMA, NEW YORK.

BASSO Mathilde

 

VENTURI, Robert, 1966 : Complexity and contradiction in Architecture : Selections from a forthcoming book, MoMA, NEW YORK.

 

En quelques lignes …. Selon ROBERT VENTURI

 

#1-La complexité doit être constante en architecture.

 

#2-La doctrine “ LESS IS MORE” déplore la complexité , elle justifie l’exclusion pour le but de l’expression .

 

Elle autorise l’architecte à être sélectif ( extrêmement ) dans son approche des problèmes de résoudre.

 

Or il ne doit pas être sélectif , il ne doit pas exclure des problèmes pour son architecture.

 

PAUL RUDOLPH a récemment exposé les implications du point de vue de MIES : “tous les problèmes ne peuvent jamais être résolus, effectivement c’est une caractéristique du vingtième siècle, les architectes sont extrêmement sélectifs dans la détermination des problèmes qu’ils veulent résoudre .MIES, par exemple, fait de magnifiques bâtiments seulement parce qu’il ignore beaucoup d’aspects d’un bâtiment. S’il avait résolu plus de problèmes, ses bâtiments seraient bien moins puissants. “”

 

#3-La simplification criante signifie l’architecture fade. “ LESS IS A BORE

 

#4-“Si je suis contre la pureté, je suis aussi contre le fait d’être pittoresque. La complexité fausse répond actuellement à la simplicité fausse”

 

#5-La complexité doit être le résultat du programme et non la volonté de l’auteur.

 

VENTURI, Robert, 1966 : Complexity and contradiction in Architecture : Selections from a forthcoming book, MoMA, NEW YORK.

 

BURKE, Kenneth, 1954 : Permanence and change, LOS ALTOS, HERMES PUBLICATION.

 

SINNOTT, Edmund, 1963 : The problem of organic form, NEW HAVEN.

 

RUDOLPH, Paul, 1961 : Rudolph, in Perspecta 7, p51.